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BONAIRE du 10 au 26 janvier 2019
Voyage du 10 au 26 janvier 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 21 janvier : (suite)

Bien évidemment, après une heure de plongée, nous sortons de l’eau vers 9 heures et demie (en utilisant le parachute de palier et en vérifiant bien que rien ne troublait la surface de l’eau avant de sortir la tête hors de l’eau). Nous sommes alors de retour à l’appartement vers 10 heures du matin. Le temps de glandouiller un peu avant de manger vers midi, nous nous repréparons à plonger vers 1 heure de l’après-midi. Nous passons alors à Port Bonaire prendre 4 blocs pleins et nous nous rendons ensuite directement sur le site le plus au nord (des sites que nous avons fréquentés durant notre séjour), Karpata, sans passer par Tolo, alors que ce matin, nous avons plongé sur le site le plus au sud. Aujourd’hui, c’est donc la journée des extrêmes !

Vers 1 heure et demie de l’après-midi, nous arrivons à Karpata et avant de nous mettre à l’eau, nous regardons une palanquée faire de même. Ils passent debout sur le gros bloc de béton qui se situe à un mètre du rivage et qui émerge hors de l’eau. Cela ne nous semble pas une bonne idée car il faut alors jouer à l’équilibriste sur le béton glissant pour la mise à l’eau. C’est un très bon moyen de glisser et de se faire mal. Nous pensons qu’il vaut mieux contourner ce bloc de béton par la droite, en s’appuyant avec la main gauche sur le béton, même si deux gros rochers immergés ne facilitent pas le passage. Notre technique n’est certes pas facile, mais elle nous semble tout de même bien moins périlleuse.

Une fois à l’eau, nous palmons en surface pour rejoindre la bouée du site et un plongeur nous signale alors la présence de céphalopodes avec des pattes... Nous avions pensé à un poulpe mais il s’agit d’un banc de 7 ou 8 calmars, tous en ligne. Nous nous en occuperons en fin de plongée car pour le moment, il y a trop de plongeurs autour de ces animaux généralement assez craintifs. Pratiquement sous la bouée, un grand canyon entaille profondément le tombant vertigineux qui doit facilement descendre dans les 50 mètres (à 20 mètres de profondeur, nous avons l’impression d’être seulement au premier tiers du tombant). Nous ne suivons donc pas le gros barracuda qui, à notre arrivée, se met à descendre le long du canyon, surtout pas !

Nous partons ensuite tombant main gauche et nous traversons alors un premier canyon, puis un second, un troisième... C’est la configuration typique d’un site de plongée où nous nous perdons généralement (mais pas cette fois, puisque nous avons retrouvé la bouée en fin de plongée, même si nous n’avons pas vu la grande ancre au retour). Le tombant est bien poissonneux : diodons, poissons anges, chevaliers ponctués, etc... C’est vrai que Karpata est un beau site de plongée, même si la mise à l’eau est laborieuse. En fin de plongée, de retour à proximité des calmars qui se laissent facilement approcher, Anne-Marie insiste pour que Christophe les filme sous toutes les coutures car la batterie de son appareil photo est vide. Pas de chance !

A 4 heures de l’après-midi, nous sommes de retour à l’appartement. Il faut alors rincer le matériel photo au plus vite, pour remettre en charge toutes les batteries ! Ce soir, nous comptons faire une plongée de nuit pour enfin essayer de filmer les tarpons (et avoir un compte rond en nombre de plongée pour le séjour : 29, ça ne le faisait pas trop ;-)). Ca sera notre dernière tentative du séjour, c’est donc ce soir ou jamais. A 5 heures et demie, nous rechargeons donc notre matériel de plongée dans le pick-up et nous nous rendons à "Bachelor’s beach". Nous attendons encore un bon quart d’heure au bord de la plage et nous nous mettons à l’eau après que le soleil soit passé sous l’horizon. Nous nageons ensuite tranquillement jusqu’à la bouée où nous attendons encore quelques minutes avant de nous immerger. Pendant ce temps, Anne-Marie essaie de photographier une mouette perchée au dessus de la bouée, sans succès. Nous avons prévu une plongée de seulement 40 minutes car la fatigue commence à bien se faire ressentir (et heureusement que nous plongeons au Nitrox ; nous serions encore plus fatigués à l’air).

Comme d’habitude sur ce site, nous partons tombant main droite, en direction du nord, durant 20 minutes pendant lesquelles nous observons un banc de petits poissons passer à toute vitesse, des poissons perroquets qui aimeraient bien être tranquilles pour faire leurs bulles et une petite murène, mais pas de tarpon ! Bien évidemment, après avoir fait demi-tour, il nous faut une vingtaine de minutes pour revenir à la bouée où nous attendons alors les tarpons qui n’ont toujours pas fait l’honneur de leur présence.

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"Récit du séjour (20 / 27)"
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