Téléphonie mobile : (suite & fin)
Cependant comme nous restions deux semaines, nous avons donc acheté deux forfaits. L'un a été activé immédiatement à l’aéroport par l’employée de la boutique et le second forfait devait l’être une semaine plus tard. Mais quand Anne-Marie a voulu l’activer, elle s’est rendu compte que celui-ci débutait aussi à la date d’achat (cela ne pouvait pas être une arnaque car l’employée de la boutique de téléphone n’a pas pu profiter de ce forfait, elle a juste commis une erreur). Heureusement, nous avons pu acheter à la réception du camping de Palmwag, des coupons avec un numéro à gratter (un peu comme les tickets de jeux de loterie) qui ont permis de prolonger le forfait de 7 jours (10 N$ pour un coupon d’une journée) et finalement retrouver nos 3 Go de data et 700 minutes d’appel pour la dernière semaine.
Météo :
Nous avons eu moins froid en novembre cette année qu’en septembre lors de notre séjour de 2012, surtout la nuit. Disons que nous avons eu entre 15 °C la nuit et une bonne trentaine de degrés en journée.
Cependant, alors qu’en septembre nous n’avions eu que du ciel bleu, nous avons eu quelques averses (se résumant généralement à une dizaine de gouttes d’eau sur le pare-brise pendant 5 minutes, bien qu’avant d’arriver à Namutoni, nous avons traversé un gros orage avec des trombes d’eau), deux jours sans vraiment voir le soleil, caché derrière une belle couche de nuages, et une tempête de sable qui s’est levée subitement et arrêtée tout aussi subitement une heure et demie après (laissant alors place à un beau coucher de soleil avec un double arc-en-ciel). A noter aussi que nous avons eu assez souvent du fort vent (4 jours sur le séjour).
Donc, contrairement à septembre où il faut des habits chauds pour supporter les températures frisquettes après le coucher du soleil, en novembre, on peut prévoir des vêtements plus légers. La veste imperméable pour la pluie reste facultative (nous n’avons même pas eu le temps de les sortir du sac).
Braconnage :
Il faut en safari, que ce soit en Namibie ou dans d’autres pays d’Afrique, obligatoirement désactiver la fonction géolocalisation des téléphones ou des appareils photo possédant une puce GPS (qui est souvent gourmande en énergie, raison de plus pour inhiber cette fonction). La raison en est fort simple : on n'arrête pas le progrès et les braconniers repèrent maintenant les rhinocéros ou les éléphants grâce aux réseaux sociaux (quand les touristes publient une photo de rhinocéros ou d’éléphant avec leur téléphone, celle-ci est généralement géolocalisée et la position de l’animal est alors dévoilée aux braconniers) !
Inutile de rappeler que les rhinocéros sont tués par les braconniers pour leurs cornes qui, réduites en poudre, auraient soi-disant des vertus miracles dans la médecine asiatique, alors qu'il ne s’agit que de kératine, c'est-à-dire la substance qui compose nos ongles ! A propos, messieurs les milliardaires asiatiques, sachez qu'il existe une substance extrêmement rare, capable de guérir irrémédiablement l'impuissance ou les troubles de l’érection : le cerveau déshydraté de djihadistes (il y en a à peine 3 mg par individu) ! Quant aux couilles de prêtres catholiques pédophiles, elles permettent de guérir du cancer et le pénis de traders de "Wall Street" ou d’oligarques russes pro-Poutine, malgré sa haute teneur en cocaïne, découpé en fines lamelles, permet de guérir du psoriasis. Oui, ce sont des conneries, autant que celles de croire que la poudre de kératine de rhinocéros ait des vertus aphrodisiaques !