-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
RUSSIE du 31 mai au 9 juin 2019
Voyage du 31 mai au 9 juin 2019
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Métro :

Que ce soit à Saint Pétersbourg ou à Moscou, en rentrant dans une station de métro, il faut passer un contrôle de sécurité qui se limite à passer sous un portique de détection de métal en conservant tout sur soi, y compris un éventuel petit sac à dos ou des appareils photo reflex (attention : peut-être qu’en essayant de passer avec une bombe atomique, le portique se met à sonner ?). Cependant, nous avons vu une ou deux fois des agents de sécurité vérifier des gros bagages aux rayons X. Quoiqu’il en soit, ce contrôle se déroule sans la moindre contrainte.

Nous avons peu utilisé le métro à Saint Pétersbourg (un des métros les plus profonds au monde, la longueur des escalators pour atteindre les stations depuis la surface est impressionnante) mais il ressemble beaucoup à celui de Moscou (en un peu moins pratique car il y a moins de lignes, bien que cela le rend aussi paradoxalement plus facile à utiliser).

Le métro de Moscou, le plus beau du monde pour ses stations datant de l’ère soviétique, qui donnent parfois l’impression d’arriver dans une salle d’apparat d’un palais impérial plutôt qu’une station de métro, est assez pratique à utiliser (même s’il vaut mieux apprendre un peu l’alphabet cyrillique pour s’y retrouver rapidement, mais on y trouve tout de même les noms des stations en alphabet latin). Le réseau est assez dense pour atteindre presque n’importe quel point de la ville mais il faut toutefois faire attention à la distance entre les stations qui est généralement assez grande (de l’ordre du kilomètre et pas de la centaine de mètres comme en France). Et justement, comme les stations sont éloignées les unes des autres, le métro est donc rapide car les rames n’ont pas besoin de s’arrêter tous les 300 mètres et elles accélèrent et freinent fort, dans un bruit assourdissant... Il est certes le plus beau au monde mais pas le plus silencieux (les métros pékinois ou tokyoïte sont plus silencieux, modernes et sécuritaires). Cependant, malgré leur âge certain, les rames sont propres et ne présentent aucune dégradation d’aucune sorte (en particulier, aucun détritus ne traîne sur les voies). Il faut aussi noter que la fréquence de passage des rames est assez élevée, nous n’avons jamais eu à attendre bien longtemps sur le quai avant qu’une rame n’arrive.

Pour payer le métro à Moscou, nous avons pris une carte rechargeable Troïka que nous avons pu partager à deux (pas besoin d’avoir une carte par voyageur). Cette carte est vraiment très pratique : elle coûte 50 roubles (moins d’un euro et ça fait un souvenir) et elle permet ensuite de payer le trajet 38 roubles, c’est-à-dire un peu moins cher qu’à l’unité. Pour Saint Pétersbourg, nous avons acheté des jetons à l’unité (45 roubles).

La Flèche Rouge :
(le train de nuit entre Saint Pétersbourg & Moscou)

Là encore, avant de rentrer dans la gare, il faut passer un contrôle de sécurité, un poil plus poussé que dans le métro, puisqu’il faut passer tous les sacs dans une machine à rayons X. Mais comme dans le métro, ce contrôle se déroule sans problème.

Une fois dans la gare, il faut attendre que le numéro du quai soit annoncé une vingtaine de minutes avant le départ du train (à Saint Pétersbourg, c’est affiché sur un grand panneau en russe et en chinois). Il faut ensuite trouver son wagon et pour cela, il n’y a aucun affichage indiquant la composition du train, ni d’indication au sol comme au Japon (et au guichet d’information de la gare, peu d'espoir de récupérer la moindre information pour savoir où se situe exactement votre wagon, à part le numéro du quai). Heureusement, dès que le train arrive en gare, les contrôleurs se positionnent devant les portes des wagons et aident les voyageurs à trouver leur wagon et compartiment... Avant d’embarquer, les contrôleurs vérifient les billets et les passeports sur le quai (on n’a vraiment pas intérêt de perdre son passeport en Russie car il faut le passeport dont le numéro est indiqué sur le billet de train).

Page n° 6 sur 39 :

"En pratique (2 / 6)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.