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JORDANIE du 4 au 17 avril 2009
Voyage du 4 au 17 avril 2009
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Les bivouacs dans le "Wadi Rum" :

La fiche technique du circuit "Club Aventure" stipule des matelas de 5 cm. En vérité, pas plus de 3 cm d'épaisseur, dans une mousse très souple ! Heureusement qu'il s'agissait de dormir sur du sable et que le calme du désert nous permettait de bien dormir.

Quant aux tentes Igloo : elles ont bien vécu, elles souffrent de quelques petites déchirures, les piquets pour les retenir ont depuis longtemps repris leur indépendance. Mais surtout, les fermetures éclair ont pratiquement toutes rendu l'âme. Ce n'était pas ennuyeux à la période où nous étions, car les scorpions sont endormis.

Nous aurions pu dormir à la belle étoile, mais nous n'avons pas tenté malgré le cadre enchanteur du désert.

La randonnée chamelière dans le "Wadi Rum" :
(dixit la fiche technique du circuit "Club Aventure")

D'un niveau sportif assez haut, tout de même ! La première journée de cette randonnée chamelière, nous avons eu trois dromadaires, deux ont servi comme monture et nous avons pu accrocher nos "petits sacs pour la journée" sur le troisième (comme prévu par la fiche technique de "Club Aventure"). Mais nos dromadaires ne nous ont pas suivis les journées suivantes, si bien, que ce sont nos épaules qui ont dû porter le "petit sac pour la journée" (pour info, nos gros sacs suivaient en 4x4). Et la deuxième journée fut très éprouvante ! Elle nous a semblé très longue. Surtout l'après-midi sur du sable mou, avec la chaleur, nous marchions la tête dans le sable, sans joie, nous disant qu'un pas de plus nous rapprochait du bivouac ! Et cela a été ressenti par l'ensemble du groupe, y compris les sportifs accomplis (dopés à la crème fraîche de Normandie ou au chocolat suisse, voire au sucre de raisin ;-))

Heureusement, lors de la troisième journée, des 4x4 avaient été prévus pour nous amener au pied du "Djebel Umm Adaami" et nous sommes rentrés en 4x4 (alors que nous aurions pu marcher). Cela a permis de nous reposer pour affronter la suite.

La quatrième journée de marche s'est très bien déroulée (nous sommes partis plus tôt le matin, avec une pause plus longue à midi). Cependant, le soir, nous étions bien contents d'apprendre que la dernière matinée de marche n'aurait pas lieu, des 4x4 viendraient nous prendre pour sortir du désert. C'était bien mieux comme ça.

Dernier bémol : après 4 jours de désert, et seulement quelques lingettes et un peu d'eau pour enlever le plus gros de la crasse, nous aurions bien aimé pouvoir prendre une douche en sortant du désert. Surtout que dans l'après-midi, il fallait faire plusieurs heures de bus pour rentrer sur Amman.

Nous nous sommes débrouillés avec les douches de la plage publique d'Aqaba (cela aurait pu être difficile pour les femmes), mais le programme pourrait être parfait s'il était possible de rester sur Aqaba pour (au moins) la soirée (en reprenant l'avion d'Aqaba pour rentrer sur Paris, ça évite aussi de faire des heures de bus inutiles).

Le "plus que parfait" : rester plus d'une journée à Aqaba pour se reposer du désert et faire une plongée bouteille (mais surtout sans sacrifier les deux jours et demi à Pétra, c'est le plus important !)

La circulation routière :

Bien que les routes soient en très bon état, que la plupart des panneaux routiers soient traduits en anglais, qu'il y ait beaucoup (mais alors beaucoup, surtout autour d'Amman) de contrôles de vitesse (avec jumelles), il nous semble difficile pour un occidental de pouvoir circuler en sécurité sur les routes jordaniennes : les lignes blanches, on les interprète comment ? On peut dépasser ou pas ? Nos chauffeurs de bus semblaient penser que oui !

Certes, ce n'est pas au niveau de la conduite artistique egyptienne, nous avons bien survécu à l'Italie, mais conduire en Jordanie ne semble pas être un exploit que nous tenterions de réaliser...

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