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BONAIRE du 24 janvier au 8 février 2013
Voyage du 24 janvier au 8 février 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Restauration : (suite)

Le "Van den Tweel" est un peu plus grand que le "Warehouse Bonaire", aux rayons légume et viande plus fournis mais proposant sur d’autres produits, moins de choix (en particulier pour les produits d’extermination des moustiques). Pour information, les deux supermarchés proposent des sacs de courses, décorés avec des photos de l’île, parfaits pour y mettre une serviette pour après la plongée.

Nous n’avons donc pas trouvé de restaurant de cuisine locale. Nous nous sommes rabattus sur l’exotique :

• "Patagonia Argentinian Steakhouse" : un restaurant pseudo-argentin (pas de parillada au menu, ça craint ;-) - la carte des vins est heureusement plus argentine) proposant au menu une côte de bœuf argentin de 21 oz (600 grammes) à presque 50 $US (par personne, oui, hic !) : ce n’était pas vraiment bon marché mais très bon et très, très copieux ! Pour information, la carte propose des steaks moins gros et moins chers (mais quand-même dans les 30 $US minimum).

• "Plazita Limeña restaurant" : un restaurant péruvien (on ne peut pas dire pseudo-péruvien car on ne connait pas - encore - le Pérou, mais vu le contenu de la carte, ceviche, parillada, pisco sour, ça semble être typiquement péruvien). Nous avons pris une parillada de viande pour deux à 35 $US, c’était donc bien meilleur marché que l’argentin (et bien plus raisonnable pour la santé, ce qui n’est pas le cas d’un steak de 21 oz). Avec un cocktail à l’apéro (mojito et margarita), c’était très bon. Une adresse très recommandable !

A noter que pour manger pas cher, nous avons trouvé le snack/restaurant "Julian’s". Il est situé un peu au nord du quai pour les bateaux de croisière, en bord de mer (donc avec un très jolie vue que n’ont pas les deux restaurants précédents). Ce petit restaurant où viennent les employés des environs pour déjeuner, propose un menu du jour (le "special") à 10 $US avec un plat (très copieux), une boisson non alcoolisée et un dessert. Nous avons eu (selon le jour) : crevettes grillées à l’ail, steak (une seule face mais suffisant ;-)), blanc de poulet grillé, filet de mahi mahi (servi avec du riz des fritte et de la salade) ou encore des spaghettis Alfredo au poulet. Le dessert est petit mais suffisant (le gâteau à la banane, bien qu’assez sucré, est très bon). Un midi, nous n’avons pas pris le plat du jour (mais de très bons spaghettis Alfredo aux crevettes) mais la serveuse nous a quand même facturé le plat à la carte au prix du menu du jour.

Important : il faut savoir que peu de restaurants sont ouverts le midi (sauf chez "Julian’s" qui est, de toute manière, une très bonne adresse), un peu plus le soir en semaine et la plupart sont ouverts le vendredi soir et (certainement) le samedi soir. Ce n’est donc pas la grosse et folle animation à Kralendijk le soir mais dans un sens, c’est très bien comme ça (il n’y aurait que des bars branchés avec de la musique à fond et plein de yachts de milliardaires dans le port, nous n’aurions pas aimé la ville).

Au fait, nous allions oublier : "GIO's Gelateria & Caffé", un glacier proposant une très bonne glace au chocolat noir (mais pas de sorbet coco ou goyave comme en Guadeloupe / Martinique).

Plongée :

Règle n° 1 : pour profiter pleinement de Bonaire, il faut être plongeur autonome (pour pouvoir plonger du bord) et voyager avec sa palanquée (sinon, ça devient galère pour trouver une palanquée pour plonger du bord).

Règle n° 2 : il faut avoir un détendeur type "étrier" et tout sur le premier étage (robinetterie une seule sortie sans opercule, montée sur des blocs aluminium). Pour les plongeurs en DIN (comme nous), il faut, soit venir avec un adaptateur "étrier" (ça ne coûte presque rien), soit en louer un auprès du club de plongée (se renseigner avant de partir).

Règle n° 3 : il faut avoir des palmes réglables avec des bottillons possédant une semelle épaisse (voir très épaisse). Les mises à l’eau à partir du bord demandent de marcher sur les rochers ou les plages de corail mort, avec le bloc sur le dos et les plombs : mission impossible pied nu !

Règle n° 4 : pour partir du bord, sans rien laisser de valeur dans la voiture, il faut donc avoir un petit étui étanche, que l’on glissera dans une poche de la stab, pour ranger au sec la clef de la voiture, celles de l’appartement et un peu d’argent (au cas où).

Règle n° 5 : avoir la certification Nitrox (simple). Il n’y a pas besoin de plonger profond, la faune se concentre surtout dans la zone 10 m - 25 m, voir 30 m. Le Nitrox apporte donc de la sécurité et beaucoup, mais alors beaucoup moins de fatigue ! En plus, le Nitrox 32 est au même prix que l’air.

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"En pratique (2 / 5)"
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