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PHILIPPINES - VISAYAS du 25 mars au 9 avril 2017
Voyage du 25 mars au 9 avril 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

pratique

Le safari plongée d’Abyssworld :

Nous n’avons aucun reproche à faire sur l’organisation du séjour qui est quasi-parfaite (d’accord, ils ont juste oublié de commander le soleil ;-)). Certes à Bali, c’était un peu mieux organisé pour quelques points, en particulier pour la partie terrestre, mais les spécificités du séjour dans les Visayas, se déroulant sur plusieurs îles, font que l’organisation de Bali ne peut être appliquée aux Philippines. Quoiqu’il en soit, nous avons préféré les plongées aux Philippines (même si à Bali, nous avons fait de très belles plongées dont quelques unes extraordinaires et qu’il y avait du soleil). Bref, c’était bien, c’était chouette et nous sommes prêts à repartir dans les Philippines (ou retourner à Bali) avec Abyssworld, sans la moindre hésitation.

Plongées :

Nous n’avons eu à nous occuper de rien, juste à enfiler nos combinaisons, sauter à l’eau et admirer les fonds et la faune sous-marine !

Le bateau, le Sagana, une bangka traditionnelle philippine, était grand, avec un grand carré qui se prête bien pour les longues heures de navigation entre les îles. Côté coin plongée, c’est un peu moins bien organisé qu’à Bali mais ça ne pose aucun problème car l’équipage assiste énormément les plongeurs (le bateau de Bali, le Markisa, est bien mieux équipé côté plongée, mais pour les longues navigations, le Sagana est heureusement bien mieux adapté). A noter qu’il est fortement recommandé d’avoir des chaussures avec lesquelles il est possible de marcher dans l’eau, sur le platier de corail mort, en évitant les épines d’oursin (les tongs ne remplissent pas vraiment ce besoin mais les bottillons de plongée sont bien adaptés à cet exercice) car l’embarquement s’effectue souvent via des petites bangkas qui ne peuvent aller jusqu’à la plage (car il n’y a pas de plage à tous les coups). Durant tout le séjour, nos affaires de plongée sont restées sur le bateau, gérées par l’équipage : nous avons juste eu à le monter sur les blocs avant la première plongée du séjour (il s’agit de bloc alu, 12 litres - ou 14 litres avec supplément - majoritairement étrier, même s’il y avait quelques DIN) et nous avons récupéré le tout, rincé à l’eau douce, le dernier jour. Côté température de l’eau, nous avons eu 26 °C en moyenne (+/- 1 °C) : la combinaison 5 mm (ou plus) est alors bien nécessaire pour rester une heure dans l’eau (surtout lors de la 3ième plongée de la journée).

Comme les déplacements inter-îles se font avec le bateau de plongée (sur lequel les plongeurs et tous leurs sacs embarquent et débarquent généralement via les petites bangkas), avoir un sac (bien) étanche nous semble nécessaire pour protéger le matériel sensible à l’eau de mer (en particulier tout ce qui est électronique, appareil photo, chargeur et batterie, ordinateur, mais aussi les passeports qui sont maintenant équipés d’une puce électronique).

Grosso-modo, le planning tournait autour de cycles de deux jours : une journée à 3 plongées (il est alors utile de prévoir une batterie de rechange pour l’appareil photo pour la changer sur le bateau) suivie d’une journée à 2 plongées. Les sites étaient bien choisis (nous étions rarement avec d’autres bateaux de plongée sur les sites) et ce, de manière sécuritaire. Au programme, ce sont principalement des plongées le long de magnifiques tombants (qui peuvent descendre profond mais on ne descend pas sous les 30 mètres), souvent en dérivantes, se finissant dans un jardin de corail. Nous avons fait deux "muck dives" sur un fond de sable noir à la recherche de poissons démons, poissons fantômes ou autres hippocampes (à noter qu’une bonne loupe ou un masque correcteur sont obligatoires pour les presbytes), et trois plongées de nuit (une petite lampe de plongée avec un faisceau étroit suffit amplement pour l’observation ; à propos, normalement, les phares de plongée doivent être pris en cabine mais depuis les téléphones explosifs de Samsung, les compagnies aériennes se méfient des batteries lithium de forte capacité, c'est-à-dire supérieure à 100 Wh, utilisées dans des appareils électroniques bien plus gourmands que la plupart des phares de plongée de moins de 6 LEDs qui utilisent des batteries d’une trentaine de Wh ; mais sans la moindre indication sur les batteries, dans le doute, les agents des compagnies aériennes et les agents de sécurité des aéroports peuvent réagir de manière absurde...).

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