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BONAIRE du 10 au 26 janvier 2019
Voyage du 10 au 26 janvier 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 24 janvier : (suite)

D’ailleurs, alors que nous sommes en train de pique-niquer à "playa Funchi", des plongeurs nous font la démonstration du risque de plonger dans le parc national. Une première palanquée de deux plongeurs vient de ressortir de l’eau sans encombre mais ils semblent comme inquiets, ils cherchent visiblement d’autres plongeurs. Ils partent alors aussitôt sur le haut de la petite falaise surplombant la baie. Et une bonne quinzaine de minutes plus tard, quand ils sont de retour sur la plage, nous distinguons les têtes de deux plongeurs émergés de l’eau, très loin au nord de la baie... Ces plongeurs essayent de s’immerger à nouveau, certainement pour éviter les vagues, mais ils ne tardent pas à remonter. Ils coupent alors au plus court dans la baie, se jetant sur des gros rochers où se brisent les vagues. Ils sont très mal en point ! Quand ils finissent par sortir miraculeusement sans casse de ce mauvais pas, nous nous rendons compte que nous n’avions jamais vu des personnes aussi livides !

Notre pique-nique a donc été assez animé, d’un côté par ces plongeurs inconscients, mais aussi à cause des voraces godzillas miniatures, les lézards "Cnemidophorus murinus ruthveni", endémiques à Bonaire, qui pullulent sur la plage. Nous avons bien essayé de leur lancer un morceau de pain pour les éloigner mais d’autres sont arrivés et se sont rapprochés à moins de 2 ou 3 centimètres de nos doigts de pied. Après le pique-nique, nous rejoignons au plus vite "Boka Slagbaai" pour refaire quelques photos de cet ancien village de pêcheurs. Dans la grande baie de ce site, bien abritée, nous observons alors une palanquée de 15 plongeurs se mettre à l’eau : même en ordre dispersé comme ils font, y a-t-il un plaisir à plonger en si large groupe ? Nous tentons ensuite quelques photos des flamants roses, mais ceux-ci sont trop loin, surtout que nous n’avons pas de téléobjectifs. Cela dit, c’est en reprenant la route après "Boka Slagbaai", que nous nous retrouvons au plus près de ces oiseaux. La route pour revenir à la porte d’entrée du parc se fait ensuite rapidement et sans difficulté, contrairement à 2015, mais il nous faut tout de même une petite quarantaine de minutes pour ressortir du parc.

Nous sommes de retour à l’appartement vers 3 heures et demie. Nous nous reposons alors un peu avant de rejoindre "Bachelor’s beach" une heure plus tard. Nous repensons aux plongeurs en difficulté de "playa Funchi" : alors qu’habituellement à "Bachelor’s beach", c’est tout calme, aujourd’hui les vagues sont assez hautes et nous souffrons même, tout au bord, d’une contre-vague car celles-ci sont assez fortes pour atteindre la petite falaise, se refléter contre elle et repartir en sens inverse ! Pendant que nous nous baignons, nous voyons arriver des plongeurs. A 17h05, les premiers plongeurs de la palanquée se mettent à l’eau et s’immergent à cinq mètres du rivage. 5 bonnes minutes plus tard, le dernier plongeur de la planquée s’immerge, seul... 17h25 : un premier plongeur ressort, seul, visiblement épuisé comme s’il avait fait 2 km de nage par grande profondeur. 17h35 : tout le reste de la palanquée ressort dans 2 mètres d’eau, en ordre dispersé, étalés sur une cinquantaine de mètres le long de la côte. Ils ont donc plongée 30 minutes, à partir du bord. Sans palmer rapidement, il faut 5 bonnes minutes pour rejoindre le récif (et le même temps pour en revenir), ils ne passent au mieux que 20 minutes sur le récif. Ils n’ont donc pas le temps d’aller très loin. Ce profil de plongée nous semble bien mystérieux : pourquoi seulement 30 minutes et pourquoi s’immerger dès le début, sans palmer en surface pour se rapprocher du récif ? Même en restant dans la courbe de sécurité des ordinateurs, on peut plonger bien plus longtemps. Et sur les sites internet PADI, impossible d’en savoir plus, sans devoir payer... Le mystère reste entier !

A 6 heures et demie, nous nous rendons au centre-ville mais nous ne savons pas trop où aller manger. Le restaurant péruvien où nous sommes allés en 2015, n’existe plus ! A sa place, a ouvert une "steak house" proposant aussi, d’après son enseigne, des plats péruviens. Mais la carte de ce restaurant ne propose même pas un ceviche (et un "aji de gallina", une délicieuse spécialité péruvienne, serait inimaginable). C’est dommage car c’est bon la cuisine péruvienne (même si en 2015, celle de ce restaurant n’était pas forcément au top des standards péruviens).

Anne-Marie regarde la carte du restaurant adjacent qui ressemble plus à un bar à bière qu’à un vrai restaurant. Du coup, pour notre dernier dîner du séjour, nous préférons assurer en retournant au "Mona Lisa". Et nous avons bien fait ! La bisque de homard (dirons-nous, car "lobster" en anglais s’applique aussi bien au homard qu’à la langouste ou la langoustine) ainsi que le sashimi de de thon (servi avec du wasabi) que nous commandons en entrée sont excellents.

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"Récit du séjour (25 / 27)"
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