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GUADELOUPE du 6 au 24 novembre 2014
Voyage du 6 au 24 novembre 2014
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 10 novembre : Record battu !

Et c'est reparti pour une seule plongée aujourd'hui, celle de 8 heures sur le Franjack (Prof. max. : 23 m / Tps : 44 min. / T° eau : 29 °C). Après qu'Estelle nous ait fait le briefing, nous nous dépêchons de nous mettre à l'eau car un gros grain déverse des trombes d'eau sur le pont du Yaisa, on risquerait de finir tout mouillé d'eau douce ;-). Heureusement, le grain passe et le soleil revient vite, ce qui nous permet de profiter pleinement de la plus belle épave de la réserve, très poissonneuse et très concrétionnée. A peine arrivé au fond, un gros barracuda passe à proximité de nous, suivi d'une multitude de petits poissons : à quoi jouent-ils ? Est-ce une tactique pour ne pas se faire dévorer par le barracuda ? Nous ne le saurons jamais. C'est quand-même assez surprenant de voir tourner ce barracuda autour de l'épave avec toute sa cour ! L'épave est aussi habitée par un gros poisson porc-épic (diodon) qui ne se laisse pas facilement prendre en photo. Quelques dizaines de pagres ont aussi trouvé refuge dans les superstructures, en compagnie de carangues, de poissons lézards, de vivaneaux et de plein d'autres poissons... Par contre, nous ne pouvons rester que 35 minutes au fond, avant de devoir remonter pour faire 5 minutes de palier (un peu majoré). Au passage, même la ligne de mouillage est colonisée par des petits organismes urticants et des petits mollusques dont nous observons les cils osciller.

Quand nous émergeons, Estelle nous montre le trimaran de Yann Guichard en train de passer au large. Dans 4 heures, il devrait arriver à Pointe-à-Pitre mais nous y serons bien avant. Contrairement à ce que nous pensions, nous ne rencontrons pas de gros bouchons en arrivant à Pointe-à-Pitre et nous nous garons au parking payant près du château d'eau (en démolition). Nous sommes alors tout près de la place de la Victoire et de la Darse où les concurrents de la Route du Rhum viennent accoster après avoir coupé la ligne d'arrivée. Malheureusement, le trimaran de Loïck Peyron (qui a finalement battu le record de la course) n'est déjà plus là, c'est un peu dommage !

Nous visitons alors le village de la Route du Rhum qui est assez surprenant : il y a bien évidemment une grande scène de concert pour la remise des prix, les stands du conseil général, du conseil régional et de l'office du tourisme de la Guadeloupe, les stands des chaînes radio et TV, les stands pour les vendeurs de produits de Guadeloupe ou de pacotilles venues d'on ne sait où, ceux des vendeurs de bokits et d'agoulous mais il y a aussi une grande tente avec des animaux de ferme (un zébu, une truie et ses petits et des cabris) et, encore plus surprenant, un stand du RSMA, le régiment du service militaire adapté (dont l'objectif est de former les jeunes ultra-marins) ! Curieux tout de même...

Pour manger ce midi, nous prenons d'ailleurs un agoulou complet au poulet : un œuf étalé sur une plaque pour la cuisson des crêpes, puis du fromage et du poulet, le tout enfourné entre deux gros morceaux de pain, genre hamburger géant, sauce piment pour Christophe et mayonnaise pour Anne-Marie. Ca devrait nous calmer pour un bon bout de temps. Nous cherchons ensuite où est caché le voilier de Loïck Peyron, en essayant de rejoindre la marina pied. Peine perdue : il faudrait reprendre la voiture pour s’y rendre et nous risquons alors de louper Yann Guichard dont l'arrivée est estimée à 13h30 (il faut compter une heure de plus pour le voir arriver dans la Darse). Nous attendons donc, sous le soleil brûlant... Anne-Marie est bras nus, épaules découvertes, et le produit solaire ne suffit pas à empêcher les morsures du soleil. Elle s'achète donc un paréo pas cher pour s’en protéger.

Finalement, Yann Guichard ne franchit la ligne d'arrivée qu'à 14h30. Il faudra donc attendre jusqu'à 15h30 pour le voir dans la Darse. En attendant, de plus en plus de gens s'amassent sur les quais. Des collégiennes profitent de leur petite taille pour se glisser dans le moindre espace disponible, nous sommes serrés comme des sardines quand nous voyons enfin la silhouette du maxi trimaran, un énorme monstre tenant autant de l'avion que du voilier ! Son skipper est debout à l'avant, il tient un fumigène orange dans la main. Sur l'un des semi-rigides qui guident le trimaran, nous reconnaissons l'un des étranges hommes en noir qui attendaient le vol jeudi dernier à Orly. Il s'agissait donc de l'équipe de ce trimaran, le Spindrift 2.

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"Récit du séjour (5 / 24)"
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