Lundi 9 juin : (suite)
A midi, nous attendons que la propriétaire de l'appartement vienne nous ouvrir la porte pour qu'on puisse récupérer nos sacs, mais à midi cinq, elle n'est pas encore là, alors que la femme de ménage s'active à l'étage. Christophe frappe alors à la porte et elle redescend pour nous ouvrir la porte. Nous reprenons donc nos sacs et nous rejoignons la "Plaza Nueva" pour prendre un taxi. Au moins, le prix est clair : c'est un forfait de 22,20 euros pour rejoindre l'aéroport (nous aurions pu prendre la navette au niveau de la "Torre del Oro" mais ça nous faisait porter les sacs jusque là, effort non négligeable...). Le taxi remonte ensuite les rives du canal du Guadalquivir, là où nous nous étions balader en vélo. C'était déjà il y une semaine ! Le temps paraît parfois bien élastique, nous avons l'impression que ça fait encore plus longtemps que ça... Nous avons fait tellement de choses depuis !
Voilà, il ne reste plus qu'à attendre à l'aéroport deux petites heures. Notre vol est prévu à l'heure à 15h10. Nous passons les contrôles de sécurité sans problème (et sans avoir à vider la moitié du sac photo comme à Toulouse). Arrivé dans le hall d'embarquement, une grande partie de l'espace est envahi par la terrasse d'un bar : l'aéroport de Séville n'est pas bien grand mais il doit être celui qui possède le plus de bars au monde (il est comme à l'image de l'Andalousie ) ! Nous avalons un dernier sandwich avant d'embarquer à l'heure dans le CRJ 200 d'Iberia.
Cette fois, c'est un vol direct jusqu'à Toulouse (il n'y a même pas deux heures de vol) où le temps est tout gris. Le taxi qui nous ramène à la maison est une Mercedes de luxe. Heureusement, c'est un break et nos deux sacs sont rentrés sans problème (en octobre dernier, avec notre matériel de plongée, un chauffeur de taxi avait refusé de nous emmener). Le chauffeur de ce taxi est juste très maniaque et il tient à manipuler lui même nos sacs, pour éviter qu'on fasse une raie sur la peinture du pare-chocs arrière.
Météo de la journée :
A Séville, chaud et beau avec un grand ciel bleu, comme d'habitude, comment peut-il en être autrement ?