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ISLANDE du 11 au 25 juin 2016
Voyage du 11 au 25 juin 2016
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 11 juin : (suite)

Nous arrivons à Keflavík en avance si bien qu’à la faveur des deux heures de décalage horaire (l’Islande n’a pas besoin de passer à l’heure d’été pour profiter au maximum de l’ensoleillement, puisque le 21 juin, à Reykjavík, l’astre solaire reste plus de 21 heures au dessus de l’horizon et que même entre minuit et 3 heures du matin, il reste toujours des lueurs à l’horizon), nous ressortons de l’aérogare vers 13 heures, après avoir retiré de l’argent (des couronnes islandaises) au guichet automatique pendant l'attente des bagages, avoir récupéré nos bagages (qui sont pourtant arrivés en dernier sur le tapis de livraison) et avoir vérifié que nous pouvions rejoindre directement le bus avec les vouchers que "Camp Easy" nous avait fait parvenir par mail (il n’y avait aucun contrôle de police à passer car l’Islande est dans l’espace Schengen et c’est bien appréciable).

Vers 13 heures passées d’une dizaine de minutes, le bus se met en route pour Reykjavík. Nous profitons qu’il reste des places libres pour nous étaler un peu. Anne-Marie profite aussi de la Wifi disponible gratuitement dans le bus pour publier une première photo sur Facebook et des prises USB installées au dos des sièges pour recharger sa tablette tactile. Nous traversons alors un paysage assez surnaturel : nous sommes au milieu d’une ancienne coulée de lave (de quelques centaines d’années) et, mis à part le lichen, aucun végétal n’a poussé sur la roche nue (sur l’île de la Réunion, il faut à peine une dizaine d’années pour qu’une coulée de lave soit recouverte de végétaux). Le bus met alors une petite cinquantaine de minutes pour rejoindre le terminal de bus de Reykjavík, malgré les deux très courts arrêts en fin de trajet (pour info, la compagnie de bus propose des navettes gratuites pour rejoindre les hôtels de Reykjavík, au départ du terminal de bus).

Au terminal de bus, nous nous sentons un peu seul : personne ne nous y attend comme convenu ! Anne-Marie demande alors à la fille du guichet de la compagnie de bus si elle a vu passer quelqu’un. Dans un premier temps, la réponse est négative mais en voyant le logo sur nos bons d'échange, elle nous affirme avoir vu passer quelqu'un toutes les 10 minutes. Heureusement, 2 minutes plus tard, un homme arrive avec un t-shirt au logo de "Camp Easy". Il faut dire que la "color run" de Reykjavík (qui explique les teints multicolores des Islandais que nous venons de croiser) vient de se terminer, que plein de participants à cette course se sont garés autour du terminal de bus et sont en train de repartir en créant de gros bouchons.

Il nous faut alors 20 minutes pour rejoindre les bureaux de "Camp Easy" où notre future maison sur roue est en train d’être lavée au nettoyeur haute pression. Nous découvrons que l’aménagement intérieur n’a pas la même disposition que sur les photos (non contractuelles) du site internet. Le petit hic provient du lit : nous avions choisi ce style de camping-car pour la longueur du lit, 2 mètres, ce qui n’est pas le cas de ce fourgon. Par contre, cet aménagement semble plus pratique et permet de gagner en largeur, nous verrons bien à l’usage... Le temps d’établir tous les papiers, de faire le tour du camping-car pour le constat de remise du véhicule (le loueur nous conseille de prendre des photos, ce qui est une bonne chose en effet), de vérifier le bon fonctionnement du routeur 4G - Wifi (qui ne fonctionnait pas, comme les phares, avant que ce soit réparé, ou presque...), d’acheter des cartouches de gaz pour le réchaud (chacune dure normalement 2 heures ; avec 3 cartouches, nous aurons théoriquement 30 minutes de chauffe par jour, ce qui devrait être largement suffisant ; puis, s’il nous reste des cartouches non entamées, "Camp Easy" les reprendra), nous partons ensuite faire des courses au supermarché le plus proche.

C’est un supermarché Bónus, celui avec le gros cochon rose comme logo, qu’on nous avait recommandé en France. Le problème est qu’il n’y a pas trop de choix et que tout est écrit en islandais ! Nous ne savons donc pas reconnaître tous les produits. Par exemple, nous pensons acheter des sachets poubelles (de petite taille) et nous avons en fait acheté des sachets plastiques individuels pour y mettre des sandwichs. La visite du rayon frais n’en est que plus épique car il ne s’agit pas de frigos dans une allée du supermarché, mais d’une allée dans une chambre froide du supermarché, ce qui nous évite de polémiquer des heures sur le choix des morceaux de viande sous vide ! Au passage, nous achetons du papier toilette qui ne nous sera d’aucune utilité puisque celui-ci était disponible dans tous les sanitaires des campings. Pour un caddie relativement bien plein (avec un peu trop de choses, il nous en restera au retour), nous en avons pour environ 15.000 couronnes islandaises, soit environ 100 euros : finalement, ce n’est pas trop pire !

Après les courses, en remontant dans le fourgon, avec les pneus braqués, Christophe s’aperçoit de leur usure bien avancée. Nous repassons donc par les bureaux de "Camp Easy" pour leur montrer l’état des pneus mais pour eux, il n’y a pas de problème, les sillons ont encore au moins 3 mm de profondeur ! Espérons que ça ira sur les routes non goudronnées...

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"De Reykjavík à Mývatn (2 / 5)"
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