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PATAGONIE & IGUACU du 30 janvier au 21 février 2014
Voyage du 30 janvier au 21 février 2014
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

L’agence a donc rapidement corrigé sa proposition pour prendre en compte nos demandes. Des nuits supplémentaires ont été rajoutées pour les étapes suivantes : El Calafate, El Chaltén et l’est du parc national "Torres del Paine" (par exemple, une seule nuit à El Chaltén nous limitait à une seule journée possible de randonnée et s’il faisait mauvais cette journée là, l’étape n’avait alors plus aucun intérêt ; avec deux nuits, nous avions deux fois plus de chance de randonner avec des conditions météo convenables, c'est-à-dire, au moins une ou deux heures avec les sommets non masqués les nuages). Et bien évidemment, ces nuits supplémentaires induisaient la suppression de la visite de l’estancia (même si nous avons ressenti comme une légère réticence à faire sauter les moutons : c’est vrai que dans la région, les moutons finissent plutôt au pal, pas en sauté ;-) ; désolé, c’était pour faire un mauvais jeu de mot).

Nous avons aussi tenu à avoir une voiture pour retourner, par nous-mêmes, sans les contraintes temporelles liées à une excursion organisée, sur les passerelles devant le glacier "Perito Moreno". Les excursions organisées sont bien faites mais elles ne vous laissent grosso-modo qu’une heure sur les passerelles, ce qui est bien insuffisant pour entendre le glacier craquer, voir des pans de glace s’effondrer dans le lac, faire l’ensemble des points de vue (en particulier, ceux au nord) et attendre une belle éclaircie (après, on peut avoir la chance que le petit laps de temps laissé par l’excursion organisée coïncide avec une éclaircie mais il faut être chanceux, ce qui est rarement notre cas). L’agence nous a donc proposé de rejoindre aussi El Chaltén avec la voiture de location, ce qui nous permettrait d’être plus autonomes.

Mi-novembre, Anne-Marie a pris les billets d’avion Toulouse - Madrid - Buenos Aires par Iberia, en évitant le vol de nuit à l’aller. Certes, nous allions perdre une journée dans l’avion mais avec un vol de nuit, nous aurions aussi invariablement perdu une journée car après une nuit sans dormir dans l’avion, coincé comme une sardine sur un siège de classe économique, difficile de ne pas ressembler à un mort-vivant la journée qui suit. Et dans la foulée, elle a validé notre dossier auprès de Korke. Cette validation relativement tardive a failli être assez catastrophique car l’hôtel "Las Torres" au pied (ou presque) des "Torres del Paine" du parc national éponyme était complet aux dates initiales. Korke a donc dû inverser le sens du séjour dans ce parc, ce qui annihilait la flexibilité météorologique induite par les deux nuits passées dans cet onéreux hôtel.

Il fallait alors qu’il fasse absolument beau le lundi 10 février... (ce qui n’a pas été du tout le cas, mais pourtant, nous sommes arrivés à nous débrouiller pour randonner jusqu’aux tours sous le soleil... Comment ? Vous le saurez en lisant la suite de ce carnet de voyage ! Pour une fois qu’on peut faire monter le suspens, inutile de s’en priver ;-))

Avant de partir, comme nous étions plutôt équipés pour la randonnée sur les hauteurs tropicales de l’île de la Réunion, nous avons dû acheter quelques vêtements adaptés aux conditions météorologiques habituelles du sud de la Patagonie : vents à 50-60 km/h et température oscillant entre une petite dizaine (voire encore moins aux abords des glaciers) et une bonne vingtaine de degrés Celsius (voir un peu plus au soleil, s’il n’y a pas de vent) ! Nous avons prévu plusieurs couches que l’on pouvait enlever en fonction des conditions : T-shirt, pull, veste polaire et, le plus important, veste de randonnée (coupe-vent non fourré) bien étanche à la pluie mais aussi au vent (histoire que le fort vent ne nous transforme pas en bibendum tout gonflé). A noter qu’une grosse doudoune en duvet bien chaude est à bannir pour un tel voyage : la plupart du temps, en randonnée, nous étions en simple T-shirt sous nos coupe-vents ! Un élément à ne pas oublier : un bonnet, pas trop chaud mais qui coupe bien du vent pour se protéger les oreilles. Nous avons aussi acheté des pantalons de pluie (faciles à enfiler rapidement sans avoir à enlever les chaussures de randonnée et respirant pour éviter d’être trempé par la sueur dessous) pour éviter d’avoir à rebrousser chemin pour une averse intense (rencontrer une averse pendant une randonnée ne veut pas dire qu’il va pleuvoir tout le reste de la journée sous ces latitudes).

Fin novembre 2013, nous étions près, tout était réservé ! Il ne restait plus qu’à attendre le 30 janvier, c'est-à-dire le jeudi de la semaine où le SNCTA, syndicat majoritaire parmi les contrôleurs aériens, a déposé un préavis, pour toute la semaine... Heureusement, ce préavis a été levé suite à un accord signé avec le gouvernement qui les soutenait contre les mesures de Bruxelles mais la CGT, quant à elle, n’a pas levé son préavis qui ne courait que le 30 janvier, précisément... Horreur et damnation ! Nous ne pouvions avoir plus d’un jour de retard sans mettre en péril tout le voyage (à cause du vol intérieur entre Buenos Aires et El Calafate, prévu le second jour après notre arrivée). Inutile que dire que les 10 jours avant le départ ont été très stressants et les nuits bien agitées !

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