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BONAIRE du 21 mars au 5 avril 2022
Voyage du 21 mars au 5 avril 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

preambule

Initialement, nous voulions partir en janvier dernier (2022), juste après les fêtes de fin d'année. Nous aurions bien aimé partir à Bonaire pour plonger sans limite mais il faut passer par Amsterdam, puis faire une escale à Aruba, avant d'enfin arriver au paradis des plongeurs (surnom de Bonaire). Pour cela, il nous aurait fallu respecter 4 réglementations anti-Covid-19 différentes (la française, celle des Pays-Bas, d'Aruba et celle de Bonaire), avec des tests avant l'embarquement de délais différents, de potentiels tests à l'arrivée (peut-être même lors de l'escale à Aruba) et donc d'hypothétiques quarantaines... Bref, un vrai casse-tête administratif d'une effroyable complexité (qui n'est pas que l'apanage des bureaucrates français, même si ceux-ci ont su mettre en avant leur savoir-faire inégalé en la matière ces deux dernières années) pour répondre à des demandes sanitaires pas toutes très logiques et souvent peu pragmatiques (cf note n° 1 ci-dessous) ! Et comme toutes ces règles évoluaient en temps-réel en fonction de la situation épidémique des pays qui elle, n’évoluait pas spécialement dans le bon sens, nous avons attendu le plus longtemps possible avant de réserver...

Note n° 1 : le test Covid-19 effectué à l'aéroport d'arrivée en complément d'un test avant l'embarquement, est-il bien utile ? N'importe quel touriste faisant preuve d'un peu de lucidité, c'est-à-dire n'ayant pas envie de gâcher ses vacances en restant plusieurs jours en isolement, fera attention en réduisant drastiquement ses contacts sociaux une dizaine de jours avant la réalisation du test requis pour l'embarquement, mais aussi pendant le laps de temps séparant ce test et l'embarquement. Certes, obligé de côtoyer dans les aérogares et les transports d'autres personnes sans respect de la moindre distanciation sociale (bien que la plupart des personnes qu'il va côtoyer pendant le voyage sont aussi censés avoir un résultat de test négatif), ce touriste clairvoyant peut potentiellement être contaminé lors du voyage mais cette contamination ne devrait logiquement datée, tout au plus, que d'une quinzaine d'heures. Et probablement, la charge virale acquise par ce pauvre touriste ne devrait pas être suffisante pour être détectée par un test à l'arrivée, surtout s'il s'agit d'un autotest antigénique. Ce test est donc parfaitement inutile, CQFD ! D'affreux malandrins en blouse blanche pourraient me rétorquer que ma démonstration est biaisée. C'est vrai ! J'ai en effet pris comme hypothèse de base un "touriste faisant preuve d'un peu de lucidité".

Mais malheureusement, cette catégorie ne semble pas être très largement majoritaire. Et bien que la perspective d'un enfermement à deux pas d'une mer bleu turquoise (supplice utilisé par les Américains à Guantánamo) devrait en faire réfléchir plus d'un, cela n'empêche pas un certain nombre d'individus de multiplier leurs contacts sociaux avant de voyager...

Fin novembre 2021, la découverte du variant Omicron en Afrique du Sud a déclenché un mouvement hystérique mondial de fermeture des frontières avec les pays d'Afrique Australe (hystérique car avant la publication de sa découverte, ce variant très contagieux avait largement eu le temps de se diffuser à bas bruit dans le monde entier). Mi-décembre, un confinement préventif a même été mis en place aux Pays-Bas pour contrer la future vague générée par ce nouveau variant et fin décembre, les règles des différents pays pour pouvoir voyager sont devenues encore plus restrictives. Par exemple, devant la flambée des cas en France, Bonaire a placé notre pays dans sa liste de pays "high risk", ce qui impliquait un test moins de 48 heures avant l'embarquement, un autotest à l'arrivée à Bonaire et un autre test à J+5. En comptant en plus un test de moins 48 heures pour revenir en France (Bonaire était classée dans les pays hors Union Européenne, bien qu'étant un territoire néerlandais), nous aurions dû faire 4 tests en deux semaines, c'était pousser le bouchon, ou plutôt l'écouvillon, un peu loin ! Mi-janvier, les règles bonairiennes ont changé pour devenir d'une simplicité exemplaire : il ne fallait plus présenter à l'embarquement que le résultat négatif de test RT-PCR de moins de 48 heures, ou de test antigénique de moins de 24 heures pour les voyageurs vaccinés, quel que soit le pays de provenance ! Mais c'était trop tard...

Nous aurions alors pu nous rabattre sur les Antilles Françaises (où, à cause du variant Omicron, il fallait un test de moins de 24 heures avant d'embarquer, ce qui pouvait être difficile à obtenir avec l'explosion du nombre de tests réalisés que l'on a connu début janvier avec des files d'attente incroyables devant les laboratoires d'analyse médicale et les pharmacies ; et fin mars, le test de moins de 24 heures était toujours demandé, même si le variant Omicron s'était largement répandu dans les Antilles depuis la fin novembre 2021) mais une violente fronde antivax sur fond de crise sociale et de soupçons de mafia, s'était déclenchée à la mi-novembre dans ces îles. Comme le gouvernement français s'était contenté de repousser l'obligation vaccinale pour les soignants guadeloupéens et martiniquais à la fin de l'année, après les congés de Noël (période très favorable au tourisme dans ces départements), le risque que cette fronde reparte début janvier était non négligeable...

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