La maison du médecin
Vendredi 23 Janvier : Vol pour Pointe-à-Pitre
Pas grand chose à raconter : vol sans histoire pour Pointe-à-Pitre. Un peu plus de difficultés pour trouver le bus pour Pointe-à-Pitre. Nous sommes arrivés au tout nouveau terminal de l'aéroport, il nous faut d'abord prendre une navette qui nous ramène à l'ancien terminal, avant de prendre le bus pour le centre ville. Nous avions réservé à l'hôtel St John Perse situé à proximité du port d'où nous prendrons le traversier pour les Saintes. Le plus important de la journée reste l'assiette d'accras (que c'est bon), que nous avons mangés dans un restaurant tout au fond de la place de la Victoire. Christophe s'est fait le plat traditionnel (entre guillemets) : poisson-riz-lentilles, tandis qu'Anne-Marie a pris des christophines farcies, une des valeurs sûres de l'excellente cuisine Antillaise.
Samedi 24 Janvier : Arrivée aux Saintes
Après un réveil très matinal, nous partons au marché de Pointe-à-Pitre faire notre provision de punch coco pour le séjour (une seule bouteille, c'est tout). A 8 heures, nous embarquons sur le ferry pour une traversée assez mouvementée : Anne-Marie a même failli être malade. A 9 heures, nous arrivons aux Saintes où il fait super beau. Nous entamons alors la petite randonnée de deux kilomètres que nous devrons faire tous les jours : depuis le bourg, niveau de la mer, ça monte jusque à 80 m d'altitude, d'après la carte, pour redescendre et finalement remonter légèrement jusqu'à 50 m d'altitude, au niveau du gîte.
Après avoir posés nos affaires et nous être un peu reposés, nous retournons au bourg pour profiter un peu de la plage du coté de l'anse Mire : la mer est toujours aussi chaude (nous voyons pour la première fois une sorte de serpent marin blanc et noir, rentrer sous le sable ). Ou, pour être exact, profiter des plages car nous avons testé ensuite une autre plage. Nous faisons aussi quelques courses pour le petit déjeuner du lendemain. Le soir, nous goûtons enfin à notre punch coco acheté dans la matinée : nous n'allons pas en avoir assez car il est très bon et nous avons déjà siroté deux verres dès le premier soir. Après cet apéro au gîte, nous repartons au bourg pour manger dans un restaurant (pas très bon, à oublier). La route de retour a été dure, c'est surtout que nous avons complété l'apéro...
Dimanche 25 Janvier : PMT, sieste et punch coco
Programme (très) matinal : séance de PMT à partir de la plage du pain de sucre. Murène, perroquets, sergent major, toute la faune subaquatique est là, mais ce ne sont que les juvéniles, les grands sont au large. Nous avons décidé d'aller au restaurant le midi, pour éviter d'avoir à rentrer de nuit : pâté de poisson, colombo de cabri (un vrai cette fois, pas seulement un morceau de poulet grillé recouvert de poudre de colombo que le restaurateur de la veille a osé nommer colombo de poulet), banane flambée et flanc à la noix de coco. Tout ça était très bon ! C'est normal, nous avons mangé à la "Douceur des Îles". Le repas a été assez animé : il venait juste de pleuvoir et une femme en scooter n'est pas arrivée à éviter un gamin qui traversait, juste devant le restaurant. Heureusement, plus de peur que de mal.
Sinon, côté pratique : il n'y a pas de marché aux fruits le dimanche matin au bourg. Et nous avons enfin trouvé le distributeur bancaire. Heureusement, car la banque n'ouvre que le mardi, jeudi et vendredi, de 9 heure à 12 heures 30. Sans le distributeur, nous aurions eu du mal à payer le gîte en liquide.
Sur le chemin de retour, nous passons par le club de plongée. Christophe s'inscrit pour le sac Pâté mercredi matin (une profonde alors qu'il n'a pas plongée depuis notre dernier séjour en Guadeloupe, pas très sérieux tout ça). Anne-Marie devra attendre sur le bord pour ne pas être secouée sur le bateau, car il faut le niveau 2 pour faire le sec Pâté.