Dimanche 23 novembre : (suite)
Après avoir mis les bagages dans le coffre de la voiture, nous passons dire au revoir à May et Jacky : là encore, les au revoir s'éternisent. Nous avions prévu de partir à 14 heures et nous ne partons qu'à 14h20, la mort dans l’âme. Malendure est un sacré coin de paradis où nous avons de bons amis... Nous avons hâte de revenir !
Ensuite ? 1h20 de route pour rejoindre l'aéroport en passant par Ste Rose. Nous nous sommes d'abord stationnés au parking payant de l'aéroport pour déposer (rapidement) nos bagages, puis nous avons rendu la voiture (comme ça, pas de bagage à transporter dans la navette du loueur). Après une longue file d'attente pour passer le contrôle de sécurité, nous attendons un moment dans la salle d'attente avant l'embarquement. Puis, décollage, repas (ce n'est même pas la peine de le décrire), un ou deux films. Nous essayons de dormir, essayons seulement...
Météo de la journée :
Rares averses avec du fort vent à Malendure (donc beau) mais tout gris après Ste Rose, jusqu'à l'aéroport.
Lundi 24 novembre : Pas glop, pas glop !
Réveil très matinal (il est 3 heures du matin pour nous et nous avons veillé jusqu'à minuit), petit-déjeuner, débarquement, contrôle de police rapide (d'habitude, il y a deux fonctionnaires pour plusieurs avions, soit plus de 500 passagers à contrôler par policier) et contrôle de sécurité sans problème. Il manque toujours des bancs pour s'asseoir dans le hall d'embarquement.
Décollage, puis atterrissage à Toulouse, nos sacs arrivent quand-même au tapis national alors que l'écran indiquait qu'il fallait aller les chercher au tapis sous douane. Le premier taxi de la file ne nous prend pas (ils font ch...ier avec leur Mercedes aux coffres ridicules). Heureusement, le second taxi est un grand monospace (ça aurait été en pleine nuit, nous aurions dû attendre longtemps... Après, ils se plaignent des VTC mais certains taxis jouent largement aux cons). De retour à la maison, nous allons nous coucher aussitôt, en mettant le réveil pour 15 heures. Demain, il nous faudra retourner au travail, ça serait bien qu'on ne souffre pas trop du décalage horaire.