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BONAIRE du 21 mars au 5 avril 2022
Voyage du 21 mars au 5 avril 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

De plus, la Guadeloupe, du moins la réserve Cousteau, s'est disqualifiée quand nous avons appris que le parc national de Guadeloupe interdisait depuis août 2021 la prise de photos et de vidéos sous-marines dans les eaux du parc naturel. Même l'immersion d'un hydrophone quelques centimètres sous l'eau pour la prise de son était interdite ! Quand on a presque 30 ans de plongée, dont 20 ans de photos sous-marines, qu'on est largement sensibilisé à la protection de l'environnement, qu'on sait bien se stabiliser et qu'on fait très attention, mais parce que l'on a un appareil photo entre les mains, il paraît qu'on est plus dangereux pour la faune et la flore sous-marine qu'un plongeur débutant (ou un plongeur PADI)... Bien évidemment, silence absolu sur le mouillage fréquent de gros yachts privés dans le périmètre de la réserve, ou la disparition de langoustes de leur repaire habituel après les fêtes de fin d'année. Mais, peut-être que les langoustes avaient décidé de rejoindre les nasses des pêcheurs pour échapper aux photographes... Ou alors, une base de recherche virologique secrète mais néanmoins sous-marine, est cachée dans la réserve (base où les virologues travaillent bien évidemment sur un futur variant du coronavirus, variant qui sera diffusé prochainement pour prolonger la pandémie et par ce biais, continuer d'asservir et de contrôler les peuples) et ils voulaient que personne ne filme ou n’enregistre le son de cette base... Bin quoi ? Si on ne peut même plus inventer sa petite théorie du complot à soi, on va où ? Puis, franchement, cette théorie est aussi saugrenue que cette interdiction est insensée !

Nous avons alors envisagé d'autres destinations comme Cuba (plutôt laxiste pour les restrictions sanitaires), la Thaïlande (pas spécialement laxiste, loin de là) ou encore le Mexique (pour anecdote : quasiment le soir-même où nous avons évoqué cette destination, nous avons vu un reportage sur l'insécurité à Tulum, paisible village quand nous y sommes allés en 2010, insécurité due aux cartels de la drogue qui règlent leurs comptes à coups d'armes à feu devant les restaurants touristiques), mais les restrictions de voyage évoluaient trop vite. Le risque de devoir annuler le voyage à la dernière minute à cause de motifs impérieux pour pouvoir passer la frontière, d'une quarantaine imposée ou d'annulation de vol due à des membres d'équipage en congés maladie, était trop important ! De plus, avec la forte contagiosité du variant Omicron, le risque d'attraper le Covid-19 pendant le trajet (risque très limité dans l'avion grâce à sa climatisation mais quid des aérogares et des bus aéroportuaires ?) était de l'ordre du possible et devoir rester confiné pendant nos vacances n'était pas une option envisageable. Nous ne sommes donc pas partis en janvier !

Le 2 février, nous n'avions plus que 3 plongées à notre actif en un an et le 4 février marquait un an sans prendre l'avion... Nous comptions pourtant bien rassurer au plus vite les ayatollahs de l'écologie en réservant un billet pour partir loin, mais il nous fallait d'abord répondre à la question primordiale : quand ? Début février, Anne-Marie a commencé à entrevoir une fenêtre de tir pour la fin mars. Elle a alors contacté la pension de nos chats pour connaître leurs disponibilités : pas avant le 20 mars !

Mais au moins, nous pouvions nous poser la question suivante : où partir plonger dans des eaux chaudes entre fin mars et début avril ? Il nous fallait trouver une destination où nous pouvions nous rendre facilement (même si des gouvernements à travers le monde commençaient à lever les restrictions de voyage, certaines destinations restaient toujours fermées au tourisme) et où les conditions de plongée étaient "cool, zen, no stress" ! Hors de question donc de se lancer dans des courants de folie comme aux Maldives ou sur certains spots de l'île Maurice, ni de descendre sur l'épave du Roraïma par 50 mètres de fond dans la baie de St Pierre en Martinique. De toute façon, des plongées "cool, zen, no stress", en nombre illimité, au Nitrox, ça ne se trouve qu'à un seul endroit sur Terre : Bonaire !

Le 10 février, sans même attendre la confirmation de pouvoir s’absenter de son travail, Anne-Marie a commencé par réserver un appartement, avec annulation gratuite. Malheureusement, nous ne pouvions pas retourner dans l'appartement où nous allions depuis notre premier voyage à Bonaire car il n'était plus disponible qu'en location longue durée. Il nous fallait faire le deuil de la terrasse sans vis-à-vis avec un petit barbecue individuel. Le 14 février, ayant obtenu l'autorisation officielle de s’absenter de son travail, Anne-Marie a réservé l'avion, confirmé les dates auprès de la pension pour chats et réservé le pick-up, véhicule indispensable pour pouvoir plonger depuis le rivage à Bonaire. C'était le dernier véhicule disponible à la location dans l'agence que nous avions utilisée en 2019, comme quoi, organiser un voyage à la quasi dernière minute (un peu plus d'un mois avant le départ), c'est loin d'être évident !

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