Nous nous sommes donc posés la question cruciale : fallait-il réserver pour éviter les longues files d'attente, en particulier aux musées du Vatican ? Ce qui voulait dire un programme prévu à l'avance, sans possibilité de l'adapter en fonction de la météo. Ou suffisait-il d’arriver tôt pour éviter les files d’attente, ce qui nous laisserait de la flexibilité ? La seule réservation obligatoire était celle pour la galerie Borghèse que nous avons planifiée le mercredi 8 mai (réservation faite par internet fin avril). Pour le reste, nous verrions sur place...
Une semaine avant le départ, Anne-Marie a prévu le transfert entre l’aéroport et la résidence Maximus : le loueur du studio proposait de nous envoyer un chauffeur pour 50 euros. En train, nous en aurions eu pour une vingtaine d’euros jusqu’à la gare de Termini mais il aurait ensuite fallu prendre le métro, avec tous les sacs, puis faire deux cents mètres à pied avec les valises ou prendre un taxi entre la gare et la résidence... Nous avons donc accepté la proposition de transfert (même si nous nous embourgeoisons) car c’était une solution qui nous évitait de perdre du temps pour une différence de prix au final, pas si importante que ça (une assiette de spaghettis au restaurant !).
Vont-ils nous laisser entrer au Vatican ?
Y aura-t-il plein de monde à Rome ?
Cette tenue ne semble plus être à la mode à Rome...