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ROME du 4 au 11 mai 2013
Voyage du 4 au 11 mai 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 7 mai : (suite)

Après, le repas, la pluie s'est enfin calmée. Nous retournons donc vers la basilique St Pierre pour monter à la coupole. Au contrôle de sécurité, le garde (suisse ?) demande à voir le couteau suisse que Christophe a au fond de son sac (bien pratique pour pique-niquer). Heureusement, le garde nous laisse passer avec le couteau. De toute façon, nous comptons déposer nos sacs à la "guardaroba" (nécessaire pour monter à la coupole, voir plus bas) et Christophe n'a aucunement la prétention de dégrader un monument historique (même s'il n'est pas en accord avec les idées des résidents des lieux qui préfèrent voir des enfants souffrir, plutôt que tolérer l'avortement ; quant à l'utilisation des préservatifs, il va vraiment falloir qu'ils prennent position en sa faveur pour sauver l'Afrique, en particulier, de l'épidémie de sida, même si ce n’est peut-être pas la solution au problème).

Donc, comme nous ne sommes pas venus dans ces lieux pour des raisons religieuses, parlons plutôt d'architecture et en particulier de Michel-Ange, l’architecte de l’exceptionnelle coupole de la basilique : 5 euros pour monter à pied (payable uniquement en liquide) et 550 marches à gravir ou 7 euros pour l’ascenseur et 320 marches ! Nous choisissons de prendre l'ascenseur qui nous mène (après une petite file d'attente) sur le toit de la basilique St Pierre. De là, un étroit escalier logé entre le mur intérieur et le mur extérieur de la coupole (plus on monte, plus les murs penchent) permet d'accéder à un très étroit escalier en colimaçon (muni d'une corde en son centre pour s’aider) qui débouche, enfin, sur l'étroite terrasse au sommet de la coupole, juste sous la lanterne. De là, on jouit d'une vue remarquable que la place St Pierre, le "castel Sant'Angelo" et la ville, mais aussi sur les musées du Vatican et la chapelle Sixtine qui se retrouve sous nos pieds. Le petit souci est, qu'une fois arrivés là-haut, les visiteurs veulent se prendre, eux, en photo et vu l'étroitesse de la terrasse et le nombre de visiteurs, c'est loin d'être pratique. Il faut un peu jouer des coudes pour arriver près de la rambarde pour pouvoir faire des photos sans tête, main, pied (pas tout à fait, même si certains prennent des poses ridicules, ils ne vont quand-même pas jusqu'à faire faire le poirier, par 130 mètres de haut).

Une fois les photos faites, nous redescendons assez rapidement et quand nous sommes de retour sur le toit de la basilique, une grande et belle éclaircie fait enfin son apparition, damned, cacahuètes à l’orange et dix de der ! Dire que nous venons de faire toute une série de photos sous les gros nuages gris. Pour l'instant, nous nous offrons un petit coca que nous buvons près des statues de la façade de la basilique : il faut dire qu'il y a sur le toit de la basilique une petite cafétéria mais aussi un magasin de souvenirs. Christophe décide finalement de grimper à nouveau les 320 marches de la coupole pendant qu'Anne-Marie l'attend sur le toit. A son retour, pour éviter de faire une nouvelle fois la queue pour attendre l'ascenseur, nous redescendons par les marches (l’énergie potentielle est avec nous, facilement transformable en énergie cinétique). L'escalier débouche directement dans la basilique, presque à côté de la Pietà de Michel-Ange (qui est derrière une vitre blindée, pas cool pour les photos). Nous voudrions aller près du baldaquin mais les gardes sont déjà en train de vider les lieux pour la messe. Nous trouvons, pratiquement sous un des piliers qui soutient la coupole, une petite porte qui mène aux grottes vaticanes où sont exposés les tombeaux des papes (JP-I entre autres). Nous décidons ensuite de ne pas visiter le musée de la basilique et de ressortir du Vatican (en ayant au préalable posté nos cartes postales et donc y coller les timbres à l'effigie du nouveau maître des lieux, qu'il a fallu lécher... Les timbres, pas le pape ;-)).

Nous reprenons le métro (toujours bondé) pour nous rendre à la "piazza di Spagna". En arrivant sur la place, nous nous rendons compte que, comparativement, il n'y avait personne à la place St Pierre car les escaliers de la place, magnifique, sont noirs de monde. Pour être exact, les escaliers ne sont pas noirs de monde mais plutôt multicolores de monde. Inutile d'imaginer pouvoir faire une photo des escaliers tout blancs avec quelques touches de couleurs apportées par les fleurs. Nous n'allons tout de même pas trop râler, c'est quand même très joli avec la "chiesa della Trinita dei Monti" tout au sommet des escaliers avec l'obélisque devant. Nous décidons donc de jouer à "chercher Anne-Marie" qui est allée se placer quelque part sur les marches pour la photo.

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"Récit du séjour (11 / 20)"
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