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NAMIBIE du 8 au 24 novembre 2022
Voyage du 8 au 24 novembre 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 19 novembre : (suite & fin)

Nous passons alors le reste de la journée dans la voiture, en commençant par un "Savanna Dry", puis en faisant les comptes pour savoir combien il nous reste d'argent liquide et en essayant d'estimer combien de kilomètres il nous reste à parcourir avec le 4x4, pour estimer la quantité de diesel que nous allons devoir racheter.

Vers 18 heures, après avoir hésité longtemps car le vent souffle très fort et nous ne voulions pas mettre le feu à la savane environnante, Christophe allume le feu pour le braai en utilisant le reste du charbon de bois acheté à Windhoek et juste deux morceaux de bois acheté à Palmwag, pour éviter d'avoir de grandes flammes. Le plus difficile est d'allumer l'allume-feu car le vent souffle la moindre petite flamme naissante. Christophe trouve cependant quelques pierres et surtout deux briques qui permettent enfin de bien protéger le feu du vent. Une fois que le feu a commencé à prendre, il suffit d'écarter un peu les briques pour attiser le feu sans avec le vent. Ce soir, ce sera saucisses grillées avec le reste de riz cuit le premier soir à Palmwag (ouf, nous venons de le finir). Bien évidemment, un petit verre rouge accompagne le repas. Après le repas, Anne-Marie essaie de noyer le feu mais les quelques braises qui restaient, attisées par le vent, le font repartir.

Distance parcourue dans la journée au volant du 4x4 : environ 290 km (total 2.110 km)

pluie

Météo de la journée :
quelques gouttes d’eau durant la nuit au Spitzkoppe. Au matin, les nuages sont arrivés et sur la route, nous avons eu quelques averses (quelques gouttes de pluie sur le pare-brise, pendant 4 à 5 minutes) entre quelques belles éclaircies. Mais sur le parc national du Namib-Naukluft, le ciel était plutôt gris foncé et quelques gouttes de pluie sont de nouveau tombées... Fort vent le soir !

Dimanche 20 novembre : Ciel bleu à Deadvlei !

Au réveil à 6 heures et demie du matin, nous sommes toujours seuls au monde dans le désert de Namibie. Pour chauffer de l’eau dans la bouilloire, Christophe a placé le réchaud à gaz sur la table de pique-nique en béton de l’emplacement de camping mais l’eau ne chauffe pas à cause du vent... Heureusement, en mettant le réchaud à l’abri du vent contre l’une des roues du 4x4, l’eau finit par bouillir assez vite.

Nous quittons Ganab vers 7 heures et demie du matin et nous prenons alors la direction du sud. La piste est un peu pourrie au début mais dès que nous arrivons sur la C14 (la piste qui traverse le parc national du Namib-Naukluft en son milieu), ça redevient bon. Cela dit, avant la C14, nous avons pu observer quelques animaux sauvages : des autruches, des springboks qui ont détalé à toute vitesse à notre arrivée et des outardes. Le canyon de Kuiseb, à la sortie du parc national, offre un joli panorama malgré le ciel tout gris. Nous nous y arrêtons quelques instants pour prendre quelques photos. Nous nous arrêtons ensuite à Solitaire (population officielle : 5 habitants), connu pour ses épaves de vieilles voitures à l’entrée du village et sa boulangerie où Anne-Marie achète de bons palmiers, la pâtisserie en pâte feuilletée trempée dans du sucre. Cependant, ce micro-bourg (presque une aire de service d’autoroute) pourrait aussi être connu pour son panneau indiquant l’emplacement des toilettes ;-).

Pour essayer d’expliquer l’absence d’animaux sauvages dans certains endroits de Namibie, nous nous demandons si, par exemple, le pays est plus sec que lorsque nous sommes venus en 2012 (en septembre, nous étions au cœur de la saison sèche qui s’étend de mai à octobre, alors qu’en novembre, nous sommes à la fin de la saisons sèche et au tout début de la saison des pluies, bien que les pluies soient rares et surtout très courtes comme nous l’avons expérimenté hier) ? Sur la route après Solitaire, nous pouvons ajouter un fait intéressant pour tenter de trouver la cause de cette absence d'animaux sauvages : en 2012, sur cette portion de route, nous avions vu des guépards et nous les avions perdus de vue dans les hautes herbes sèches. Aujourd’hui, les herbes sont aussi sèches mais aussi bien plus rases. On peut donc imaginer que cette taille rase est due aux herbivores qui sont partis brouter ailleurs ?

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"Le désert de Namibie (2 / 10)"
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