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LES SAINTES du 23 janvier au 5 février 1998
Voyage du 23 janvier au 5 février 1998
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 27 Janvier : (suite & fin)

Le soir, pendant que le riz (à cuisson lente, 20 min.) chauffe pour accompagner les boudins, nous sirotons, comme tous les soirs, notre verre de punch coco. Pendant l'apéro, nous mettons au point le programme de la fin de la semaine : un jour où il ferra beau, nous louerons un scooter (un de ces engins qui font tant de bruit en passant sous notre fenêtre) pour faire le tour de l'île en large et en travers, afin de faire des photos, car monter au Chameau (309 m) avec l'appareil photo, les palmes, le masque... ça peut devenir assez sportif.

Mercredi 28 Janvier : Le sec Pâté : -43 m

Le site de plongée se situe à égale distance entre les Saintes et Trois-Rivières. Descente le long du mouillage jusqu'à -18 m où un comité d'accueil composé de poissons anges (quarantaine de centimètres de haut) attend la palanquée. Suite de la plongée : poissons anges, avec divers attributs comme Français, Royaux, etc... Gorgones, coraux pleins de couleurs, un barracuda de plus de 60 cm de long. Le moniteur fait passer la palanquée dans une grotte. Christophe se frotte contre des trucs qui dépassent de la paroi : ça pique ! La douleur est assez vive sur le coup, mais heureusement, elle se calme une dizaine de minutes après. Sitôt de retour sur le bateau, deux membres de la palanquée (des plongeurs du lac d'Annecy) trifouillent leurs ordinateurs et l'un d'eux exprime alors fortement sa joie : il a passé une minute de plus que son acolyte à 43 m. Franchement, où est le record ? S'ils n'ont retenu que ça de la plongée, tant pis pour eux ! Au fait, c'est un peu con la plongée en shorty : ça laisse des traces de coups de soleil (attrapé sur le bateau) !

Pendant ce temps, Anne-Marie a mis en pratique les mots qu'elle a appris au Québec : elle a fait du magasinage. Elle a repéré deux paréos qui lui plaisaient bien. Mais elle a attendu le retour de plongée, pour aller choisir avec Christophe : un noir avec des poissons bleus turquoises. Nous passons ensuite acheter des sandwichs au jambon braisé à la rôtisserie (qui devient notre seconde cantine) et nous terminons le repas par un (très bon) milkshake coco chez Cécile.

Après un retour très pénible au gîte (nous avions laissé tout le matos au club de plongée avec les courses, mais maintenant, il faut se les porter, dans la grande montée), nous reprenons notre programme habituel : sieste suivie d'une séance de PMT au pain de sucre, avec quelques vidages de masque pour Anne-Marie, et punch coco pour clôturer la journée (il était bon, nous l'avons fini en 5 jours même pas).

Le soir, nous sommes tout guillerets : nous devons aller manger une langouste (de seulement 700 grammes, mais avec quelques accras en apéro, ça devrait aller). Sauf que lorsque nous arrivons, la patronne a fait une erreur : elle l'a déjà vendue ! Du coup, nous restons quand même manger au restaurant, juste à côté des gens qui mangent notre langouste. Nous sympathisons avec eux : le monsieur a travaillé sur un container pour la télémesure d'Ariane 5, le container qu'a utilisé un de nos copains en Guyane, le monde est petit.

Jeudi 29 Janvier : Plongée, hamac et PMT

Première plongée d'Anne-Marie : 39 min par 8 m de profondeur. Il lui restait 110 bars à la remontée, soit 20 bars de mieux que Christophe. Mais le plus important, c'est ce que nous avons vu : tortue (seulement Anne-Marie), langouste, poisson coffre, barracuda et mue de langouste. Anne-Marie a eu un peu de mal à descendre : au club à Portet, le niveau 1 se prépare sans gilet stabilisateur et pour cette plongée, elle avait un gilet qui était resté gonflé. Au cours de la plongée, elle s'est mise à palmer rapidement vers le moniteur et Christophe a cru qu'elle avait besoin d'aide (déjà qu'avec les signes pour la tortue, il croyait que ça n'allait pas bien) et quand il l'a attrapé par la bouteille, cela l'a déséquilibré et elle a un peu paniqué, le temps que Christophe la lâche et qu'elle retrouve son équilibre.

En ressortant du club de plongée, tout est déjà fermé en ville, nous nous débrouillons comme nous pouvons pour trouver à manger. Nous mettons ensuite le cap vers la plage de Pompierre : nous avons pris le hamac pour la sieste sous les cocotiers. Nous avons aussi pris l'appareil photo étanche pour faire quelques photos, mais quand nous nous mettons à l'eau à 4 heures de l'après midi, le ciel se couvre rapidement, gâchant un peu le spectacle. Nous observons tout de même une serpentine onduler dans les patates de corail.

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"Récit du séjour (3 / 6)"
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