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RUSSIE du 31 mai au 9 juin 2019
Voyage du 31 mai au 9 juin 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 31 mai : (suite)

Le petit hic, ce sont les 20 bonnes minutes d’attente avant de pouvoir accéder à la piste de décollage (nous avons attendu un long moment avant d’être poussé sur le tarmac par un petit chariot télécommandé, puis encore un long moment dans la file d’attente avant de décoller).

Le vol passe ensuite relativement vite (il n’y a pas grand chose à voir par le hublot : de temps en temps, la mer, une plage, un fjord, surtout en début de vol car en arrivant sur Saint Pétersbourg, il n’y avait plus que des nuages) et nous atterrissons vers 14h30 à l’aéroport de Saint Pétersbourg, sans réel retard.

Une fois débarqué de l’avion, nous passons alors le contrôle de police à la frontière le plus austère que nous n’ayons jamais passé, mais aussi le plus logique (et sans contrainte) : sans un mot, sans un sourire, le policier a pris notre passeport (il fallait passer un par un), a pianoté sur son ordinateur pendant deux ou trois minutes, a scanné notre passeport et a imprimé une petite fiche qu’il a mis dans le passeport après l’avoir tamponner (petite fiche qu’il ne faut absolument pas perdre) ! Ce contrôle était assez intimidant mais au moins, il n’y pas eu de fiches à remplir à la main, dans l’avion ou, pire, dans la file d’attente du contrôle. Il faut dire qu’avec la demande de visa, les autorités russes avaient toutes les informations sur nous et notre voyage (combien de temps nous allions rester, dans quel hôtel nous allions résider, etc...), pourquoi aurait-il fallu remplir une fiche à la noix en plus ?

Comme le contrôle de police à la frontière a été long, nos bagages ont largement eu le temps d’être débarqués et tournent déjà sur le tapis de livraison quand nous arrivons enfin devant. Le contrôle de douane n’est ensuite qu’une simple formalité (juste passer sous la porte "rien à déclarer", comme un peu partout dans le monde où le trafic de nectarines n’est pas scrupuleusement contrôlé comme au Chili) et quand nous arrivons dans le hall d'arrivée de l’aérogare, notre chauffeur tenant un petit panneau à notre nom, nous attend. Avec juste un simple "hello" (et sans autre mot) et un geste de politesse pour pousser notre chariot à bagage, il nous amène sur le parking où il a garé sa voiture.

Commence alors une séance de sport automobile : le conducteur russe ne semble connaître que deux positions sur les pédales de frein et accélérateur : relâchée ou poussée à fond (ce qui engendre de grosses accélérations et des freinages brusques)... C’est moins pire qu’en Chine mais c’est tout de même spécial ! Au fait, deux files de circulation matérialisées au sol permettent de faire circuler trois files de voitures de front, sans le moindre problème, mais les passages piétons sont tout de même scrupuleusement respectés (par notre chauffeur mais aussi par les autres conducteurs). Avant d’arriver à notre hôtel, le chauffeur passe devant le musée de l’Ermitage, le long de la Néva, et devant la cathédrale "Saint Sauveur sur le Sang Versé" : bref, nous avons déjà presque tout vu de Saint Pétersbourg ;-) ! Ou du moins, le plus important...

Notre hôtel est d’ailleurs situé à 260 m (à vol d’oiseau, ou 300 mètres à pied) de la cathédrale "Saint Sauveur sur le Sang Versé" que l’on pourrait presque apercevoir de la fenêtre de notre chambre située au premier étage (chambre 203), mais l’immeuble du Marché Rond nous bloque la vue... Dans un sens, ça permettra à Christophe d’oublier les échafaudages installés sur le clocher de la cathédrale (mais elle n’a pas flambé, il y a juste quelques échafaudages en bois, ça aurait pu être pire). Après être passés en configuration "randonnée urbaine", nous quittons au plus vite l’hôtel pour un premier tour de reconnaissance de la ville, autour du musée de l’Ermitage, en nous dirigeant grosso-modo vers tout ce qui est doré, flèches ou dômes, ce qui ne manque pas à Saint Pétersbourg, entre les chapelles du Palais d’Hiver, l’amirauté ou la cathédrale "Saint Pierre et Saint Paul". Au passage, nous en profitons pour récupérer des roubles dans un distributeur automatique mais les retraits sont plafonnés à 7.500 roubles, soit environ 100 euros : nous verrons bien combien de temps cela nous durera !

Le Palais d'Hiver du musée de l'Emitage,
vu depuis la rive opposée de la Néva

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"Saint Pétersbourg (2 / 17)"
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