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MAYOTTE & REUNION du 21 septembre au 12 octobre 2013
Voyage du 21 septembre au 12 octobre 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 6 octobre : (suite)

A 14h31 (toujours précises ;-)), nous sommes de retour au gîte de Bélouve. Les nuages sont plus nombreux que ce matin et le soleil est de face, il est inutile de pousser jusqu’au point de vue sur Hell Bourg situé au niveau des antennes radio, à 200 ou 300 mètres du gîte. Nous nous reposons quelques instants sur une des tables du belvédère. Nous ouvrons alors notre boîte de rillettes de maquereau (pas mauvais) pour manger un petit encas. Très régulièrement, nous entendons un "bip-bip" suivi d’un "scratch" bizarre. Anne-Marie reconnaît le déclenchement d’un appareil photo, quelqu’un doit faire une séquence "time-lapse" avec un appareil photo mais nous n’arrivons pas à le localiser. En fait, quand son propriétaire vient le récupérer, nous découvrons que l’appareil était posé sur le banc de notre table, de l’autre côté de la table, nous ne l’avions même pas vu en arrivant.

A 14h51 (c’est un peu énervant cette précision, non ?), nous quittons le gîte de Bélouve, il ne reste plus qu’à redescendre. D’après le topoguide, nous aurions dû mettre une heure pour la descente mais avec la fatigue, nous faisons très attention de ne pas glisser sur les cailloux. Nous mettons donc 1 heure et 53 minutes pour rejoindre la voiture, soit seulement un quart d’heure de moins qu’à la montée. Nous aurions pu faire mieux d’autant plus que pendant la montée, nous avons fait plein de photos que nous n’avons pas faites à la descente. Au final, nous avons mis 8 heures et 25 minutes pour faire toute la randonnée (pauses comprises ; nous avons fait grosso-modo un peu moins de 2 heures de pause, ce qui donne un temps de marche d’environ 6 heures et demi, nous sommes donc dans les temps indiqués par la topoguide) et nous avons parcouru 15,2 km à pied avec un dénivelé positif cumulé de 1.060 mètres (c'est-à-dire la somme de toutes les montées, y compris les nombreuses petites montées entre le gîte de Bélouve et la piste forestière). Nous sommes assez fatigués, c’était peut-être un peu trop pour une première randonnée (mais seulement depuis 5 semaines) mais nous n’avons rien à regretter, c’était une magnifique randonnée !

La voiture tente alors de nous empêcher de repartir ! Lors du diagnostic qui est déroulé quand on glisse la "clef" dans le logement du tableau de bord, le système électronique déclare une panne sur le système de freinage, ce qui est un peu ennuyeux en montagne ! Christophe se doute tout de suite du problème : le logo en losange sur le capot ! Pour résoudre ce problème de diagnostic faux, Il suffit de démarrer le moteur, de quitter la place de stationnement légèrement pentue (nous étions pourtant stationnés sur une place normale, c’est à dire avec du macadam et une ligne blanche autour, pas dans un bas-côté), de se stationner sur une place horizontale, d’éteindre le moteur, de fermer à clef la voiture, d’attendre un peu, de re-déverrouiller la voiture, de remettre la "clef" dans son logement et d’attendre que le système relance le diagnostic dont le résultat est maintenant correct ! Il faut juste excuser les ingénieurs de chez Renault : ils n’ont jamais imaginé qu’on pouvait garer une voiture en pente et que le niveau du liquide de frein resterait alors horizontal mais penché dans le référentiel du réservoir du liquide de frein (mais la notion de référentiel géophysique, c’est à dire une notion abordée au lycée, c’est peut-être un peu compliqué pour eux ;-)). Blague à part, le problème est connu et à une époque, nous n’aurions même pas pu démarrer le moteur, il aurait fallu appeler un dépanneur ! (Heureusement que les ingénieurs de PSA, Peugeot/Citroën, sont meilleurs...).

Vers 18 heures, nous sommes de retour au gîte à Grand-Îlet. Nous prenons une douche et buvons nos "Dodo radler" (pas mauvaises du tout, mais pas assez fraîches) avec le reste du gâteau patate acheté la veille. A 19 heures, nous nous rendons au restaurant "Grand-Îlet" à Grand-Îlet. Heureusement que Mme Grondin a réservé pour nous car le restaurant est bombé, ceux qui n’ont pas réservé doivent manger à l’extérieur et il ne fait que 13 °C ! Nous mangeons en compagnie du couple de Dijon qui avait aussi pensé à réserver alors que le couple d’allemands se retrouve dehors (mais ils se réchauffent à la bière ;-)). Nous prenons deux punchs maison en apéro et deux menus du jour, c’est à dire un rougail saucisses et un carri légumes-poulet. Les patrons sont un peu débordés car il y a beaucoup de monde (tous les tables d’hôte de Grand-Îlet doivent fermer le dimanche soir et tous les touristes logeant dans les parages se retrouvent dans ce restaurant) mais l’accueil est convivial. Pendant le repas, nous buvons une "Dodo blanche" et une "Dodo rousse" (au malt anglais), deux bières de la brasserie Bourbon qui ne sont pas mauvaises du tout.

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"Randos à Salazie (3 / 7)"
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