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MAYOTTE & REUNION du 21 septembre au 12 octobre 2013
Voyage du 21 septembre au 12 octobre 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 22 septembre : (suite)

C’est donc nos premiers pas en terre mahoraise, sur ce 101ième département français, le n° 976 (mais où est donc le 975 ?). Et ça commence de manière assez surprenante avec le taxi : les premiers chauffeurs nous disent d’avancer et un chauffeur arrive alors vers nous : il y a déjà une première valise dans son coffre et nous avons 4 gros sacs ? Pas de problème, il enlève la valise qui était déjà dans le coffre et mets nos sacs au fond et remet la valise par-dessus et comme si ça ne suffisait pas, il embarque même un quatrième client dont le sac se retrouve au dessus du tas. Inutile de préciser que le hayon de cette vielle Renault 21 hors d’âge ne peut pas être fermé, mais ça ne pose absolument aucun problème au chauffeur. Ca nous rappelle Nosy Be où nous sommes, une fois, montés à 6 dans une Renault 4L.

Notre chauffeur de taxi est très volubile : il est parti pour nous raconter tout Mayotte dont la population pourtant principalement musulmane, croit beaucoup aux djinns (mot qu’il prononce plutôt "djini" ; sans bouillir, d’accord, le jeu de mot est nul ;-)), les esprits qui résident partout dans l’île ! Soit, espérons que les djinns seront avec nous afin que nous passions de bonnes vacances dans l’archipel ! Après avoir déposé à Pamandzi le dernier client embarqué dans le taxi, puis après avoir laissé à l’embarcadère de la barge, un pharmacien qui travaille dans une officine au sud de Grande-Terre (qui nous explique au passage comment ça marche pour payer le taxi puisqu’il n’y a pas de compteur : c’est un forfait, d’un ou deux euros), notre chauffeur bavard nous dépose après un petit détour à l’accueil de notre hôtel. Anne-Marie allait lui demander s’il pouvait venir nous chercher demain matin pour nous conduire à la barge, mais franchement, c’est tout à fait inutile car l’hôtel est seulement situé à 50 mètres de la barge.

Nous récupérons ensuite notre chambre qui donne côté mer, donc sur la barge dont le quai se trouve presque en dessous de notre balcon. Nous regardons quelques instants la lune monter derrière les flancs du cratère du lac Dziani et nous rejoignons le bar de l’hôtel pour boire un coca. Nous n’avons pas faim ce soir, nous ne souffrons pas du décalage horaire (il n’y a qu’une heure de différence entre Mayotte et la métropole) mais après une nuit sans dormir dans l’avion, notre estomac ne sait plus vraiment où il en est ! La suite du programme sera donc simple : une douche et au lit !

soleil

Météo de la journée :
Il a fait beau... D’accord, nous aurions pu éviter 5 heures d’attente dans l’aérogare, arriver plus tôt à Mayotte et profiter d’un premier bain de mer sous le soleil mahorais. Mais au moins, nous avons eu le temps de pratiquer de la réadaptation alimentaire réunionnaise : il était bon ce chocolat blanc au goyavier !

Lundi 23 septembre : Citronnelle à toutes les sauces !

Après une bonne nuit de sommeil bien réparatrice, nous nous réveillons bien avant 7h30, heure à laquelle nous avions mis à sonner le réveil. Nous prenons ensuite le petit-déjeuner devant la piscine de l'hôtel. Il y a de la confiture au goyavier, quel régal ! Nous partons ensuite faire un tour à pied du côté de la barge, histoire de repérer les lieux sans être encombré par les sacs. Anne-Marie en profite pour retirer de l'argent liquide au distributeur automatique de la "gare" maritime (car il n'y a pas beaucoup de distributeurs sur l'île, mieux vaut prendre ces précautions).

Nous repassons ensuite à l'hôtel prendre tout notre barda pour l'un des moments les plus sportifs du séjour à Mayotte : monter sur la barge avec un gros sac à chaque main (heureusement, trois des sacs sont équipés de roulettes mais sur les gros cailloux des "trottoirs", elles sont complètement inopérantes). Heureusement, il n'y a pas besoin de monter les sacs jusqu'au pont passager, nous pouvons les laisser sur le pont principal de la barge, là où sont stationnés les voitures, très occasionnellement, et les scooters pour la traversée. En regardant la barge depuis le balcon de la chambre, Christophe s'était d'ailleurs étonné : pourquoi la barge fait-elle des allers-retours avec les mêmes scooters sur ce pont ? Il a maintenant la réponse : ce ne sont, bien évidemment, pas les mêmes scooters ! C'est juste que beaucoup de passagers prennent leurs scooters pour traverser...

Après un quart d'heure de traversée, nous arrivons à Mamoudzou qui se distingue par ses grands bâtiments étatiques tous neufs (conseil général, etc...). Nous trouvons alors un taxi (le coffre reste bien-sûr ouvert, nous avons même un sac sur les genoux) qui nous amène aux bureaux du loueur de voiture à Kawéni (en fait, presque un "quartier" de Mamoudzou à 2 km du débarcadère de la barge).

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"C'est parti ! (4 / 7)"
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