-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
JAPON du 8 au 24 mai 2015
Voyage du 8 au 24 mai 2015
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 24 mai : (suite)

Après avoir déposé nos sacs, nous cherchons un restaurant où prendre le petit déjeuner. Nombreux sont ceux encore fermés à cette heure matinale mais un restaurant de pancake est déjà ouvert. Les fenêtres du restaurant donnent sur une terrasse extérieure d’où l’on peut voir les pistes de l’aéroport et les avions. Du coup, après le petit déjeuner, Christophe passe y faire un saut alors qu’Anne-Marie tente les boutiques qui sont encore fermées.

Quelques minutes plus tard, quand nous repassons devant les boutiques pour rejoindre la salle d’embarquement, celles-ci sont ouvertes et nous y trouvons les petits "gâteaux-raviolis" japonais que nous avions cherchés la veille (il y a aussi tous les parfums de KitKat). Nous en prenons trois boîtes pour faire goûter autour de nous au retour (en espérant que ça passe au contrôle de sécurité, vu qu’ils n’ont pas une consistance solide, un contrôleur trop méticuleux, ou allemand, pourrait nous ennuyer). Nous profitons de passer devant un bureau de change pour changer les yens qui nous restent. Même si nous comptons revenir au Japon, ce voyage ne se fera pas dans l’année. En attendant, nous n’allons tout de même pas immobiliser de l’argent inutilement, même si nous allons prendre au change !

Le contrôle de sécurité japonais se passe les doigts dans le nez (et franchement, il n’y aucune raison pour que les japonais fassent mal leur travail, peut-être sont-ils bien formés et qu’ils savent parfaitement utiliser leur machines ?), tout comme le contrôle de l’immigration. Ils sont vraiment bien ces japonais ! Ils sont même tellement bien qu’ils ont compris l’indiscipline allemande : comme les allemands sont des adorateurs inconditionnels de la longue file d’attente, les japonais ont compris qu’ils se mettaient dans la file d’attente, même quand ce n’était pas encore leur tour pour monter dans l’avion dont l’embarquement se fait traditionnellement par rangée de sièges, en commençant par le fond de l’appareil. Du coup, un employé japonais de la compagnie, tenant à la main une tablette tactile où sont affichées les rangées en cours d’embarquement, vérifie les cartes d’embarquement de tous les passagers de la file d’attente, en faisant sortir ceux qui n’ont rien à y faire (et qui sont donc à coup sûr des allemands). Ah, le Japon et les japonais, ils vont nous manquer !

Nous décollons à l’heure à 11h30 et après deux repas et quelques films (bon, les allemands sont indisciplinés mais les hôtesses et stewards passent régulièrement pour proposer des boissons), nous arrivons enfin à l’aéroport de Frankfort et son organisation bordélique, ça fait un choc quand on arrive du Japon. Outre les longs couloirs dans tous les sens et les nombreux détours qu’il faut emprunter, les allemands ont décidé de pousser à l’extrême les contrôles de sécurité : scanner corporal systématique pour tout le monde ! Anne-Marie est en plus auscultée manuellement de la tête au pied. La femme qui la contrôle lui fait enlever ses chaussure auxquelles elle arrache sans scrupule les semelles qu’elle laisse ensuite en vrac. Quant aux sacs, ils ont mis des plombes à passer au scanner ! Déjà que devant nous, des français avaient dans leur sac une bâton de marche pliable qui n’a pas plu au contrôleur (il les a obligés à retourner l’enregistrer en soute), le sac d’Anne-Marie pose ensuite de gros problèmes. Le moindre bout de fil électrique doit être vérifié sous toutes les coutures. Quant aux "gâteaux-raviolis" japonais, ils sont dans des boîtes sous un emballage cadeau. Il nous faut dont retirer cet emballage pour leur montrer le contenu (et encore, heureusement qu’ils ne sont pas allés jusqu’à ouvrir complément la boîte, s’ils s’étaient aperçu qu’ils étaient mous, ils auraient dû finir à la poubelle). Quant aux câbles des différents chargeurs, ils repassent plusieurs fois au scanner... Ils sont devenus fous, ces allemands !

Nous avons lu ensuite qu’ils avaient été pris la main dans le sac : les agents des compagnies privées de contrôle avaient laissé passer des articles interdits en cabine lors de tests de sécurité. Du coup, ils sont passés à la ligne Maginot, la fameuse ligne de défense française que les allemands ont si bien su contourner en 1939 (certes, la référence n'est pas très heureuse).

Page n° 56 sur 59 :

"Tōkyō (15 / 16)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.