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BONAIRE du 4 au 19 avril 2024
Voyage du 4 au 19 avril 2024
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 4 avril : (suite & fin)

Après une omelette au fromage et bacon, nous sommes enfin rassasiés, en tous cas, assez pour attendre le prochain repas qui sera servi dans l'avion. Après un nouveau petit tour par les magasins d'électronique (au fait, qui achèterait un clavier de piano / synthétiseur, certes enroulable, à l'aéroport alors qu'il ne s'y vend plus d'appareil photo ?) et avoir acheté des gaufrettes fourrées qui nous feront office de petit-déjeuner demain matin, nous retournons à la porte D43 dont les accès à la salle sont toujours fermés alors que la salle est toujours pleine de voyageurs en partance pour la Scandinavie... En fait, la salle d'embarquement possède deux numéros : l'un pour l'accès depuis de notre étage en zone internationale, et l'autre pour l'accès depuis l'étage supérieur en zone Schengen. Et quand le vol précédent est enfin parti, les portes menant à l'étage supérieur ont été fermées et celles de notre étage ont été ouvertes. Mystère résolu !

L'embarquement débute à l'heure (et se finit rapidement) mais le commandant de bord ne tarde pas à nous annoncer un gros retard avant le décollage en raison des forts vents qui règnent sur Amsterdam (certaines pistes ont été fermées à cause du vent). Cependant, après une dizaine de minutes, l'Airbus A-330 est poussé sur le tarmac et nous décollons avec seulement 35 minutes de retard. Les actionnaires d’Air France - KLM doivent certainement essayer de rattraper leur manque à gagner de la période Covid car l'appareil est un vieux Airbus A330, datant d'au moins d'une vingtaine d'années. Le système de divertissement, antédiluvien, ne possède même pas d'écran tactile et il faut utiliser une télécommande, avec fil, située dans l'accoudoir du siège ! La télécommande de Christophe est même toute scotchée à l'accoudoir. De plus, Il s'agit encore des vieilles prises jack doubles pour les casques audio. Heureusement, nous avons encore des adapteurs pour ce genre de prise mais les contacts se font très mal et il est difficile de trouver la bonne position micrométrique pour entendre les deux voies (gauche & droite)...

Heureusement, le repas servi à bord n'est pas trop pire (on a connu mieux, mais aussi pire en 2022). Le plateau comporte une sorte de tapas en entrée avec deux petits poivrons farcis au fromage, des morceaux de féta avec des olives et une sorte de mousse à la tomate. En plat, nous avons le choix entre des pâtes fourrées à l'arrabiata (avec des épinards, Christophe s'est fait avoir, mais heureusement, ça ne sentait pas trop les épinards) ou une saucisse de poulet servie avec une purée au goût bizarre (plat qu'a pris Anne-Marie). Enfin, un morceau de fromage est présent sur le plateau mais il n'y a pas de dessert... Cependant, en fin de repas, l'équipage nous sert une micro-tartelette.

Deux heures avant l'atterrissage (et le visionnage de plein de films, le vol a été long), l'équipage nous sert un encas composé d'une focaccia à la tomate accompagnée d’une salade bizarre (ce n'étaient pas des lentilles, on aurait presque dit du quinoa mais ça ne devait pas en être non plus) et une mousse aux spéculos.

Après 9 heures et 34 minutes de vol (encore bien secoué), nous atterrissons à Aruba à 18h08 au lieu de 17h55, horaire initialement prévue. Le retard au décollage a donc été bien rattrapé durant la traversée de l'Atlantique. Il fait encore jour à Aruba, ça nous fait un peu bizarre. Comme en 2022, il nous faut descendre de l'avion (pour des raisons de sécurité) avec nos bagages cabine mais heureusement, comme en 2022, nous n'aurons pas besoin de repasser le contrôle de sécurité. Après à peine une toute petite heure d'attente à Aruba, nous réembarquons dans le même avion et nous rasseyons aux mêmes places, pour le petit saut de puce entre Aruba et Bonaire, effectué en moins de 30 minutes (décollage à 19h29 avec presque un quart d'heure de retard, mais atterrissage à Bonaire avec 5 minutes d'avance, à 19h54 ; les passagers qui avaient embarqué à Aruba et qui continuaient vers Amsterdam sont alors priés de rester à bord, pour raison de sécurité).

Avant d'entrer dans l'aérogare de Bonaire, deux files d'attente sont matérialisées : celle pour ceux qui ont déjà payés leur taxe d'entrée sur internet, et celle pour ceux qui ne l'ont pas fait et qui sont donc priés de la remplir, debout, et de la payer sur l'internet à l'aide de leur smartphone et de la wifi de l'aérogare (mais au moins, ils peuvent scanner le QR code de la page officielle, pas celles des arnaqueurs) ! Il vaut donc mieux la payer avant le départ, confortablement assis chez soi (sur le bon site internet) ! Nos bagages mettent à un temps fou à arriver sur le tapis de livraison (premiers dans l'avion, derniers sortis de l'avion) et il ne restait plus que 3 sacs après celui de Christophe avant que la fin de livraison des bagages soit annoncée.

En sortant de l'aérogare, nous repérons rapidement la dame de la location d'appartement qui est venue nous chercher. Elle nous dit qu'elle attend encore deux autres clients mais nous étions dans les derniers à sortir de l'aérogare ? Après une bonne dizaine de minutes d'attente, nous rejoignons enfin le "Caribbean Lofts Bonaire" où les deux autres clients que nous attendions sont déjà devant la réception. L'appartement de cette année, le n° 32, est contigu à celui que nous avions loué en 2022 (le n° 31) et il lui est quasiment identique (il possède juste un lave-linge en plus mais il n'a pas de fenêtre dans les toilettes). Nous nous couchons alors presque aussitôt, 24 heures après nous être levés ce matin !

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"Récit du séjour (2 / 24)"
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