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NAMIBIE du 8 au 24 novembre 2022
Voyage du 8 au 24 novembre 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 22 novembre : (suite & fin)

De retour à la chambre, nous découvrons qu’une femme de ménage est passée pour ouvrir le lit et déployer la moustiquaire au-dessus. Elle a certainement dû prendre peur car nous avions des affaires étalées partout dans la chambre. Il nous faut maintenant s’attaquer à ce joli bordel et tout ranger dans nos sacs, en configuration vol, avant d’aller nous coucher au plus vite. Demain matin, le réveil sera un nouvelle fois matinal.

Distance parcourue dans la journée au volant du 4x4 : environ 360 km (total 3.010 km)

soleil

Météo de la journée :
magnifique ciel bleu, pas le moindre nuage à l’horizon, pas de vent. Quand nous nous sommes réveillés, il n’y avait que des étoiles dans le ciel limpide. A Windhoek, le soir, quelques nuages lointains, un peu de vent et la température était un peu plus fraîche (mais on est plus en altitude qu’à Sesriem).

Mercredi 23 novembre : Dernier safari !

A 6 heures et demie du matin, nous retrouvons le chauffeur/guide devant la réception du lodge. Nous ne sommes que deux pour ce safari dont l’itinéraire fait un grand tour du lodge. Après un premier cobe à croissant (une espèce qui préfère les zones humides comme la bande de Caprivi tout au nord de la Namibie, ce qui n’est pas le cas des environs de Windhoek), puis deux oryx, commence l’observation de plusieurs girafes, de loin d’abord, puis de plus en plus près. Nous observons ensuite des renards d’une espèce différente de celle que nous avons vue à Etosha car il s’agit aujourd’hui de renards à oreilles de chauve-souris, très craintifs. S'en suivent des autruches et un rollier à longs brins (d’un peu loin). Nous arrivons ensuite dans le lit d’une rivière asséchée où nous apercevons brièvement un éland du Cap. Le guide cherche alors des rhinocéros. Il repère bien quelques traces de leur passage mais nous n’en verrons pas. Alors que nous sommes de retour vers le lodge, le guide s’arrête pour une pause "thé, petits gâteaux" au pied d’une colline où sont perchés quelques babouins. Après avoir croisé une femelle cobe à croissant isolée, nous apercevons furtivement et d’assez loin des zèbres des montagnes, avant de recroiser à nouveaux quelques cobes à croissant et de rentrer au lodge vers 9h10.

Nous nous rendons alors aussitôt au restaurant pour prendre un petit-déjeuner bien copieux (c’est un grand buffet avec plein de fromages, entre autres, et des omelettes à la commande) avant de retourner à la chambre pour finir de fermer nos sacs de voyage (et de boire sur la terrasse de la chambre, les deux canettes de "Savanna Dry" qui nous restaient, à 10 heures du matin). Nous passons ensuite à la réception procéder au check-out et y laisser nos sacs. Nous attendons alors sur la terrasse ombragée du restaurant que le temps passe, en observant et photographiant des tisserins à tête rousse qui ont construits leurs nids dans un arbuste tout près de la terrasse. Un lézard "agama aculeata" nous fait même l'honneur de poser pour nous.

Nous quittons le lodge à une heure moins de quart et nous arrivons environ une heure plus tard devant les locaux du loueur encore fermés. Après avoir fait deux fois le tour du quartier pour essayer de trouver une place de stationnement, nous n’étions à peine arrêtés depuis une dizaine de minutes qu’un homme se présente en nous disant qu’il est chargé de nous conduire à l’aéroport avec notre voiture. Anne-Marie prend alors place sur la banquette arrière du 4x4 alors que Christophe prend pour la première fois la place passager, laissant le volant à cet homme. Quelques minutes plus tard, trouvant cette manière d'agir un peu surprenante (nous nous disons que cela pourrait être une bonne technique pour voler un véhicule avec sa clef), profitant que notre chauffeur passe s’acheter à boire dans une boutique, Anne-Marie envoie un SMS à Peter, le propriétaire du 4x4. Heureusement, quelques minutes plus tard, Peter appelle son mécanicien/chauffeur qui passe alors son téléphone à Christophe. Tout va bien, ouf ! Nous sommes alors un peu gênés vis-à-vis du chauffeur mais il comprend bien que c’était une simple précaution. Il nous parle alors de l’embrayage qu'il a changé sur notre premier 4x4. Il aurait pu en parler plus vite pour nous rassurer.

Une heure plus tard, nous arrivons à l’aéroport, fin de notre périple namibien. Nous attendons alors sur un banc que l'enregistrement du vol pour Johannesburg débute. Il nous reste 36 N$ à dépenser (il nous reste aussi des rands mais nous pourrons les dépenser en Afrique du Sud) : ça tombe bien, c'est pile le prix de 2 bouteilles de Coca-Cola de 600 ml ! A l’enregistrement, le steward (un débutant assisté par une hôtesse plus expérimentée) a un problème avec notre vol "Amsterdam - Toulouse" car il semblerait que nous soyons toujours enregistrés sur le vol annulé. Cependant, il arrive tout de même à sortir des tags bagage pour que nos sacs arrivent directement à Toulouse. Nous verrons bien à Amsterdam pour l'enregistrement du vol pour Toulouse.

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"Le désert de Namibie (8 / 10)"
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