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GUADELOUPE du 14 au 22 octobre 2005
Voyage du 14 au 22 octobre 2005
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 15 octobre : Premières plongées !

Nous sommes debout, décalage horaire oblige, à 5 heures du matin. Du coup, pour passer le temps, nous essayons de faire des photos d'une grosse chenille : mais c'est trop tôt, sans lumière, c'est raté ! Nous prenons le petit-déjeuner à l'hôtel (il est offert pour une personne, pas pour l'autre) : lait chocolaté (du vrai lait, par un mélange eau, chocolat et lait déshydraté), des croissants, du pain, des ti'bananes et du jus de fruit. Parfait !

Nous n'avions prévu de plonger que l'après-midi, mais nous sommes tellement en forme que nous demandons de nous descendre au club de plongée pour celle du matin. En vérifiant nos carnets de plongées et nos certificats médicaux, Jannic nous rappelle que ce n'est pas recommandé de plonger après la fatigue du voyage : nous sommes entièrement d'accord, sauf que nous n'avons jamais été aussi en forme que ce matin pour une plongée. Le voyage n'a pas été fatiguant, on n'a pas eu de retard, on s'est couché de (très) bonne heure et on s'est réveillé sans réveil après une bonne nuit de sommeil.

Nous allons au Jardin de Corail (19 m / 52 min) : visibilité excellente, eau à 30 °C ! C'est même trop chaud : les coraux commencent à blanchir à cause de cette température (c'est tout l'Atlantique nord qui est trop chaud, ce qui a généré le monstrueux cyclone Karina, fin août, qui a dévasté la Louisiane pendant que nous étions dans le Grand Nord canadien, là où il ne faisait pas très chaud). Côté faune : barracuda, sole carrelée, carangues, etc... Il y a plein de vie, c'est vraiment magnifique (nous étions pourtant en Mer Rouge en juin dernier).

Pour midi, on nous conseille d'aller chez Dada, une dame qui tient son restaurant au bord de la RN2, quelques centaines de mètres après les "Heures Saines" (pas du côté plage de Malendure, de l'autre côté). Excellent colombo de cabri, excellente fricassée de chatrou, bonne glace coco en dessert avec une bouteille de Perrier et un planteur (très bon planteur, mais il n'était peut-être pas des plus recommandés avant la plongée...). Dada fait une très bonne cuisine familiale antillaise, de la vraie cuisine créole, bon marché qui plus est !

L'après-midi, nous plongeons au Jardin de Corail (18 m / 62 min) : bis repetita pour le site, mais pas pour les poissons car près de la Pointe Carangue, nous croisons une énorme langouste, pratiquement en pleine eau (en tout cas dans un trou tellement grand qu'on peut l'observer en entier). En plus, nous avons eu largement de temps de l'observer car les moniteurs du club font des baptêmes qui durent longtemps. En revenant au bateau, on nous demande si nous avons vu l'hippocampe juste en dessous du bateau. Bin, non ! Un moniteur descend sur l'octopus de Christophe pour nous le montrer (de loin pour Anne-Marie car elle n'arrive pas à passer ses oreilles pour redescendre). C'est donc Christophe qui récupère le caisson photo et en rate quelques unes avant de s'apercevoir que le flash n'était pas allumé.

De retour au club, nous rangeons notre matériel dans un grand casier (un peu rouillé) qui ferme à clef, avant qu'on nous remonte à l'hôtel. Ti'punch, boudins créoles et riz, banane, yaourt et dodo à 8h30 !

eclaircie

Météo de la journée :
Soleil (avec un tout petit peu de nuages).

Dimanche 16 octobre : Journée aux Saintes

Après le petit-déjeuner, on nous descend au club pour 8 heures du matin. Nous attendons un grand moment sans qu'il ne se passe rien, quand on nous annonce qu'un groupe de 6 personnes vient de se désister ! Mais, spécialement pour nous, la sortie n'est pas annulée : il y a juste plus de moniteurs sur le catamaran que de clients : nous ne sommes que 5 clients (dont nous deux qui ne payons que le supplément pour la sortie, pas les plongées).

Nous longeons alors la côte de Basse-Terre et nous nous arrêtons pour faire le plein de carburant à Basse-Terre, avant de nous préparer pour la traversée jusqu'aux Saintes. On nous avait prédit des creux d'un à deux mètres, mais il n'y a rien du tout, mer d'huile. Il y a même moins de houle dans le canal des Saintes que le long des côtes de Basse-Terre. Le catamaran débarque des passagers sur le nouveau ponton de Terre-de-Haut (nouveau depuis 2000) qui se situe à côté du club de plongée des Saintes, avant de repartir pour le canal des Saintes, pour la plongée sur le Sec Pâté.

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"Récit du séjour (2 / 6)"
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