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RUSSIE du 31 mai au 9 juin 2019
Voyage du 31 mai au 9 juin 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 7 juin : (suite)

Vers 6 heures et demie, la première sonnette retentit et nous pouvons rejoindre nos places dans l’amphithéâtre ("Амфитеатр, Прабая сторона, Ряд 1 Место 1 & 2"), places qui sont très bien situées (la vue vers la scène est d’un très bon rapport qualité/prix, mais les places ne sont tout de même pas très confortables). Nous allons donc assister à "Кармен" de "Ж. Бизе" (c’est-à-dire Carmen de G. Bizet) dans la magnifique et historique salle du Bolchoï. De toute façon, même si nous n’aimons pas l’opéra, la salle avec toutes ses dorures (rien que le rideau de la scène est magnifique) valent le coup d’œil (mais la visite seule de la salle ne vaut peut-être pas les 10.000 roubles par personne ;-)).

A 19h00 précises, le spectacle commence : "Po, poum-po-poum, poum..." D’accord, ça va être difficile de retranscrire nos sensations... Les musiciens de l’orchestre sont excellents, la musique (accessible pour les incultes en musique classique que nous sommes, surtout Christophe) est pas mal aussi. Les décors bougent dans toutes les sens, il y a plein de chanteurs sur scène, c’est très impressionnant ! Les morceaux joués par les chœurs sont émouvants, nous avons adoré, mais les solos sont parfois bien difficiles à apprécier à leur juste valeur (ça reste quand-même bizarre). Cependant, même si l’opéra est en français, nous ne comprenons quasiment rien des paroles, à part parfois un "Carrmaineeee, jeeee t’aimeeeeeuuu". Disons que le ténor italien, Andréa Caré, s’en sort mieux dans la prononciation du français que Carmen, jouée par Yulia Mazurova, la régionale de l’étape. Parfois, il faut même utiliser le sur-titrage en russe (projeté sur un écran au-dessus de la scène) pour comprendre que le même mot est répété par les chanteurs, mais sans comprendre ce mot. Cela dit, par rapport au ballet classique, Christophe a aimé (même si renouveler l’expérience ne fait pas partie de ses priorités) et Anne-Marie a, elle aussi, beaucoup apprécié, bien plus que le ballet.

En rentrant à l’hôtel, à 11 heures du soir passées, nous n’avons rien mangé et rien bu à part une petite bouteille de Vittel durant l’un des entractes... C’est pour ça qu’Anne-Marie propose d’aller boire une vodka au bar de l’hôtel (du Beluga). C’est quand-même un peu fort mais en y pressant le jus des rondelles de citron que le barman nous a proposées, ça passe (bien) mieux !

soleil

Météo de la journée :
Beau et chaud, avec quelques petits nuages !

Samedi 8 juin : Cosmo, Coco, Métro !

Après le petit-déjeuner, nous quittons l’hôtel vers 9 heures du matin pour rejoindre à pied le pont "Bolchoï Kamenny" d’où l’on jouit d’une belle vue sur la cathédrale du Christ-Sauveur mais aussi et surtout, sur le Kremlin (pour traverser les 6 voies du pont, il suffit de descendre par l’escalier installé le long d’un des piliers et de passer sous le pont, il y a un escalier pour remonter de l’autre côté). Nous poursuivons ensuite à pied jusqu’au monument au prince Vladimir (situé à côté de la tour Borovitskaya du Kremlin), pour reprendre le métro dans le jardin d’Alexandre, jusqu’à la station VDNKh, au nord de la ville.

Ce matin est prévue la visite du musée de la Cosmonautique, situé sous l’impressionnant monument des Conquérants de l’Espace, un monument en titane de 110 m de haut. Le premier hall regroupe tout ce qui a trait au début des vols spatiaux russes, Spoutnik 1 en octobre 1957 et Spoutnik 2 qui emmenait un mois plus tard la chienne Laïka (les Russes ont au moins eu la décence de ne pas terroriser un chat, contrairement aux Français, même s’ils ont réalisé le premier méchoui spatial de chien). Puis, il y a d’autres vols avec d’autres chiens, avant d’arriver au premier vol d’un homme dans l’espace avec une reproduction de la capsule Vostok de Gagarine. Cette capsule embarquait un siège éjectable : une fois la rentrée effectuée, Gagarine s’est éjecté pour finir la descente en parachute alors que sa capsule allait impacter le sol plus rudement, juste freinée par un petit parachute. Dans ce même hall, Anne-Marie se demande ce qu’est l’étrange tube en tissu : c’était un sas gonflable de décompression pour les sorties extravéhiculaires par lequel le cosmonaute passait en quittant sa capsule Vostok (les Américains avaient choisi comme solution de décompresser toute la capsule Gemini).

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"Moscou (7 / 11)"
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