La carte bancaire :
Utilisable partout via des moyens électroniques (pas de vieux fer à repasser comme aux USA). Il y a même un distributeur de billets à "San Pedro de Atacama" (surnommé parfois, l'Arlésienne ).
Camping :
Souvent désorganisé. Alors tant qu'à faire, restez en camping sauvage. Cependant, celui de "Punta Choros" était bien.
Pick-up 4x2 :
Au Chili, on voit relativement assez peu de 4x4. Dans les campagnes, le pick-up 4x2 est de mise. La garde au sol est suffisante mais dans nos mains, cela a donné 3 ensablements (ou embourbement) et du temps perdu pour rien et des belles frayeurs ! Nous avions réservé le nôtre par internet (pas de 4x4 par internet, à part des monstres, très chers) alors qu'à l'aéroport à Santiago, nous aurions pu avoir un vrai 4x4 pour moins cher, mais sans avoir d'assurance quant à leurs disponibilités.
Les restaurants dans le centre-ville de Santiago :
Simple : il n'y en a pas ou très peu !
Coups de geule :
La ville de Tocopilla : le résultat de l'exploitation du pays par les multinationales américaines ! Ca ressemble à un immense bidonville crasseux dont la centrale électrique est le seul point d'Intérêt. On est bien loin d'Iquique.
Le bruit, les jeunes et leurs autoradios : insupportable ! Lire le récit ci-après. Comme dirait Forest, Forest Gump, c'est tout ce que nous avons à dire sur le Chili !
Et ça ?
Bin, euh, joker !