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BONAIRE du 24 janvier au 8 février 2013
Voyage du 24 janvier au 8 février 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

pratique

Hébergement ("Coco Palm" - appartement "Pelikan") :

Appartement bien équipé (on va dire qu’il manque un micro-onde pour pinailler) avec une belle terrasse ombragée, équipée d’un hamac et d’un petit barbecue, bonne literie, wifi (avec un bonne bande passante), ventilateurs, brasseur d’air (qui ne tourne malheureusement pas trop bien - il est un peu déséquilibré), moustiquaires aux fenêtres (mais... cf le chapitre suivant), barreaux aux fenêtres (on peut laisser les fenêtres ouvertes pour aérer - à noter qu’en voyant ces gros barreaux et après avoir lu les consignes de sécurité du livret d’accueil de l’appartement, on se demande bien dans quel quartier malfamé on a mis les pieds, mais dans les faits, ça ne craint pas plus que ça, il ne faut cependant pas penser que l’on peut tout laisser ouvert sans crainte). L’appartement est proche de l’aéroport mais ça ne pose pas problème : il n’y a même pas trois vols par jour de gros porteurs (un peu plus le samedi) et on les entend à peine, voir pas du tout. L’appartement était vraiment très calme. Pour finir, l’appartement est situé à 100 mètres d’un accès à la mer ("Bachelor's Beach") où l’on peut se baigner sur un fond de sable (on peut donc s’y baigner pied nu sans risque de se faire mal sur du corail) mais où l’on ne peut pas poser sa serviette sur le sable (il n’y a pas de plage avec du sable sec).

Les moustiques :

Le gros point noir du voyage, la plaie de l’île ! Bonaire possède plein de lagunes, donc des eaux stagnantes où ces infâmes créatures se reproduisent en nombre. Ces bestioles sont en plus affamées de sang frais (tous les touristes que nous avons croisés s’en plaignaient). Nous avons tout essayé : répulsif sur la peau + chemise imprégnée de répulsif (celles que l’on avait pour la Namibie et dont le traitement est censé tenir 10 lavages) + bougies à la citronnelle + serpentin à bruler... Mais malgré tout cela, ils trouvaient encore le moindre emplacement de peau découvert pour venir piquer (et en plus, une piqure douloureuse). Tous les soirs, avant d’aller se coucher, on vaporisait du Baygon pour tuer ceux qui volaient dans la chambre. Mais quelques heures après, certains trouvaient quand même, malgré les moustiquaires, un chemin pour renter à nouveau et venir nous pomper le sang !

Le serpentin que l’on brulait dans la chambre durant la nuit, servait juste à limiter à un niveau presque acceptable le nombre de monstres ailés qui revenaient dans la chambre après le gazage au Baygon... Pour information, deux bombes de Baygon ont été vidées en 2 semaines dans la chambre !

Sécurité :

Hormis les moustiques, nous n’avons eu aucun problème de sécurité (ni ressenti le moindre problème) mais nous avons cependant respecté à la lettre les consignes prônées par le "Coco Palm", et en particulier celle concernant le véhicule : ne rien laisser de valeur à l’intérieur de la voiture et ne pas verrouiller les portes en laissant une fenêtre entre-ouverte. On laissait quand même nos habits sur le siège arrière de la voiture, ouverte, pour aller plonger et aucun d’eux n’a pris la poudre d’escampette pendant la plongée. Christophe a même oublié une fois son ordinateur de plongée à l’intérieur de la voiture (alors qu’il aurait dû l’avoir à son poignet pendant la plongée) et personne ne l’a pris.

Restauration :

A part une tequila locale (il n’y a que des rochers et des cactus sur l’île), rien n’est produit sur l’île, tout est importé et ça se ressent donc au moment de faire les courses (c’est assez cher). Quelques légumes sont importés du Venezuela mais le lait, le sucre, les pâtes, le riz, la viande, etc, sont importés d’Europe ou des Etats Unis (ou d’Afrique du Sud & Chili pour le vin). Donc, pas de yaourt aux fruits tropicaux comme dans les Antilles françaises, pas de jus de fruits tropicaux locaux (d’ailleurs, cela a été problématique de trouver de bons jus de fruit au supermarché)... Le bon point, c’est que le barbecue sur la plage le dimanche est l’activité favorite des Bonairiens, donc au supermarché, on trouvait facilement de la viande ou du poisson (ou crevettes) mariné à griller...

Pour faire nos courses, nous sommes allées au supermarché "Warehouse Bonaire" (qui, d’après sa publicité sur les cartes routières gratuites de l’île, est le plus grand supermarché de l’île): il y a un peu de tout, sauf au rayon légume qui fait un peu grise mine. A proximité de ce premier supermarché, le très néerlandais supermarché "Van den Tweel" ouvre ses portes de 8 à 20 heures, 7 jours sur 7 (idéal pour faire trois courses rapides entre deux plongées).

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