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BONAIRE du 4 au 19 avril 2024
Voyage du 4 au 19 avril 2024
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 16 avril : (suite & fin)

De retour à l’appartement après le repas, Anne-Marie lance la sauvegarde des photos et des vidéos sur un disque externe avant d’aller se coucher. Les plongées sont certes finies (mais nous devrions tout de même encore prendre quelques photos demain)...

eclaircie

Météo de la journée :
nuageux le matin mais ensoleillé l’après-midi, avec un peu de vent.

Mercredi 17 avril : Washington-Slagbaai !

Après la grasse matinée d’Anne-Marie (elle ne s’est levée qu’à 8 heures moins le quart ;-)) et le petit-déjeuner, nous prenons la route pour nous rendre au parc national de Washington-Slagbaai au nord de l’île. Habituellement, nous empruntons la route qui longe la côte ouest de l’île, celle passant devant les sites de plongée, mais pour la toute première fois depuis que nous venons à Bonaire, nous passons par la route de l’est dans le sens sud - nord, ce qui nous fait découvrir des paysages différents (alors que nous avons souvent emprunté cette route, mais toujours dans le sens nord - sud). A 10 heures moins 20, nous passons la porte d’entrée du parc où le matériel de snorkeling doit être scrupuleusement désinfecté devant un garde (pour rappel, la plongée bouteille est interdite dans le parc), ce qui ne nous pose aucun problème puisque nous comptons juste réaliser des photos d’oiseaux et de grosses vagues (notre matériel de plongée est en train de sécher à l’appartement).

Nous suivons ensuite la route qui fait le tour complet du parc national en longeant la côte, comme le veut la tradition (mais nous nous sommes tout de même posé la question si nous respections ou non la tradition cette année). Nous découvrons alors sur la droite de cette route une immense saline, la "Saliña Matijs", que nous n’avions jamais remarquée jusqu’à présent (alors que c’est la cinquième fois que nous visitons ce parc national et empruntons cette route). Les flamants roses y sont présents en nombre avec d’autres oiseaux et il y a même un parking pour profiter d'un point de vue sur la saline. Comment avons-nous fait pour ne jamais remarquer cette saline les années précédentes ? Mystère inexplicable et qui restera inexpliqué ! Nous nous arrêtons donc pour tenter quelques photos de flamants roses mais, même en se rapprochant à pied des rives de la saline, ils sont un peu trop loin pour un 200 mm.

Après ce premier arrêt, nous nous rendons à la "Playa Chikitu" mais nous nous arrêtons en chemin pour photographier deux conures cuivrées (un oiseau de la même famille que les perruches dont elles sont très ressemblantes) perchées sur un cactus du parc. En repartant de la "Playa Chikitu" où nous avons photographié les grosses vagues se fracassant sur la falaise de la côte est de Bonaire, nous observons, marchant au sol, un petit rapace auquel nous n’avions jamais fait attention jusqu’à aujourd’hui. Il s’agit d’un caracara huppé. Décidément, c’est la journée des découvertes! Après un arrêt à Supladó, nous nous arrêtons à la "Boka Kokolishi" pour photographier ses cascades se déversant cycliquement au gré des vagues depuis de curieuses formations géologiques. Cependant, quel est l’intérêt de la bronzette sur la minuscule plage blottie au fond de cette faille ? Ce lieu est tellement magnifique sans primate de l’espèce homo-sapiens allongé sur sa serviette...

Nous nous rendons ensuite directement à la "Playa Funchi", sans faire le détour par "Pos Mangel" où nous n’avons jamais observé beaucoup d’oiseaux ces dernières années (car le point d’eau est souvent à sec et comme cette année est encore plus sèche que les années précédentes, il y a fort peu de chance qu’il y ait de l’eau et des oiseaux aujourd’hui). Cependant le long de la route, nous photographions à nouveau des conures cuivrées et un caracara huppé, tous perchés au sommet de cactus. Généralement, la "Saliña Funchi" abrite des flamants roses mais aujourd’hui, il n’y en a que quatre et fort loin de la rive. Néanmoins, les godzillas miniatures sont toujours présents en nombre près des tables de pique-nique de la plage. Bien évidemment, il ne s’agit pas de la progéniture de Godzilla mais de lézards "Cnemidophorus murinus ruthveni", endémiques à Bonaire. Quelques iguanes sont aussi présents près des tables de pique-nique et des petits oiseaux jaunes, des petites parulines des mangroves, virevoltent autour de buissons épineux.

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"Récit du séjour (21 / 24)"
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