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JAPON du 8 au 24 mai 2015
Voyage du 8 au 24 mai 2015
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Le donjon du château d'Osaka

Vendredi 8 mai : Deutsch Unternehmen ? Pas terrible...

A 8 heures 15 précises, nous montons dans le taxi qui nous amène rapidement à l’aéroport. Il n’y a personne au guichet dépose-bagage, le contrôle de sécurité se déroule sans le moindre problème (c'est-à-dire sans vider complètement le contenu des sacs à dos), nous rejoignons donc rapidement la porte n° 35 où nous embarquons à l’heure prévue à destination de Frankfort.

Pendant le vol, secoué par les nombreuses perturbations atmosphériques (en espérant que ce ne soit pas le pilote dépressif qui joue avec le manche : "allez, je descends, non, je remonte, puis finalement je redescends..." ;-)), nous prenons du jus de tomate pour accompagner le douteux sandwich au concombre. Il faut dire que nous devons ensuite décoller à 13h30 et atterrir à Ōsaka à 8 heures du matin (heure locale), soit une heure du matin, heure française. Si nous voulons profiter au maximum de cette première journée japonaise (sans roupiller toute la journée dans la chambre d’hôtel qui, de toute façon, ne sera disponible qu’à partir de 15 heures, heure locale), il nous faudrait dormir un minimum durant le vol Frankfort-Ōsaka : nous avons donc décidé d’éviter l’alcool, la caféine et la vitamine C (et donc le jus d’orange).

Arrivé à Frankfort, nous traversons les immenses halls de cette aérogare pour rejoindre la porte n° Z58 où nous embarquerons dans un vieux Boeing 747. Anne-Marie, par l’odeur alléchée du bretzel croisé peu après la porte d’arrivée, a faim !

Il est 11h30, nous devrions embarquer à 12h45 et décoller à 13h30, ce qui veut dire que nous devrions manger dans l’avion vers 14h30. Avaler un bretzel pourrait donc raisonnablement s’envisager en attendant l’embarquement. Mais voilà, depuis que nous avons passé le contrôle d’immigration, il n’y a plus de bretzel en vue, seulement un bar avec des sandwichs (au concombre ?) et un Mc Do. L’aéroport de Frankfort pourrait très bien rejoindre les aéroports parisiens dans le classement "Jules Hardouin-Mansart" (sauf que la cuisine allemande n’est quand même pas spécialement reconnue mondialement, contrairement à la cuisine française ; les aéroports parisiens ne risquent donc pas de perdre leur titre). Au Mc Do, nous prenons donc un seul menu "Airport" (soit 20 nuggets de mixture soi-disant au poulet, des frites et un grand coca, plein de caféine) que nous partageons à deux.

Nous sommes surpris : l’embarquement dans le B-747 est rapide (il faut dire qu’il y a bien plus de japonais que d’allemands) et à 13h30 (presque) pétante, l’appareil est poussé sur la piste. Commence alors une longue attente, très longue attente, sans que l’appareil ne bouge, avant que le commandant de bord nous informe de la situation : le système de prélèvement d’air sur les moteurs, qui alimente en air comprimé le système de climatisation et de pressurisation de l’avion, montre une pression anomale ! Comme le B-747 est équipé de 4 moteurs, un seul système en panne ne poserait pas de problème de sécurité dans l’absolu mais le commandant (qui ne semble pas montrer de trouble psychologique) préfère jouer la sécurité en demandant l’intervention des techniciens pour réparer ce problème. Nous devons donc attendre et pour nous faire patienter, une boisson et un snack vont nous être distribué (il est donc environ 14 heures, c’est important de le noter pour la suite des opérations).

Mais voilà, quelques dizaines de minutes plus tard, le commandant de bord nous informe à nouveau de la situation : l’avion va rejoindre une place de stationnement pour permettre aux électroniciens et aux ingénieurs (c’est à dire en Allemagne, des techniciens supérieurs) de mener à bien leurs investigations... Et 40 minutes plus tard, le commandant de bord nous informe qu’ils ont levé deux hypothèses de pannes sur quatre mais que les tests continuent (les deux dernières hypothèses sont donc certainement un problème de calculateur gérant de système ou de harnais électronique, ce qui veut dire que cette histoire est loin d’être finie et que nous sommes encore à Frankfort pour un bon moment).

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