Vendredi 11 octobre : (suite)
Vers 20 heures, nous nous rendons à l'"Auberge du Relais". Heureusement que nous avons réservé le premier soir car la salle est comble. Anne-Marie voudrait du civet de cerf mais ce soir, c'est du cerf massalé. Il n'y a pas, non plus, de carri d'espadon qui est remplacé par du carri de mérou. D'accord ! Nous partageons les plats. Le cerf massalé est très bon mais le carri de mérou est excellent : les morceaux de poisson sont tout fondant, un régal ! Au dessert, Anne-Marie décide de faire une infidélité à la coupe des îles en prenant un ananas au rhum (ananas, glace malaga et chantilly). Entre alors dans la salle un groupe de 6 personnes, ce sont les albigeois que nous avions rencontrés à Grand-Îlet. Nico pense qu'ils n'auraient pas dû écouter les conseils n'importe qui. Il est moqueur, le bougre ! Mais quand nous lui citons un restaurant de l'île que nous n'avons pas apprécié du tout, Nico reconnaît qu'on se fait largement embobiner dans ce restaurant (jeu de mots ). Cela dit, les albigeois semblent apprécier le civet zourite, nos conseils ne sont peut-être pas totalement farfelus ! Ce soir, nous en avons pour 52 euros (punch + entrée + plats + dessert + rhum arrangé) pour ces deux très bons repas qui sont donc d'un excellent rapport qualité/prix.
Météo de la journée :
Encore plus nuageux que la veille, très chaud et humide.
Gourmande !
Samedi 12 octobre : Jo le Taxi et sa Mercedes !
Le réveil sonne à 4h45 du matin, c'est très désagréable, surtout quand il s’agit de prendre l’avion pour retourner en métropole ! A 5h35, nous quittons le bungalow et nous prenons la direction de Stella Matutina pour rejoindre l'échangeur de la route des Tamarins le plus proche du bungalow. Sauf qu'à cet échangeur, il n'y a pas de bretelle d'accès vers St Denis de la Réunion ! Il faut donc faire demi-tour, traverser St Leu et se payer les virages de la route des Colimaçons que nous voulions éviter. Tant pis, nous avons perdu 20 minutes !
Heureusement, il n'y a aucun bouchon en arrivant sur St Denis que nous traversons rapidement. Nous avions fait le plein carburant la veille, la jauge n'a pas baissé, ça fait un souci de moins à s'occuper avant de rendre la voiture. Nous arrivons à 6h40 à l'aéroport et le guichet du loueur n'ouvre pas avant 7 heures du matin. Nous nous garons alors au parking normal pour aller nous enregistrer. Les bornes d'enregistrement automatiques refusent de fonctionner correctement. Il nous faut donc passer par un comptoir pour obtenir les cartes d’embarquement. Une hôtesse nous dirige alors vers la file d'attente pour la dépose bagage. Anne-Marie est inquiète car nous n'avons justement pas nos cartes d'embarquement mais cela ne pause pas de problème. Le steward taggue nos sacs et nous remet les cartes d'embarquement jusqu'à Orly. Et le vol Orly-Toulouse ? Les bagages ne sont d'ailleurs taggués que jusqu'à Paris et le tapis roulant les a déjà emmené dans les entrailles de l’aérogare ! Certainement à cause d’un problème avec l'informatique, le steward est obligé d'appeler au téléphone pour vérifier notre dossier et nous réclame le reçu pour le supplément bagage (heureusement, nous l'avons imprimé). Il finit par réimprimer les bons tags (avec les bonnes cartes d'embarquement) et il nous assure qu'il ira personnellement changer les tags sur nos bagages. Cela nous laisse un peu dubitatifs...
A 7h10, nous nous rendons au parking du loueur de voiture. Mais la voie d'accès est bloquée. Christophe n'a d'autre choix que de se garer dans l'allée en bouchant à son tour le passage. La raison de se blocage est assez simple : il n'y a qu'une seule personne au guichet pour tout faire, y compris le constat de réception d’une voiture particulière (Europcar propose aussi un service de gardiennage).