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NAMIBIE du 8 au 24 novembre 2022
Voyage du 8 au 24 novembre 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 17 novembre : (suite & fin)

Après avoir bu un "Savanna Dry", déplié la tente, mis le frigo sur le secteur (pour l’aider à faire du froid cette nuit, après une journée sur sa batterie qui n’a pas pu être rechargée car nous n'avons pas roulé avec le 4x4), pris une douche, nous nous rendons au restaurant pour le dîner. C’est un buffet à volonté mais il n’est pas mauvais du tout (l’agneau avec sa sauce à la menthe est très bon). Pour accompagner le repas, nous prenons une bouteille de vin rouge que nous ne finissons pas (nous la finirons demain en camping) et pour bien dormir cette nuit (si les éléphants rodent autour de notre 4x4), nous finissons le repas par un petit Amarula.

Distance parcourue dans la journée au volant du 4x4 : presque 0 km (total 1.440 km)

Distance parcourue dans le véhicule de safari : entre 200 et 300 km (estimation au pifomètre à cadran mobile)

eclaircie

Météo de la journée :
journée un peu nuageuse (bien que les gros nuages s’arrêtaient à la frontière de la concession de Palmwag) mais il faisait chaud et nous avons quand-même pris un coup de soleil sur les bras (bras gauche pour Anne-Marie et bras droit pour Christophe).

Vendredi 18 novembre : L’œil du désert !

Après avoir plié la tente et rangé le matériel de camping dans le 4x4 (encore), nous nous rendons à la réception du camping pour le check-out. Nous n’avons rien à payer pour la nuit dans la tente équipée, tant mieux ! Nous en profitons au passage pour acheter un sac de bois pour le feu, un bois bien dense et bien lourd. 60 N$, le gros paquet, ce n’est vraiment pas cher (il nous en restera même après notre dernier braai à Sesriem). Nous nous arrêtons ensuite à la petite station-service située avant le contrôle sanitaire car le chauffeur qui nous a ramené le 4x4 à Palmwag ne nous a pas laissé beaucoup de carburant dans le réservoir (vu le temps record qu’il a mis pour venir de Windhoek, on comprend bien qu’il n’a pas eu le temps de s’arrêter pour faire le plein).

Christophe pensait faire le plein mais le pompiste ne délivre que 20 litres maximum, pour ne pas vider ses cuves. Christophe qui avait demandé s’il acceptait la carte bancaire, préfère alors payer en liquide les 500 N$ (de plus, il nous reste encore plein de liquide). Le pompiste lui dit qu’il pourra faire le plein à Twyfelfontein, là où les touristes se rendent généralement pour voir les gravures rupestres que nous avons déjà vu deux fois (nous n’avons pas jugé nécessaire d’y retourner lors de ce voyage) mais nous ne comptons pas y passer. Nous avons prévu de passer par une grande ville pour faire des courses dans un supermarché et nous nous rendons donc à Khorixas où nous referons donc le plein de diesel (mais ces 20 litres supplémentaires nous semblaient nécessaires pour rejoindre cette ville).

Le passage du contrôle sanitaire se passe sans problème car le fonctionnaire en poste est très sympathique et surtout ne joue pas au cow-boy comme le policier d’avant-hier. Nous voilà donc parti pour jouer aux montagnes russes : ça monte, ça descend dans les guets des rivières asséchées et ça remonte. Quelques girafes nous attendent sur le bord de la route pour nous souhaiter bonne route.

Nous passons ensuite devant de nombreux panneaux indiquant "Petrified Forest" mais nous ne nous y arrêtons pas car nous avons déjà visité l’un de ces sites en 2002. C’était assez impressionnant (on voit réellement des cailloux qui ont la forme du tronc d’un arbre) mais nous nous disons que parmi tous ces sites, certains doivent juste permettre de voir un ou deux "arbres", ce qui serait presque de l’arnaque.

A Khorixas, nous nous arrêtons à la première grande station-service pour faire le plein : 106 litres de diesel ! Il restait donc encore 34 litres, nous aurions peut-être pu ne pas remettre 20 litres à Palmwag mais ça aurait irraisonnable de rouler sur le fond du réservoir et risquer une panne mécanique (en aspirant des impuretés au fond du réservoir).

Un supermarché se trouve juste à côté de cette station-service, un supermarché spécialisé dans la vente en gros, mais Anne-Marie y fait tout de même les courses pour la fin du séjour (viande, charcuterie, pain, etc...), pendant que Christophe surveille la voiture.

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"Le Damaraland (6 / 7)"
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