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ISLANDE du 11 au 25 juin 2016
Voyage du 11 au 25 juin 2016
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Finalement, un collège d’Anne-Marie lui a soufflé LA solution (et nous confirmons, c’était vraiment la meilleure solution pour qui cherche à être libre de toutes contraintes) : le camping-car ! Au début cette idée ne plaisait pas à Christophe : circuler en Islande, sur des routes non-goudronnées, avec un énorme engin pesant quelques tonnes et avalant le carburant à la vitesse d’un dromadaire assoiffé (comme celui que nous avions loué au Canada, de camping-car, pas de dromadaire) allait vite se transformer en cauchemar ! Cependant, les loueurs de camping-cars islandais ("camper" en version anglo-islandaise) proposent des engins bien spécifiques à leur île : des véhicules comme le "Renault Kangoo", aménagés pour le camping, c'est-à-dire équipés, de manière artisanale, de quelques rangements et d’un "lit" dans la partie arrière du véhicule. Pour deux personnes, avec les sacs de voyage et le matériel photo, un tel véhicule est trop petit mais des gros 4x4 sont aussi proposés à la location (à un prix très onéreux et un tel engin est parfaitement inutile pour faire le tour de l’Islande par la route n° 1) ou des fourgons comme le "Renault Traffic". Vu l’aménagement léger et sommaire mais suffisant de ces fourgons, ça nous semblait une bonne idée pour éviter de consommer plus de 20 litres de carburant aux 100 km, pour moduler le programme en fonction des conditions météo ou de nos coups de cœurs et dormir au sec en toute circonstance, même s’il nous faudrait trouver des campings pour passer la nuit (pour les sanitaires car il n’y a pas de toilettes à bord de ces fourgons aménagés).

Du coup, nous n’avons même pas regardé la différence de coût avec la location d’une voiture et les nuits en "guesthouse" car nous comptions sur le fait de pouvoir nous faire à manger dans le camping-car pour combler la différence de prix (et l’hypothèse était valable car il est pratiquement impossible de manger pour moins de 50 euros, par personne et par jour, au restaurant en Islande ; nous avons refait le calcul après coup, en sachant bien évidemment le nombre de litres de diesel qu’a consommé le fourgon).

Fin février, juste avant de partir à Bali, Anne-Marie a réservé les billets d’avion par Lufthansa (qui était la moins cher à partir de Toulouse, même si nous avions quelques différents avec cette compagnie suite au gros retard, l’année dernière, sur le vol en partance pour le Japon) et un fourgon aménagé camping par "Camp Easy", compagnie située à Reykjavík (il y a plusieurs compagnies de location en Islande de tels véhicules, avec des prix équivalents et des aménagements plus ou moins élaborés). Nous avons pris toutes les assurances possibles pour le fourgon (dont l’assurance "gravillons" car une portion de la route n° 1 et d’autres pistes non réservées aux 4x4, ne sont pas goudronnées), un kit avec une table de camping et deux chaises (si la météo était suffisamment clémente pour nous permettre de manger à l’extérieur du fourgon) et un routeur 4G - Wifi pour nous permettre de consulter internet (routeur qui nous a été très utile, en particulier pour consulter les sites météo, mais aussi les sites de réservation en ligne comme celui du "Blue Lagoon"). Autre option que nous avons prise avec la location du fourgon : les billets de bus entre l’aéroport international et le terminal de bus de Reykjavík où "Camp Easy" viendrait nous chercher et nous ramener.

Nous étions alors quasiment prêts à partir, il ne restait plus qu’à lire les guides de voyage que nous avions achetés, avec le support d’une carte routière, et essayer de déchiffrer les noms islandais à rallonge où figurent des lettres bizarres, pour savoir où nous voulions passer : Geysir, bien évidemment, les chutes d’eau de Gullfoss, mais aussi "Blue Lagoon", les alentours du lac Mývatn, Húsavík pour aller voir les baleines, les chutes de Dettifoss (là où a été tournée la première scène du film "Prometheus" de Ridley Scott), celles d'Hengifoss, la lagune de Jökulsárlón où flottent des icebergs en bordure de la plus grande calotte glacière d’Islande, le parc de Skaftafell, les chutes d’eau de Skógafoss, etc... Mais aurions-nous le temps de visiter tout ça, surtout si nous comptions attendre d’avoir des conditions météorologiques favorables pour certaines étapes cruciales, avant de continuer notre route ? L’Islande n’est pas très grande, côté distance à parcourir, ça ne posait pas de souci mais quelle météo allions-nous avoir durant le séjour ?

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