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ISLANDE du 11 au 25 juin 2016
Voyage du 11 au 25 juin 2016
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

preambule

Ca faisait très longtemps que nous rêvions de visiter l’Islande, au moins depuis 1999, année où nous nous sommes rendus à Yellowstone pour découvrir les geysers de ce parc national américain. Après avoir contemplé "Old Faithfull", il nous fallait découvrir le geyser original, Geysir, celui qui avait donné son nom à ce phénomène volcanique ! Puis, des amis avaient fait un trek en Islande et en étaient revenus enchantés. Sans oublier qu’en 2010, le volcan sous le glacier Eyjafjallajökull nous avait bien rappelé que l’Islande était toute proche de l’Europe et que l’activité volcanique de cette île était bien présente... Bref, il nous fallait visiter cette île, sans attendre encore des années, surtout après notre voyage au Japon où nous avions apprécié les bains d’eau chaude d’origine volcanique (les "onsen"), activité largement présente en Islande !

Bien évidemment, il y avait quelques raisons à ces années d’attente. Tout d’abord la météo : l’Islande est située juste en dessous du cercle polaire arctique, dans l’océan atlantique nord et en plein dans le "Gulf Stream", le large courant transatlantique qui ramène les eaux chaudes des Bermudes droit sur la côte méridionale de l’Islande ! Comme "air frais polaire + courant marin chaud" donne bien généralement de bonnes précipitations (pluie ou neige) et cela particulièrement en fin d’été boréal quand les eaux de l’Atlantique nord ont bien été réchauffées par le soleil estival, la période de l’année la plus propice côté météo, pour espérer avoir des températures positives et surtout, quelques journées avec du ciel bleu en Islande (c'est-à-dire sans couverture nuageuse épaisse) se situe entre début juin et fin juillet (quand le soleil disparaît à peine sous l’horizon).

Bien sûr, tout cela est relatif (à Reykjavík, il y a statistiquement 10 jours de pluie en juin et juillet, contre 12 jours en août), mais nous comptions quand-même partir mi-juin pour éviter la foule des touristes européens, même si les routes à l’intérieur du pays seraient peut-être encore fermées à cette période de l’année, mais pour une première découverte de l’Islande, un tour de l’île en suivant la route circulaire n° 1 nous semblait largement suffisant pour remplir deux semaines de voyage.

Autre problème de l’Islande : le coût de la vie sur place ! Heureusement, l’Islande ne se situe pas aux antipodes et les billets d’avion restent à des prix relativement abordables (en tout cas, en dehors du mois d’août) mais nos amis qui avaient fait un trek sur l’île (avant 2008), nous avaient rapporté avoir payé presque 100 euros pour dormir sur des lits de camp dans un gymnase ! En 2016, pour une chambre en "guesthouse", il faut compter environ 100 euros par nuit et pour un bon repas dans un restaurant simple (c’est à dire sans connotation gastronomique étoilé, mais sans pour autant tomber dans le hamburger ou la part de pizza), il faut compter dans les 50 euros par personne. Autre exemple, pour entrer au "Blue Lagoon", le grand bassin d’eau chaude très populaire parmi les touristes, il faut débourser au minimum 50 euros, à 9 heures du soir quand les groupes d’excursion touristique sont repartis. En tous cas, c’était une raison de plus de partir en juin, avant que la horde touristique débarque d’Europe et que les prix s’envolent !

Bref, entre la météo et le coût de la vie, ce n’était vraiment pas facile de préparer un voyage en Islande. Même quand nous nous y sommes vraiment mis, nous ne savions pas comment faire ? Réserver des hébergements à l’avance allait nous obliger à suivre un itinéraire prédéfini : si une pluie intense s’abattait sur Geysir le jour où nous avions prévu de contempler ce geyser, cette étape importante à nos yeux, serait inévitablement un fiasco complet (essayer de voir des gouttelettes d’eau projetées par un geyser, au milieu de milliers de gouttes de pluie descendant en sens inverse, ça tient du miracle ;-)). Ne pas réserver ? Le risque de devoir sauter une étape, faute d’hébergement disponible (à un prix "raisonnable"), nous semblait trop important... Prendre une tente au cas où, pour camper ? Plier une tente trempée par une nuit de pluie intense et ininterrompue, avec un vent à décorner les bœufs (nuit finie dans la voiture pour être au sec) est un exercice très peu plaisant qui allait certainement nous arriver si nous choisissions cette solution (de toute façon, pas très compatible avec un voyage en avion)...

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