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RUSSIE du 31 mai au 9 juin 2019
Voyage du 31 mai au 9 juin 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 1er juin : (suite)

Jeanne nous informe alors que la visite de cette cathédrale est fort intéressante car elle est surnommée le musée de géologie du fait de la diversité des pierres utilisées pour sa décoration (granit, marbre, malachite, lapis-lazuli...). Et cerise sur le gâteau, il est possible de monter jusqu’à la coupole d’où l’on jouit d’une magnifique vue sur Saint Pétersbourg ! Cet après-midi ensoleillé devrait bien se prêter à la visite de ce monument.

Arrêt suivant : la cathédrale "Saint Nicolas des Marins" qui est remarquable notamment grâce à son clocher séparé du bâtiment principal de la cathédrale. Jeanne comptait nous faire visiter l’intérieur mais les règles ont changé : il faut maintenant payer l’entrée (nous aurions pu payer) mais il ne devait pas y avoir que ça car une affichette indiquait qu’il fallait maintenant demander l’autorisation au clergé local pour les visites (c’est donc inutile de revenir par nous-même pour la visiter). Du coup, Viktor nous amène derrière le canal Krioukov d’où l’on jouit d’une belle vue sur la cathédrale et son clocher. Nous notons au passage que le centre de Saint Pétersbourg n’est que palais (devenus musée ou centre administratif), cathédrales ou églises...

Viktor retraverse une nouvelle fois la Néva pour rejoindre l’île de Petrograd, le berceau historique de la ville de Saint Pétersbourg, mais nous sommes vites coincés dans des bouchons à cause de travaux (Jeanne nous dit que ce sont certainement des travaux pour le forum économique et que tout est fait à la dernière minute comme d’habitude ; c’est amusant de se rendre compte que les citoyens d’un pays pensent que l’herbe est plus verte ailleurs, alors que c’est un peu partout pareil dans le monde). Viktor est énervé et s’empresse de faire demi-tour pour trouver une route moins encombrée, mais ce bouchon nous aura permis de voir des tramways d’époques différentes (le plus vieux ne servait plus que pour le tourisme).

En passant à proximité de la forteresse Pierre-et-Paul, Jeanne nous montre la station de métro la plus proche. Christophe avait planifié d’y venir à pied mais peut-être que le métro nous évitera de marcher inutilement un ou deux kilomètres (car on parcourt vite plusieurs kilomètres dans Saint Pétersbourg et il vaut mieux économiser ses forces pour les visites de musées). Viktor nous dépose ensuite à proximité du croiseur Aurore, un symbole de la révolution d’octobre (1917) car c’est depuis ce navire que fut tiré le coup de canon à blanc, marquant l’attaque du Palais d’Hiver où siégeait le gouvernement provisoire mis place après la révolution de février (1917).

Jeanne nous amène alors dans un magasin touristique à proximité de ce croiseur, afin de profiter des toilettes et de nous montrer la différence entre des produits artisanaux locaux et des produits fabriqués en Chine (mais vu la quantité et la diversité de matriochkas exposées sur les étagères de ce magasin, ce n’est pas certain qu’il n’y ait que de l’artisanat local, surtout pour les matriochkas à l’effigie de Vladimir Poutine ou de joueurs de foot). Christophe craque sur une matriochka en bois, sans dorure, sans peinture brillante, toute simple, mais au prix tout de même salé... Mais la dame représentée sur les poupées tenait un chat dans les bras ;-) ! Il est amusant de noter que le magasin offre (gratuitement) le verre de thé, mais aussi de vodka ou de liqueur de canneberge, en self-service...

Après cette pause commerciale, Viktor nous récupère pour faire le tour en voiture de la maisonnette de Pierre le Grand, la cabane en bois (grand modèle) où le Tsar a résidé pour superviser la construction de la ville. Nous passons ensuite devant la mosquée de Saint Pétersbourg, avant de traverser le pont de la Trinité qui nous mène tout droit au champ de Mars, situé à proximité du jardin d’été et du château Saint-Michel (qui est le seul château de Saint Pétersbourg car les autres "monuments" de la ville sont des palais). C’est jour de mariage, un couple est en train de poser pour des photos devant l’entrée du château, à côté d’une monstrueuse Cadillac Escalade blanche (un gros SUV américain : plus de 110.000 euros, prix catalogue, 17,1 l/100 km en cycle urbain, soit 390 g/km, ce qui veut dire qu’en 2.600 km, cet engin émet autant de CO2 qu’un passager sur un vol aller-retour Paris - New-York ; pas la peine de se prendre la tête avec le réchauffement de la planète, les Américaines ont envie de bronzer en bikini par 28 °C à l’ombre sur les plages du Groenland :-$).

Nous suivons ensuite les rives de la Fontanka (un bras de la Néva) pour rejoindre la perspective Nevski (la grande artère qui traverse Saint Pétersbourg). Nous passons alors devant l'épicerie Elisseïev, l'immeuble de la compagnie Singer et la cathédrale Notre Dame de Kazan. En nous rendant au jardin de Catherine (où trône le monument à Catherine II), nous passons devant une école de danse où de très nombreux parents attendent pour inscrire leurs filles (car, rapidement, nous n’avons pas vu de garçons). C’est l’école où ont été tournées des scènes du film de Cédric Klapisch, "Les Poupées Russes".

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"Saint Pétersbourg (5 / 17)"
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