Mardi 4 juillet : (suite & fin)

Gros Dilemme pour la suite et pour Christophe : "Museum of Flight" ou pas ? En fait, il y a un Concorde au musée mais ils l'ont transformé en une sorte d'attraction (moyennant un supplément de 3 livres et une réservation préalable que nous n'avons pas faite) et Christophe a peur d'être très déçu. Puis, nous sommes en Ecosse et l'Ecosse, c'est de l'eau (loch ou pluie), de l'herbe (verte), de moutons (indissociables de l'herbe) et des pierres (montagnes ou châteaux) ! Alors, nous allons voir le château de Dirliton : pas déçu du voyage, nouveau labyrinthe de salles, la cuisine possèdent deux gigantesques cheminées de taille à rôtir un bœuf en entier, avec les nombreux passe-plats sur les murs, sur le sol et au plafond. Les banquets devaient être monnaie courante dans ce château ! Un mariage est en préparation, le joueur de cornemuse répète dans une grande salle en sous-sol où se déroulera le mariage. Quand la photographe du mariage arrive, le joueur se place sur le pont-levis, sous l'entrée monumentale du château : très cliché tout ça mais c'est justement ce que nous faisons ! Des clichés, nous en faisons aussi des jolis dans le pigeonnier du château.

Puis, retour à Edinburgh, histoire de finir les étages du "Museum of Scotland" et d'avoir un léger aperçu du "Royal Museum" (nous y avons encore passé plus de deux heures). Dîner dans un pub un peu touristique dans la rue Ste Rose. Nous savourons notre dernière Ale (ou cidre pour Anne-Marie).

Météo de la journée :
Un brouillard à couper au couteau, pas de pluie mais pas de soleil non plus !

Le château de Tantallon

Mercredi 5 juillet : Back to France...

Chrono un peu tendu mais finalement tout se déroule les doigts dans le nez. Nous arrivons avec une heure d'avance à l'aéroport car nous n'avons pas subi les bouchons dus au chantier. Ca ne sera pas le cas pour le vol. L'avion en provenance de Londres a déjà du retard. Et comme il y a du trafic au dessus de Londres et que nous sommes partis en retard d'Edinburgh, nous atterrissons à Gatewick exactement à l'heure où l'avion de notre correspondance décolle. Quand nous descendons de l'avion d'Edinburgh, aucune information ne nous est donnée, nous ne savons pas ce qu'il faut faire. Nous nous adressons au comptoir correspondance : nous ont-ils attendus ? Bin, non ! Il faut attendre 20h30 pour le prochain vol. 8 heures d'attente !

Nous avons quand même le droit à des tickets repas : 7 livres, juste de quoi manger un plat de spaghetti bolognaise dans un des restaurants de l'aéroport. Léger, le repas ! Et heureusement que nous avions encore un peu de livres pour nous payer à boire. Et bien sûr, le vol du soir ne sera pas à l'heure : nous avons un peu rattrapé le retard pendant le trajet mais nous arrivons chez nous à minuit et demi, nous sommes énervés, le temps de trouver le sommeil, il est déjà une heure du matin et le réveil sonne à 7h45 pour aller travailler !

Alors que nous avions si bien dormi, que nous nous étions reposés pendant ce voyage, tout est gâché par la fatigue accumulée durant cette journée. Dire que nous avions choisi l'Europe comme destination et une compagnie régulière ("British Airways") pour éviter de nous fatiguer lors du voyage retour... Nous avons mis plus de temps pour revenir d'Edinburgh que pour revenir d'Afrique du Sud ou du Chili !

Météo de la journée :
Au dessus des nuages, le soleil ! En décollant d'Edinburgh, nous distinguons nettement les nuages amassés au dessus du "Firth of Forth" et d'Edinburgh. A l'ouest, il faisait beau !