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BONAIRE du 4 au 19 avril 2024
Voyage du 4 au 19 avril 2024
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 10 avril : (suite & fin)

Après une heure d'intervalle surface, nous nous remettons à l'eau pour une seconde plongée à "The Invisibles" (tout le monde est reparti, ou presque car il reste encore deux plongeurs qui viennent de se mettre à l'eau, l'un en bi et l'autre en sidemount, aussi équipés de deux blocs, soit, pour chaque plongeur, 24 litres d'air comprimé à 200 bars, c'est-à-dire de quoi permettre de rester sous l'eau presque 2 heures, ce que ne feront sûrement pas ces deux personnes... Quel est donc l'intérêt de s'encombrer de 2 blocs ?). Immersion à 11 heures passées de 4 minutes près de la bouée, re-tentative de photographier les anguilles jardinières et descente le long du petit canyon. C'est à ce moment-là que passe rapidement une grosse murène verte en pleine eau. C’est la première que nous observons aussi grosse du séjour. Anne-Marie essaie de la photographier mais la murène est trop rapide (et la photo sera floue).

Nous partons ensuite vers le nord, tombant main droite, le long du premier récif (pour limiter la profondeur de cette seconde plongée). Anne-Marie s'essaie ensuite à la photographie de poissons porcs-épics qui ne se laissent pas approcher, mais c’est finalement plus simple de se rabattre sur les vieilles de roches, les vivaneaux dents de chien, les spirobranches ou les chevaliers ponctués. Cela dit, le poisson perroquet n'est pas simple à mettre dans la boîte car il est rapide (c’est le roi de la queue de poisson en photo) et avoir en photo un poisson trompette net sur toute sa longueur est aussi chose quasiment impossible à obtenir.

Après la plongée, nous repassons à Port Bonaire rechercher 4 blocs pleins avant de retourner manger à l’appartement et remettre les batteries des appareils photo et du flash en charge. Après le repas, Christophe remet l’appareil photo dans le caisson sous-marin et, comme à son habitude, il prend quelques photos pour tester. Problème : celles-ci sont sous-exposées ! Il tente alors de changer les réglages au niveau de l’appareil photo et du flash mais les photos suivantes sont ensuite systématiquement surexposées... Et zut, que se passe-t-il donc ? Nous tentons alors de changer le cordon de synchro entre l’appareil photo et le flash (nous en avons un ancien car nous avions déjà eu le même genre de problème, justement lors d’un précédent voyage à Bonaire), mais les photos sont toujours surexposées. Heureusement, après avoir tout éteint (appareil photo et flash) et tout redémarré, ça retombe en marche ! Prions l’esprit de John Bardeen (l’inventeur du transistor) pour ça ne se reproduise pas avant la fin du séjour (l’appareil photo a presque 10 ans, mais nous sommes bien incapables de dire si le problème vient de l’appareil photo ou du flash).

Nous quittons l’appartement vers 16 heures et nous nous rendons à Aquarius. Nous sommes seuls sur le site, c’est parfait ! Après le bon capelé pour atteindre la proximité du premier récif, nous nous immergeons à 5 heures moins le quart et nous partons tombant main droite, vers le nord. Alors que nous n’avions pas encore réalisé d’observation sortant un peu de l’ordinaire, c’est bien évidemment au moment le plus inopportun, lorsque nous apercevons un poisson coffre zinga, que la Go Pro décide à son tour de jouer les rebelles : arrêt total, rien sur l’écran, alors qu’elle fonctionnait très bien quelques minutes auparavant ! L’eau ne semble pas être entrée dans le caisson, c’est donc certainement un problème de contact au niveau de la batterie. Cela nous est déjà arrivé juste après un changement de batterie, en 2022 à Tolo. Mais depuis, Christophe fait bien attention de vérifier que la Go Pro fonctionne correctement après avoir changé la batterie. Christophe se résigne donc à ne pas filmer les bancs de poissons bouteilles qui parcourent le récif, les poissons papillons, les poissons porcs-épics, les barbarins blancs, les vivaneaux dents de chien (qui sont, de toute façon, très difficiles à filmer car ils s’en vont dès qu’ils voient la lumière du phare), le poisson ange français, les vieilles de roche, mais surtout, la grosse murène verte sous un rocher, le carrelet paon sur le sable au-dessus du récif, le juvénile de poisson coffre mouton (une toute petite boule ronde) et la petite murène porcelaine ! C’était une très belle plongée où nous avons vu pleins de choses !

De retour à l’appartement après la plongée, nous remettons en charge les batteries des appareils photo (c’était bien un problème de faux contact pour la Go Pro), avant de manger (une fricassée de poisson avec du riz et un petit apéro au préalable) et d’aller nous coucher de bonne heure !

soleil

Météo de la journée :
assez ensoleillé avec encore du vent !

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"Récit du séjour (12 / 24)"
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