Vendredi 17 avril : C'était bien, c'était chouette...
Lever 4h05 (au lieu de 3h00, quelle joie immense !), petit-déjeuner frugal à 4h30, nous quittons l'hôtel à 5h00 précises. Nous passons nos sacs au scanner à l'entrée de l'aéroport avant de les déposer directement sur les tapis à l'enregistrement. L'enregistrement se déroule en moins de 10 minutes. Nous passons ensuite dans la zone "centre commercial" de l'aéroport, que nous parcourons avec Zeitoun et Simsime. Mais il nous faut déjà nous quitter, Zeitoun rejoignant directement Genève et il ne sera avec le groupe pour le retour. Nous passons les contrôles de sécurité : les femmes ont leur contrôle à part dans une petite cabine.
Décollage à l'heure du vol et nous arrivons avec 10 minutes d'avance à Paris où nous retrouvons les files d'attente "à la française" (le gros entonnoir où le plus "malin" passe devant tout le monde). Nous récupérons nos sacs, nous disons au revoir au reste du groupe et nous rejoignons le départ de la navette routière d'Air France pour aller à Orly. Nous attendons longtemps et quand la navette arrive, elle est déjà pleine. Nous abandonnons donc l'idée de prendre cette navette, c'est décidemment trop le bordel à CdG. Et ce n'est pas mieux pour prendre le RER car pour avoir un ticket aux distributeurs automatiques, il y a de longues files d'attente. Ne parlons même pas des guichets : ça ressemble à l'enfer ! Nous aidons un couple d'Espagnols : ils n'ont que du liquide et nous demandent si nous pouvons leur prendre des tickets avec notre carte bancaire au distributeur automatique (dont le logiciel n'est pas des plus conviviaux). Pas de problème !
A Orly, nous essayons de voir si nous pouvons prendre la navette (aérienne) vers Toulouse au plus tôt (nous avions pris des billets échangeables, pour 2 ou 3 euros de plus, au cas où). Tous les vols sont pleins et nous devons attendre 17h50. C'est la fin de vacances scolaires pour Toulouse, les vols sont pris d'assaut par des "UM" bien bruyants et fatigants . Cette dernière journée fut très épuisante !
Là, il n'y avait pas foule...