-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Pour l’étape Trujillo, Anne-Marie a eu l’idée de demander une journée de moins dans cette ville (il y avait bien d’autres sites archéologiques accessibles depuis Trujillo, mais à plus d’une journée de bus de cette ville) pour la remplacer par une journée de plus à Arequipa, pendant laquelle nous pourrions en profiter pour monter en altitude (au dessus de 4.400 m d’altitude, par exemple dans la réserve nationale de "Salinas y Aguada Blanca", méconnue de "Comptoir des Voyages" ; en passant par une agence locale d’Arequipa), pour commencer à nous acclimater avant Puno et les rives du lac Titicaca situés à 3.800 mètres d’altitude. Mi-février, après vérification du programme avec le guide "Lonely Planet" en main (une nouvelle édition, "L’essentiel du Pérou", bien plus claire que l’édition originale), celui-ci a été bouclé et fin février, nous recevions la confirmation que les hôtels étaient bien réservés après paiement de l’acompte.

Il ne restait donc plus qu’à payer le solde du voyage 35 jours avant le départ prévu le 29 août (juste à la fin des congés scolaires et en milieu de semaine pour bénéficier de prix plus attractifs sur les billets d’avion, sachant que d’un point de vue météorologique, septembre est au cœur de l’hiver austral qui est la saison sèche et ensoleillée pour la partie andine mais la saison brumeuse pour Lima que nous visiterions à peine). Malgré des week-ends sportifs après notre retour des Philippines (histoire d’être en forme et de commencer une très légère acclimatation à l’altitude avec des randonnées à plus de 2.000 mètres), l’attente a été longue et pleines surprises, bonnes comme la naissance fin avril de très beaux chatons que nous avons adoptés (Leeloo et Léia) et mauvaises comme le changement mi-mai, des règles pour la visite du "Machu Picchu" (officiellement, le billet d’entrée au site n’est plus valable que pour une demi-journée, matin ou après-midi, et le début de la visite doit se faire obligatoirement avec un guide ; "Comptoir des Voyages" nous a donc un peu poussé pour réserver un guide par leur soin, moyennant une somme non négligeable, en émettant l’hypothèse qu’avec ce changement de règles tardif, il pourrait y avoir une pénurie de guide anglophone ou francophone).

Puis, début mars, un phénomène "El Niño" côtier (des pluies très abondantes causées par un réchauffement local des eaux côtières alors qu’un phénomène "El Niño" standard, comme celui intervenu au cours de l’hiver 2015-2016, est provoqué par un courant chaud traversant tout le Pacifique) a généré de grandes inondations au Pérou avec d’importants dégâts. Nous ne savions même pas qu’un tel phénomène météorologique pouvait sévir !

De plus, les probabilités d’émergence d’un nouveau phénomène "El Niño" standard pour la fin de l’été (2017) atteignait les 50 % début juillet. Vu les dépressions tropicales que nous avons subies en Guadeloupe, en décembre dernier, puis aux Philippines en mars alors que nous étions au cœur de la saison sèche pour cet archipel, c’était à se demander si nous n’attirions pas le mauvais temps pendant nos vacances ? Alors, allions-nous arriver à voir le "Machu Picchu" ?

PS : certains partent bien à l’aventure sans réserver le moindre hôtel. C’est certainement tout à fait possible mais le risque de ne trouver qu’un hôtel très bas de gamme, avec l’impossibilité de sécuriser au minimum notre matériel photo à cause d’une porte de chambre ne fermant pas à clef par exemple, est, dans ce cas, certainement loin d’être nul (expérience vécue au Chili à "San Pedro de Atacama" en 2001). Et comme nous tenons particulièrement à nos appareils photo (après plus de 20 ans d’achats, petit à petit, certains objectifs ne valent financièrement plus rien mais leur qualité optique est toujours là, ce qui n’est plus forcément le cas du matériel fabriqué aujourd’hui en Chine), nous proscrivons totalement le mode routard dans nos voyages !

Page n° 2 sur 67 :

"Préambule (2 / 3)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2024 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.