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NAMIBIE du 8 au 24 novembre 2022
Voyage du 8 au 24 novembre 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 10 novembre : (suite & fin)

Au bout d’un moment, le lion finit même par chasser la femelle qui mangeait avec lui, pour finir de dévorer le reste de viande seul. Quelques Français traitent alors le lion de masochiste... C’est de l’anthropomorphisme stupide ! Dans la nature, le lion protège le clan : il a donc besoin de force, même si les lionnes ont aussi besoin de force pour chasser (en se servant donc souvent en premier avant l’arrivée du lion). Puis, personne n’a expliqué à ce lion en semi-liberté qu’il devait changer ses habitudes pour paraître plus humain (ces Français pourraient peut-être aller expliquer les bonnes manières aux talibans en Afghanistan, plutôt que s’en prendre à ce pauvre lion qui, heureusement, n’a pas entendu les remontrances des Français ;-)).

Distance parcourue dans la journée au volant du 4x4 : environ 240 km (total : 250 km).

soleil

Météo de la journée :
quelques nuages dessinés dans le ciel bleu, nuages chassés par du vent assez fort.

Vendredi 11 novembre : Lions, hyènes & éléphants...

Ce matin, il était inutile de mettre un réveil car les francolins, des sortes de petites pintades aves des yeux jaunes, ont fait un raffut de tous les diables autour de la tente, et ce, quasiment dès le lever du jour. Nous n'émergeons de la tente qu'à 8 heures du matin mais nous étions réveillés bien avant. Les francolins se baladent sur notre emplacement et des dik-diks sont en train de traverser le lac asséché qui borde les emplacements de camping (dont le nôtre).

C'est donc l’heure de notre premier petit-déjeuner en camping du voyage. Christophe sort la bouteille de gaz et y monte le brûleur mais, un nouvelle fois, plusieurs allumettes sont cramées sans que la moindre flamme se dégage du réchaud. Ce matin, le vent n'y est pour rien car c'est le brûleur qui est bouché : seule une infime quantité de gaz arrive à sortir alors que la bouteille de gaz est pleine. Ce désagrément nous est déjà arrivé une fois avec un réchaud de camping mais seul un petit tour du brûleur dans un bain à ultra-sons avait résolu le problème. Christophe essaie tout de même avec une aiguille à coudre d'ouvrir le chemin au gaz et heureusement, ce matin, la chance est avec nous car le gaz finit par sortir de manière suffisante pour faire chauffer de l'eau dans la bouilloire. Nous avons juste perdu pas mal de temps alors que nous pourrions déjà être sur la route d'Etosha.

Après avoir plié la tente et rangé tout le matériel de camping dans le 4x4, nous nous rendons au lodge pour le check-out et payer notre petite note (les boissons au bar et le repas des lions). Comme en sortant du camping, le GPS voulait nous faire tourner en direction de l'ouest, nous préférons demander confirmation de la route à suivre auprès de la réceptionniste : vers l'est, c'est plus simple pour se rendre à Namutoni ! C'est donc parti pour refaire les 40 km de piste en sens inverse, avant de tourner à gauche sur la route goudronnée B1, en direction du nord !

A Otjiwarongo, nous nous arrêtons dans un supermarché pour acheter 3 bricoles dont un briquet pour allumer le feu et avoir un peu de monnaies pour le pourboire du pompiste du futur plein de carburant. A la sortie de la ville, des policiers contrôlent les voitures. Ils nous demandent juste où nous nous rendons. Mais au village suivant, nouveau contrôle : le policier (jeune, cela a toute son importance) demande de voir la "driving license" du conducteur. Christophe lui tend alors son permis de conduire, émis en 1985, avec la traduction en anglais, ce qui fait sourire le policier quand il regarde la photo. Eh oui, comme les permis de conduire français n'ont pas de durée de validé, la photo date des 18 ans de Christophe. Au moins, les 38 euros de traduction n’auront pas été utiles (et si nous avions reçu nos permis de conduire international à temps, avec une photo récente, nous n'aurions pas fait sourire un policier namibien ; il faut voir le bon côté des choses).

Nous mangeons un sandwich au bord de la route avant d'atteindre les abords de Tsumeb où nous ne bifurquons pas vers l'est pour continuer vers Etosha. Sur les conseils d'Ysaline, nous nous rendons au centre-ville de Tsumeb pour refaire le plein de carburant, pour avoir le maximum d'autonomie dans Etosha où trouver du diesel est souvent problématique (en effet, il n'y avait plus de diesel à la station-service d'Okaukuejo où nous avons tenté de refaire le plein 4 jours plus tard). Nous nous arrêtons alors à la première station-service à l'entrée de la ville où le pompiste nous avait repéré de loin. Le temps de faire le plein (un petit, nous n'avons pas entamé le réservoir inférieur) et de mettre le frigo en ordre pour entrer dans Etosha, nous reprenons la direction du parc national sous des trombes d'eau qui rendent la route glissante (l'écope du hard-top est restée ouverte depuis ce matin mais, par chance, de l'eau n'est pas entrée dans la benne). Heureusement, plus nous nous rapprochons d'Etosha, plus les averses se font rares et les nuages finissent même par se disperser pour laisser la place à des éclaircies.

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"Etosha (8 / 18)"
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