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RUSSIE du 31 mai au 9 juin 2019
Voyage du 31 mai au 9 juin 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 8 juin : (suite)

La partie du musée dédiée à Sergueï Korolev, le concepteur des fusées Vostock, puis des Soyouz (lanceur toujours utilisé aujourd’hui par les Russes pour envoyer des cosmo-astro-spatio-nautes vers la station spatiale internationale, l’ISS, et par les Européens pour lancer des satellites depuis Kourou, Guyane Française), est sans réel intérêt car les traductions en anglais sont rares. Dans les autres salles du musée, figurent les maquettes des différentes sondes lunaires, martiennes ou vénusiennes russes, des moteurs de fusées, une maquette taille réelle d’un tronçon de la station spatiale Mir (mais nous avons bien mieux à la Cité de l’Espace de Toulouse qui possède la maquette d’entraînement de toute la station Mir), ainsi que divers objets liés à la coopération internationale en matière de vol spatial. Ainsi est évoquée la mission Soyouz-Apollo du 25 juillet 1975, quand deux cosmonautes russes ont serré la main de trois astronautes américains dans l’espace, à 230 km au-dessus de la surface terrestre. Bien évidemment, l’ISS est largement évoquée. La visite du musée se termine par la galerie des maquettes des différents lanceurs, du Vostok de Gagarine, à l’énorme fusée Energia qui devait servir propulser la navette russe Bourane, mais aussi les maquettes de différents pas de tirs à travers le monde.

En revenant vers le hall d’entrée, nous nous apercevons qu’un film sur l’ISS est en train d’être projeté dans la salle de cinéma du musée, mais celui-ci est sur sa fin. Comme personne ne semble se lever dans la salle, nous attendons aussi, pensant que la projection du film va bientôt recommencer mais après un bon quart d’heure d’attente, le film n’a toujours pas commencé. Nous quittons alors cette salle de cinéma et le musée (en passant au préalable par la boutique où Christophe trouve des écussons brodés commémorant le vol de Gagarine et la mission Soyouz-Apollo).

Nous entrons ensuite dans le parc VDNKh (renommé "centre panrusse des expositions" depuis 1992) en passant sous un monumental arc de triomphe dominé par une gigantesque statue dorée d'un conducteur de tracteur et d'une kolkhozienne, tenant à bout de bras une énorme gerbe de blé ! Il fallait montrer que l’Union Soviétique baignait dans l’opulence et récoltait plein de blé, même si certains pays de l’union sortaient tout juste de la famine. Mais tel était le mot d’ordre de cette sorte d’exposition universelle pour les républiques de l’URSS où chaque pays avait son pavillon (ces pavillons ont aujourd’hui été rachetés par des entreprises privées et transformés en magasins). Quoiqu’il en soit, la fontaine de l'amitié entre les peuples, composée de 16 statues en bronze doré représentant des femmes des républiques soviétiques dans leurs costumes nationaux, est tout de même impressionnante. Elle est presque aussi impressionnante que la "Grande Cascade" du Peterhof.

Ce qui intéresse le plus Christophe se situe tout au fond de ce grand parc : c’est la réplique grandeur nature d’une fusée Vostok, installée comme sur son pas de tir, devant le pavillon du Cosmos. A côté de ce lanceur est exposé un Sukhoi 27 (un avion de combat russe des années 90), un hélicoptère MIL Mi-8 (que les téléspectateurs d’"Ushuaïa Nature" connaissent bien ; au fait, sa consommation est de 750 litres de kérosène par heure... A raison de 3 kg de CO2 émis par litre de kérosène brûlé, notre sympathique défenseur de l’environnement, Nicolas Hulot, dégageait plus de 2 tonnes de CO2 par heure d’utilisation de cet hélicoptère lors des tournages de ses émissions, c’est-à-dire l’équivalent de 2 vols allers-retours Paris - New-York pour un passager) et un Yak-42 (petit avion de ligne triréacteur).

Pour finir, Anne-Marie veut voir de plus près la grande statue de "l'ouvrier et la kolkhozienne" (tenant à bout de bras un marteau et une faucille) que l’on voit (au loin) depuis l’arc de triomphe de l’entrée du parc VDNKh. Cette statue semble si proche mais il faut tout de même marcher près d’un kilomètre pour arriver à son pied. En fait, c’est surtout que la statue est gigantesque : 25 mètres de haut (et 80 tonnes d’alliage d’acier-chrome-nickel), posé sur un piédestal de 37 mètres de haut. Nous revenons ensuite vers le musée de la Cosmonautique, pour voir d’un peu plus près le monument des Conquérants de l’Espace, qui est situé dans le prolongement de l’allée des cosmonautes où nous nous attardons quelques minutes.

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"Moscou (8 / 11)"
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