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GUADELOUPE du 2 au 13 mars 2000
Voyage du 2 au 13 mars 2000
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

pratique

Hébergement :

le gîte du bois d'Inde à Pigeon-Bouillante, tenu par deux personnes très sympathiques (si, si, il faut le redire !). Calme sur les hauteurs de Pigeon-Bouillante, petite piscine ronde pour se relaxer en fin de journée, hamac... Nous avions le gîte au rez-de-chaussée de leur maison : deux grandes chambres avec salles de bain privatives, une cuisine en commun au milieu et une grande terrasse pour prendre le petit déjeuner en admirant la mer et les îlets Pigeon. Seul petit problème : il faut avoir son véhicule (car, la pente pour aller du village de Pigeon-Bouillante à ce gîte est très, très forte !).

Aux Saintes, nous sommes allés chez Mme Bonbon : spacieux mais un peu impersonnel et sans terrasse. Par contre, bien placé en plein centre du bourg ! Nous avions un studio, avec une chambre en mezzanine et un clic-clac au rez-de-chaussée (avec des ressorts un peu bruyants).

Restauration :

Sur Bouillante, le restaurant les Manguiers : petit restaurant créole sans prétention et pourtant excellant. Le cuistot prépare les légumes créoles de différentes manières. Le service peut se révéler un peu long... (ce n'est pas une adresse pour les impatients)

Le premier soir, nous avons mangé à La Touna : le poisson grillé était plutôt bon, le colombo de poulet était un vrai colombo, pas du poulet grillé avec un peu de poudre de colombo. Petit bémol : le ti'punch y est raide.

Nous ne conseillons pas le restaurant le Rocher de Malendure : on paye cher pour une cuisine relativement médiocre. On paye donc surtout le cadre (inutile passé 6 heures le soir).

A Trois Rivières, nous sommes retournés au restaurant à gauche du quai à Trois-Rivières. En 1995, les portions étaient très généreuses. Certainement trop généreuses, car sa fille a repris le flambeau (mais le père est toujours aux fourneaux).

Et bien-sûr aux Saintes, la Douceur des Iles à Terre-de-Haut : suite à un incendie, le restaurant à déménagé sur le route de la plage de Pompierre. C'est donc maintenant une bâtisse en béton, avec une salle un peu plus impersonnelle, mais la cuisine n'a pas changée. C'est toujours délicieux !

Plongée :

Nous avons plongé à Malendure, avec le CIP : rien à redire, l'ambiance et la sécurité sontau rendez-vous ! Certes, il faut se coltiner les blocs depuis la plage où sont situés leurs locaux jusqu'au bateau, une grosse barque alu. Il faut dire qu'un cyclone avait démonté le débarcadère.

Aux Saintes, nous sommes retournés à la Dive Bouteille : l'encadrement masculin du club est plus préoccupé par leur brushing que la sécurité. La seule personne de confiance est la seule monitrice du club.

Randonnée :

Les chutes du carbet : depuis le parking, on peut monter à la première chute du carbet (et oui, la première est la deuxième, euh, trouver un guide, nous n'avons jamais tout compris ;-)) puis continuer jusqu'à la troisième : une heure trente dans un sentier très boueux ! D'ailleurs, il faut partir tôt le matin car l'après-midi (même en mars, en plein cœur de la saison sèche), les nuages recouvrent rapidement les chûtes.

Autre chute d'eau :

Le Saut d'Acomat : beaucoup moins de marche que pour les précédentes (mais elle n'est quand même pas au bord de la route comme la cascade aux écrevisses).

Parc Floral :

La villa aux orchidées : à Pointe Noire. La visite de ce parc nous a laissé vraiment de bons souvenirs. Le propriétaire des lieux fait visiter son jardin, à lui, le week-end. Au milieu de la visite, on déguste un ti'punch (classique) ou un planteur accompagné de fruits tropicaux frais (histoire de goûter à la carambole, au corossol ou à la papaye). Mais finalement, c'est la fin de la visite la plus, euh, "dégustative" car on finit par la cave à punch : plus d'une centaine de bouteilles remplies de fruits dans du rhum !

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