-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
NAMIBIE du 8 au 24 novembre 2022
Voyage du 8 au 24 novembre 2022
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 14 novembre : (suite & fin)

Après le repas, un "steak game" (nous ne savons pas de quel animal) avec de la purée et des petits légumes’ et en dessert, une crème glacée chocolat-menthe (le tout arrosé de 3 "Savanna Dry" partagé à deux et d’un verre d’Amarula, chacun), nous retournons bien évidemment au point d’eau où nous observons, tout d’abord, une hyène tachetée, des rhinocéros (dont une mère avec son petit qu’elle essaie de chasser), des girafes, des chacals et un lièvre. Arrivent ensuite 8 éléphants qui se contentent de boire du bord mais ils ne restent pas bien longtemps. Etrange : lors de l’arrivées des éléphants, les rhinocéros se sont mis au milieu de la marre. Ceux-ci craignent-ils les éléphants, alors que les girafes ont apprécié la présence rassurante des pachydermes car elles se sont alors mises à boire ? Malheureusement, après une journée bien longue et bien remplie, nous tombons de fatigue. Nous ne restons donc pas trop longtemps au point d’eau. Espérons que nous pourrons y revenir dans 10 ans (ou même avant) !

Distance parcourue dans la journée au volant du 4x4 : environ 150 km (total 1.140 km)

Distance parcourue dans le véhicule de safari le matin : environ 120 km

soleil

Météo de la journée :
grand ciel bleu, avec quelques nuages bien lointains vers l’ouest.

Mardi 15 novembre : Eléphants, rhinocéros & vautours...

Nous quittons le camp d’Okaukuejo à 8 heures du matin : nous nous améliorons dans le rangement du matériel de camping dans le 4x4. En plus, nous avons eu le temps de passer à la station-service (ça a été vite fait car il n'y avait plus de diesel) et à la supérette du camp pour acheter 4 bouteilles d'eau (pendant que Christophe passait à la supérette, Anne-Marie essayait de joindre, sans succès, le "Dolomite camp" pour réserver une table au restaurant pour ce soir). Dès la sortie du camp, nous apercevons un rhinocéros qui avance tranquillement et parallèlement à la piste. Celui-ci doit se rendre au point d'eau du camp.

La piste est très bonne au début comme nous l'avions découvert hier après-midi, mais après le barrage "Charl Marais", la surface en tôle ondulée de la piste rend le trajet difficile. A 20 km/h, nous sommes déjà bien secoués mais à 40 km/h, les vibrations sont insupportables. Impossible de rouler à cette vitesse sans risquer de tout casser. Nous avons presque 200 km à parcourir aujourd'hui, à 20 km/h, ça pourrait nous prendre 10 heures... Nous n'avons donc pas le temps de trop traîner, pourtant, 2 km après le point d'eau de Sonderkop, nous nous arrêtons pour souffler un peu dans l'aire de pique-nique / toilettes. Arrive alors un Sud-Africain, seul au volant de son 4x4. Il nous demande d'où nous venons et dans quel état est la piste vers Okaukuejo. Il nous dit alors qu'il vient de "Dolomite camp" et que l'état de la piste est horrible. Il nous dit qu'à partir de 60 km/h, on ressent moins les vibrations mais que malheureusement, la limitation de vitesse dans le parc est justement de 60 km/h. En repartant, Christophe essaie alors d'atteindre cette vitesse. La zone des 40 km/h est vraiment très difficile à passer mais après, c'est vrai que les vibrations sont un peu plus supportables, même si Christophe a alors la sensation de piloter un aéroglisseur survolant la piste. Il roule/vole alors bien au milieu de la piste, pour éviter de côtoyer de trop près les arbustes sur le bord de la piste.

Nous nous sommes quand-même arrêtés quelques minutes aux points d'eau les plus proches de notre route. Il n'y avait pas beaucoup d'animaux à observer (oryx, bubales, gnous, zèbres) mais 22 km avant Olifantsrus, au point d'eau nommé Teëspoed (normalement inactif, mais il y avait tout de même de l'eau), nous nous arrêtons un peu plus longtemps car il y avait deux éléphants mâles en train de boire, avant que n'arrive toute une harde d'éléphants avec des petits. Nous repartons cependant avant que tout ce beau mode reparte. Nous arrivons ensuite à Olifantsrus vers midi. Après avoir passé la barrière du camp, nous prenons un dernier virage avant de nous garer à proximité d'une table de camping ombragée. Un bruit horrible est alors émis par la voiture (elle n'en faisait pas avant). Christophe coupe le moteur, le rallume et le bruit ne se fait plus entendre. Tant mieux mais c'est tout de même bizarre cette histoire !

Page n° 23 sur 43 :

"Etosha (16 / 18)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.