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MAYOTTE & REUNION du 21 septembre au 12 octobre 2013
Voyage du 21 septembre au 12 octobre 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 21 septembre : (suite)

Par contre, côté aéroport en lui-même, ça ne s’arrange pas : Christophe ne compte qu’une centaine de places assises dans cette salle d’embarquement généralement utilisée pour les DOM alors qu’entre 300 et 400 personnes vont arriver dans cette salle pour monter dans le Boeing 777 à destination de St Denis de la Réunion. Orly est un vieil aéroport, difficile de bouger les murs, c’est comme ça, mais ça explique aussi pourquoi les aéroports parisiens ont mauvaise réputation (les responsables des aéroports parisiens devraient aller faire un tour à Amsterdam ou à Incheon en Corée du Sud pour se rendre pourquoi ces deux aéroports sont très bien classés : par exemple, leurs salles d’embarquements ont des sièges confortables et en nombre suffisants). Pour une fois, nous ne râlons pas sur l’embarquement en lui-même, ça se passe mieux qu’en Allemagne. Mais si les passagers assis des rangées n° 40 à 50 sont invités à embarquer, ce n’est pas la peine de se présenter au comptoir d’embarquement si on est assis en rangée n° 10, non ? Purement à titre indicatif : mathématiquement, 10 n’est pas compris entre 40 et 50 ! C’est juste un petit conseil, comme ça, en passant, pour améliorer l’aspect pédagogique de ce carnet de voyage ;-)...

Nous, nous sommes aux sièges 42G et 42H, c'est-à-dire la dernière rangée juste avant les toilettes, donc sans passager assis directement derrière nous. Nous pourrons donc abaisser le dossier de notre siège (en dehors des phases de décollage et d’atterrissage) quand nous le voudrons et sans personne pour râler (il faut dire que lors des derniers vols "long courrier", Anne-Marie est tombée, coup sur coup, sur des imbéciles lui empêchant de le faire alors que, bien évidemment, le repas était fini et les plateaux desservis). L’embarquement prend un peu de temps : sauf erreur de notre part, nous sommes bien limités à un bagage cabine par personne ? Alors que font tous ces gens avec une valise cabine rigide (qui bien évidemment ne rentre pas correctement dans les coffres à bagages) mais aussi un sac souple assez volumineux et des tas de cartouches de clops achetées en "duty free"... Bien sûr, quand toutes les personnes assises à la même rangée ont pareil équipage, totalement pleins, le sont rapidement les coffres à bagage ! (Equipage, bagage, ça rime ;-) ; d’accord, ce ne sont pas des alexandrins). Bref, c’est le bordel... (c’est moins poétique comme ça).

Il faut avouer qu’Air France n’est pas totalement irresponsable dans cette affaire : il n’y a même pas deux ans, les passagers pour les DOM avaient le droit à 2 x 23 kg en soute, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. La tendance serait même à faire payer, en plus du billet qui ne serait pas forcément moins cher, le moindre bagage mis en soute comme les compagnies "low cost". Les dirigeants d’Air France vont devoir se rendre compte, un jour, qu’ils sont en concurrence avec d’autres compagnies et que si Air France facture plus cher un billet d’avion, sans proposer de meilleurs services que la concurrence, ils vont perdre des passagers... Pour nous au départ de Toulouse (où il n’y a pas de gare TGV), le billet par Air France est encore concurrentiel mais c’est bien parce qu’Air Austral n’a plus de vol au départ de Toulouse, sinon nous aurions donné préférence à la compagnie réunionnaise !

Tiens, justement, parlons encore d’une autre de ces idées de génie des dirigeants d’Air France : les repas à la carte, 12 euros pour un repas "de chef" (du luxe de pacotille, les passagers qui choisissent cette option, paient surtout une carte en papier glacé qui leur présente un repas qui n’a pas l’air bien terrible, avec le même vin rouge que celui du plateau standard, c’est à dire un picrate !). Non seulement, 12 euros, c’est mesquin par rapport au prix du billet d’avion qui est dans les 800 euros, mais en plus le service à bord devient beaucoup plus lent : le temps que les hôtesses et stewards amènent un à un, les plateaux "améliorés" aux passages les ayant commandés, il faut compter une demi heure d’attente avant que les plateaux standards ne soient distribués. Si vraiment, il fallait faire des économies, il n’y a qu’à supprimer le picrate des plateaux repas : 350 bouteilles de 25 cl en moins, ça ne fait que 87,5 kg en moins mais ça représente une économie bien plus importante en kérosène ! Ne riez pas, les compagnies aériennes en sont à compter le nombre de cacahuètes dans les sachets proposés aux passagers : rien qu’une cacahuète en moins par passager, ça fait déjà économiser pas mal de kérosène ! Donc, pour en revenir à Air France, ça ne serait pas mieux un même repas pour tout le monde mais sans picrate ? Et les passagers qui le désireront, pourront acheter du vin au verre, par exemple...

Et oui, les commentaires de cette journée ressemblent à un gros râlement bien franchouillard ! Il faut dire qu’il n’y a pas grand-chose d’autre à dire, alors il faut bien meubler ! Mais promis, juré, le niveau sera bien meilleur dans la suite du récit, alors bonne continuation dans votre lecture ;-).

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"C'est parti ! (2 / 7)"
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