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MARTINIQUE du 15 au 31 mars 2012
Voyage du 15 au 31 mars 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Circulation :

Bien que ça n'atteigne toujours pas le niveau de bordel de la place de l'étoile à Paris (ou de n'importe quelle rue de Marseille), la conduite en Martinique requiert une attention particulière. L'Antillais de sexe masculin a une conduite relativement nerveuse (le mot est faible). Par contre, les Antillaises, connaissant le défaut de leurs maris, sont, quant à elles, très peu véloces et n'hésitent pas à s'arrêter un peu partout pour déposer leurs amies ou des membres de leur famille. Il suffit donc de rouler doucement, à son rythme et tout se passe bien sans le moindre coup de klaxon.

Les routes, bien que sinueuses, sont en bon état et les radars fixes bien nombreux (bien que parfaitement inutiles si les routes n'étaient empruntées que par les Antillaises).

Plongée :

A St Pierre, nous avons plongé avec Lionel, responsable de Tropicasub et fringuant capitaine de l'Athéna, fier vaisseau permettant d'embarquer confortablement les plongeurs vers le Roraïma ou les canyons de Babody. Cette année, nous avons découvert des blocs et des plombs tous neufs (stabs et détendeurs aussi mais nous avions notre propre matériel). Lionel et Françoise ont adopté le principe de la sortie à deux plongées : on part à 9h30 avec deux blocs, on fait deux plongées dans la sortie et on rentre vers 13 heures. Cette formule a des avantages et des inconvénients, à chacun de voir, mais quoiqu'il en soit, le choix des sites de plongées fait que l'on n'est pas pénalisé pas de longs paliers lors de la seconde plongée (surtout avec des ordinateurs tatillons comme les Suunto). Justement à parler de palier, pour les plongées profondes, Lionel fait scrupuleusement respecter les paliers COMEX, ce qui permet d'aller dans le sens de la sécurité (et d'avoir le temps au palier d'admirer les bulles d'air, toriques, que Lionel fait).

Chez "Mada Plongée" aux Anses d'Arlet, David sonne (jeu de mot) le départ pour la plongée à 9 heures (pas avant, il faut qu'il passe le balai ;-)) et 14 heures (pas avant, il faut qu'il mange ;-)). On avait déjà croisé David sur l'île de la Réunion en 2004 et il nous a reconnu (même si on ne reconnaît personne en Harley Davidson, désolé). Les locaux du club sont spacieux et confortables (pour discuter après la plongée autour d'un verre de planteur, c'est toujours bien sympathique et convivial) et le matériel en parfait état. Sortie en zodiac depuis la plage du Bourg à 50 mètres du club.

Concernant les sites de plongées, nous avons été un peu déçus par rapport à 2006 car la faune semble avoir un peu périclitée (après, c'est peut-être seulement une petite déception par rapport à la Guadeloupe où nous avons plongé dans la réserve Cousteau). La diversité de la faune qui nous avait marquée en 2006 ne semble plus être au rendez-vous (mais les plongées sont quand-même très intéressantes et nous retournerons plonger en Martinique). Nous ne savons pas entièrement expliquer cela : est-ce dû à l'arrivée des ptérois qui ont décimées quelques espèces locales ? Ou encore une possible surpêche car nous avons croisé beaucoup de nasses sur les sites de plongée (que nous n'avons pas détériorées, ni ouvertes, car il s'agit du revenu des pêcheurs locaux) ? Il sera impossible de se débarrasser des ptérois mais il faudrait peut-être qu'une ou plusieurs réserves sous-marines soient mises en place comme en Guadeloupe ou sur l'île de la Réunion ? Certes, cela ne fait jamais plaisir aux pêcheurs mais avec un peu de patience, la faune sous-marine qui s'est reproduite et a grandi en paix dans la réserve, finit par la quitter et par se prendre dans les mailles des filets. Dans l'état actuel, le risque est que les pêcheurs utilisent des mailles de plus en plus petites pour leurs nasses et qu'il n'y ait plus rien à terme, ni pour les pêcheurs, ni pour les plongeurs...

Nasse de pêcheurs...

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