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PORCUPINE du 28 août au 17 septembre 2005
Voyage du 28 août au 17 septembre 2005
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 3 septembre : (suite & fin)

Nous décidons alors de retourner aux canoës et de monter le camp (nous avons le temps pour rejoindre "Old Crow"). Nous remonterons si le soleil se décide à éclairer la vallée. Ce ne seront malheureusement que de belles éclaircies, mais pas assez grandes pour éclairer toute la vallée de l'affluent.

Nous campons au pied d'un épicéa, sur le terrier d'un écureuil pas très content de nous voir :-$ ! Nous espérons voir des aurores pendant la nuit mais le ciel se sera à nouveau chargé de gros nuages, contrairement aux prévisions que Jean-Marc avait reçu par son téléphone satellite.

L'erreur culinaire du séjour : le ragoût de bœuf en boîte avec des morceaux de viande reconstituée Beurk ! (forcément, servir ça après les morceaux de mouflon de Dall, ça ne le faisait pas Vexé !). Quoi qu'il en soit, le ragoût fait une assez bonne sauce pour accommoder les pâtes...

Dimanche 4 septembre : Un porc-épic, un !

:-$ Les éclaircies sont passées très vite durant la nuit et nous n'avons plus que de gros nuages bien gris au-dessus de nos têtes. 30 minutes après le départ, nous apercevons une masse sombre se déplacer sur la rive. C'est un porc-épic qui monte le long du tronc d'épicéa pour essayer d'échapper à nos objectifs. C'est aussi à partir de ce moment-là que la pluie commence à tomber, fine mais quand même bien présente.

Peu avant la fin de l'étape, nous faisons une pause à l'embouchure d'un affluent pour que notre pêcheur aille taquiner l'ombre arctique (nous n'en avons commandé que trois, car un demi-poisson par personne, ça fait trop). Il ne reste plus que deux kilomètres avant le campement que Jean-Marc a prévu sur une plage de sable noir, dans un grand virage sur la gauche.

Nous avons à peine le temps de monter la tente, que la pluie recommence à tomber, fine mais incessante. Pendant que nous ramassons du bois flotté pour le feu, Jean-Marc tend une bâche entre les saules. Nous avons le choix entre "sans pluie sous la bâche mais avec mouches" ou "pluie auprès du feu mais sans mouches" Vexé !. Rencontre fugace avec quelques caribous au camp qui sont arrivés par l'odeur du gâteau au chocolat ?

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"Récit du séjour (7 / 15)"
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