-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
JAPON du 8 au 24 mai 2015
Voyage du 8 au 24 mai 2015
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 14 mai : (suite)

Nous sommes de retour à l'hôtel à 18 heures : il est grand temps de tester enfin les bains publics de l'hôtel. Nous revêtons alors les kimonos mis à disposition dans la chambre (les japonais sont trois tailles en dessous de nous, nous arrivons à peine à enfiler ces kimonos) et nous voilà partis pour notre première séance de "shabushabu" où nous allons nous-mêmes jouer le rôle du morceau de viande plongé dans l'eau bouillante. Chacun de son côté, nous nous lavons donc, à poil, devant le bassin d'eau chaude : ça ne nous pose pas de problème, c'est juste que nous n'avons pas l'habitude de nous laver assis sur un petit tabouret en plastique. Quand même, pour prendre une douche, c'est bien plus pratique debout, non ? En fait, Christophe se pose beaucoup de questions pour éviter de commettre un impair : s'il y a une douche, c'est bien pour être utilisée ? Mais pourquoi son voisin ne l'utilise-t-il pas ? Au contraire, il remplit plusieurs fois une bassine qu'il se verse ensuite sur la tête. D'accord, quand les douches n'existaient pas, c'était le moyen de prendre une douche et ça devait être plus simple de faire ça accroupit que debout, mais depuis que la douche a été inventée, pourquoi s'accroupir ? De toute façon, le problème principal surgit ensuite : la température de l'eau des bassins est très chaude ! Les japonais aiment l'eau vraiment très chaude (par exemple, en France, les robinets thermostatés possèdent un cran de sécurité à 27 °C, au Japon, ce cran est positionné à 40 °C). Certes, l'eau des bassins n'est pas à 40 °C mais nous n'arrivons pas à y rester bien longtemps. Anne-Marie se réfugie même au hammam pour se refroidir : le bain de vapeur est moins chaud, en température ressentie, que le bassin d’eau chaude. Certes, il y a bien un petit bassin d'eau froide, pour stopper la cuisson... Puis, ce n'est pas amusant d'être séparé !

Nous nous retrouvons ensuite dans la chambre avant d'aller siroter notre cocktail de bienvenue. Nous repartons alors en direction de la gare pour trouver un restaurant. En fait, nous en avions repérer quelques uns sur le chemin qui mène à la gare. Nous testons donc ce soir un petit restaurant : 4 ou 5 tables équipées de plaques chauffantes, genre plancha, et un grand bar lui aussi équipé de plaques chauffantes. D'ailleurs, la patronne cuisine sur une grande plancha au bout du bar. Elle y prépare des sortes de tapas (y compris du tofu grillé) qu'elle dépose ensuite dans des petits récipients qu'elle fabrique elle-même avec une feuille de papier aluminium, ou des omelettes en maniant diverses spatules en inox avec dextérité.

En fait, les plaques chauffantes des tables ne servent pas à faire cuire les aliments mais juste à les conserver au chaud. Comme la patronne ne parle pas anglais, sa fille (nous le supposons) vient prendre la commande : nous prenons ce que nous pensons être une omelette garnie de bœuf pour Anne-Marie et de porc, calamar et crevette pour Christophe (mais que nous partagerons). Quand arrive le moment de préparer notre commande, la patronne commence par étaler sur sa plancha une sorte de pâte à crêpe avant d'y déposer dessus une tonne de chou japonais coupé en lamelles (Anne-Marie qui n'aime pas les crudités est alors désespérée). Puis, elle y dépose les morceaux de viande (ou de calamar et la grosse crevette) et laisse chauffer. Quelques minutes plus tard, elle reverse à nouveau de la pâte à crêpe par dessus, retourne les galettes d’un seul coup de spatule adroit et laisse encore cuire quelques minutes. Enfin, elle ajoute quelques épices (nous avions dit oui sans savoir quel était la force de ces épices), étale une couche de sauce brune par dessus et en un coup de spatule, ces galettes finissent devant nous. Qu'allons-nous manger ? En attentant, nous avions espionné nos voisins : ils utilisaient des petites spatules pour en découper des petits morceaux qu'ils déposaient dans une petite assiette, pour manger avec les baguettes. Première bouchée : c'est excellent ! Anne-Marie est même rassurée car la tonne de chou a complètement fondu. C'est un peu salé (mais beaucoup de plats sont trop salés au Japon) mais ces "okonomiyaki" (nous avons cherché ensuite le nom de ce plat sur internet) ont vraiment beaucoup de goût et ils ne sont pas chers du tout (puis, c'est préparé devant soi en une dizaine de minutes)

couvert

Météo de la journée :
Assez nuageux même si ça c'est bien tenu (il n'a pas plu). Quelques éclaircies !

La procession de l'"Aoi Matsuri"

Page n° 33 sur 59 :

"Kyōto & Co. (18 / 21)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.