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MARTINIQUE du 15 au 31 mars 2012
Voyage du 15 au 31 mars 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 15 mars : (suite & fin)

Mais surtout pour 15 euros, il faudrait espérer bien meilleur ! Ils n'ont qu'à retirer le planteur, la bouteille de vin et le morceau de camembert du plateau repas pour augmenter leur marge (et diminuer le poids dans l'avion, ce qui leur fera économiser du kérosène). Sauf que le planteur doit pratiquement être offert par Dillon qui paye peut-être même pour que son effroyable planteur soit offert en vol ! Pour le picrate, quel viticulteur a osé appeler ça du vin ? Franchement, on en goute une gorgée et le reste part à la poubelle. Quant au calendos, cette substance industrielle et très olfactive, ne doit à sa présence sur le plateau repas qu'à sa faculté de faire passer le pinard pour un grand cru classé. Si on supprime la vinasse, plus besoin du fromage !

Nous atterrissons avec un peu d'avance à Fort-de-France. Il n'y a aucun contrôle à l'immigration mais nous attendu 45 minutes avant que nos bagages défilent enfin sur le tapis. Quand nous arrivons devant le guichet du loueur de voiture, il y a déjà une très longue file d'attente : plus de 15 personnes qui mettent, chacune, au moins 10 minutes pour remplir le contrat de location ! Pas de chance, deux vols sont pratiquement arrivés en même temps (le nôtre et un "Corsair Fly") et on dirait que tout le monde a réservé sa voiture de location chez Hertz, il n'y a presque personne chez les autres loueurs. Deux heures après, un agent nous fait monter directement dans la navette pour aller remplir le contrat de location à l'agence. Un énorme bouchon s'est formé depuis Fort-de-France et dès la sortie de l'aérogare, nous sommes bloqués dans ce bouchon en rejoignant les locaux du loueur pourtant situés dans la zone aéroportuaire. Après une nouvelle attente (il faut dire que toutes les informations du contrat doivent être saisies lors de la livraison du véhicule, avec un système informatique plus performant, on pourrait tout pré-remplir par internet pour ne plus à avoir qu'à faire la photocopie des permis de conduire sur place : voilà peut-être une idée pour trouver du travail en Martinique ;-)), nous récupérons enfin une petite Hunday avec quelques rares éraflures... Il faudra la rendre propre, no comment !

Après avoir quitté le parking du loueur, nous nous échappons très vite du bouchon en prenant la direction de St Pierre. Il nous faut une petite heure pour arriver au "Madi Créole". Heureusement, Anne-Marie avait appelé pour prévenir de notre retard, si bien qu'une dame nous attend pour nous donner les clefs de l'appartement n° 1, celui que nous avions eu en novembre 2006.

Quand Christophe dit qu'il a hâte de boire son premier ti'punch du séjour, elle nous en offre un, au Neisson, à 9 heures soir, soit 2 heures du matin en métropole. Avec la fatigue et sans rien dans le ventre depuis quelques heures, c'est un peu dur mais qu'est-ce que c'est bon ;-).

Nous rejoignons alors au plus vite, à pied, le restaurant le plus proche de la résidence, c'est-à-dire le très chic "1643" au menu d'inspiration très métropolitaine. Heureusement, il y a quand-même des accras sur la carte. Nous en prenons une portion pour essayer d'éponger au plus vite le ti'punch, avec un coca pour tenter de rester éveillé. Les accras sont décevants (mais Dada à Bouillante en Guadeloupe est la reine incontestée des accras, il ne fallait pas espérer que dans un restaurant métropolitain, on en ait des meilleurs) mais les plats de poissons grillés ne sont pas mauvais du tout (et surtout, le très bon gratin de bananes, servi en accompagnement). Dommage que les plats soient dans les 21 euros, c'est quand-même un peu cher. Nous en avons pour 54 euros pour deux plats, la portion d'accras, deux cocas et une bouteille d'eau gazeuse (de la Didier), ça ne sera pas notre cantine pour les prochains jours.

Bien que le bilan de la journée semble plutôt négatif, ça ne fait rien du tout car l'important est que nous soyons arrivés à St Pierre : il fait chaud et nous nous endormons avec la fenêtre grande ouverte. Quel plaisir, surtout après un hiver avec des jours à - 10 °C !

Vendredi 16 mars : Faire le plein...

Après un réveil très matinal (nous étions réveillés quand les éboueurs sont passés à 4 heures et quelques du matin), nous avons attendu 7 heures du matin avant de partir à St Pierre acheter dans une boulangerie de quoi déjeuner sur le pousse : pâtés de goyave (pâte à tarte fourrée de confiture de goyave, un peu sec) et jus de fruit "Caresse Antillaise" (très bons). Nous déjeunons sur un banc de l'ancienne station de bus, face à la plage de St Pierre, que c'est bon d'être aux Antilles !

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"St Pierre (2 / 11)"
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