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MAYOTTE & REUNION du 21 septembre au 12 octobre 2013
Voyage du 21 septembre au 12 octobre 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 23 septembre : (suite)

Après avoir établi le contrat de location (de manière extrêmement claire, sans même essayer de nous forcer la main pour prendre l'assurance complémentaire car nous avons réservé et payé la location avec la carte bancaire adéquate), nous récupérons alors une Peugeot 206+, de deux ans mais qui a déjà un peu souffert. Il ne reste donc plus qu'à charger tout notre barda, ce qui nécessite de rabaisser les sièges arrière.

Nous prenons alors la destination du sud. Mamoudzou se traverse très facilement sans même rencontrer de bouchon. Les routes sont plutôt en bon état, voir même en très bon état, à l'exception de la traversée de Dembéni où les trous sont très profonds et doivent être franchis au pas (à noter que le rond-point à la sortie de la commune est tout neuf : le maire de cette commune aurait-il imité nos chers politiciens hexagonaux dans leurs pratiques des années 80/90 ?). A 10 heures et demi du matin, nous arrivons à Bouéni. Nous repérons alors le panneau qui indique la direction du gîte "Les pieds dans l'eau", panneau qui est le seul moyen de trouver le gîte. Une semaine avant le départ de métropole, Anne-Marie avait renvoyé à un mail à la propriétaire car nous n'avions pas d'adresse mais maintenant, nous comprenons mieux : il n'y a pas de nom à cette étroite "ruelle" (chemin bétonné) qui descend de manière abrupte vers le rivage ! En fait, un bon point de repère pour trouver ce gîte, c'est de chercher le terrain de basket/hand de la commune : de là, il suffit de descendre vers la mer par la ruelle qui le longe.

La propriétaire du gîte est absente, il n'y a que la femme de ménage qui n'arrive pas à joindre sa patronne au téléphone mais elle se débrouille tout de même pour nous donner les clefs de notre chambre (qui n'est pas très grande, avec nos sacs de plongée posés de chaque côté du lit, nous pouvons à peine nous déplacer dans la chambre). Pour le petit-déjeuner, ça sera self-service : du lait est au frais dans le frigo avec du beurre et le reste sera mis chaque matin dans une boîte en plastique portant le numéro de la chambre. Comme ça, au moins, nous pourrons déjeuner à l'heure qui nous convient (mais il faudra faire la vaisselle :-$).

Une fois installé, nous reprenons la voiture (la pente est vraiment raide, Christophe cale dans la montée) pour partir à la découverte de l'île, avec un premier arrêt dans une petite superette pour acheter de l'eau et du dentifrice (nous avons oublié le nôtre à la maison). Nous prenons aussi du jus de fruit pour le petit déjeuner car il n'y en a pas au gîte. Cette petite superette est équipée d'une caisse digne d'un grand supermarché, toute informatisée avec lecteur de code barre et lecteur de carte bancaire connectés à la caisse (même en métropole, c'est rare de trouver un petit commerce "de campagne" aussi informatisé). Détail anodin mais qui fait penser que la carte bancaire est très peu acceptée dans les commerces de l'île (ou les clubs de plongées), il faut donc soit prévoir du liquide, soit ne pas oublier le carnet de chèque. Après avoir fait le tour de la presqu'île de Bouéni, nous décidons de partir explorer le sud de l'île, direction Kani-Kéli ! A la sortie de M'Bouanatsa, un faré offre un joli point de vue sur le lagon, avec un récif de corail qui forme un cercle de couleur claire. C'est assez joli, même si c'est peu photogénique. Il faudrait pouvoir survoler le lagon pour le prendre en photo. Plus loin, avant d'entrer à Kani-Kéli, autre faré offre une vue exceptionnelle car le récif de corail forme une pointe vers le large. Par contre, autour du faré, c'est un peu la décharge avec des cannettes et d'autres déchets qui traînent partout. C'est l'un des côtés les moins charmeurs de cette île (heureusement, le lagon est préservé).

Un peu avant, Anne-Marie avait repéré un panneau publicitaire pour un restaurant à Kani-Kéli, "La Citronnelle". Comme nous avons croisé peu de restaurant sur la route depuis ce matin, si nous voulons manger à midi, ça sera peut-être le seul restaurant que nous croiserons avant longtemps. Nous descendons donc le chemin qui mène au restaurant. Un grand faré sert de salle de restaurant, avec une belle vue sur le mont Choungui. Le patron nous accueille d'une manière très sympathique, il est juste étonné que nous soyons arrivés sans recommandation d'une quelconque personne. A la carte, quelques plats entre 10 et 17 euros : poulet coco, poulet à la citronnelle ou poisson à la citronnelle. Bien évidement, la citronnelle est produite localement, il y en a partout autour du faré.

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"C'est parti ! (5 / 7)"
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